L’Aract planche sur les conditions de travail.
Elle réunit autour d’une table employeurs et salariés.
Il s’agit de l’Association régionale pour l’amélioration des conditions de travail. Financée par de l’argent public, basée à Caen, elle fait partie d’un réseau national né en 1999. « C’est un des rares lieux où organisations syndicales et patronales peuvent échanger, débattre de bonne manière à égalité de droits, et ensuite décider », explique Louis Avoine (CGT), son président.
Son trait distinctif, « sa force » : en janvier, l’Aract est devenue paritaire.
Elle réunit huit organisations patronales et de salariés qui ont « voulu se réunir autour d’une table ».
« Adapter le travail à l’homme. »
En particulier, en prévenant les risques professionnels (par exemple, les troubles musculo-squelettiques) : cela va de l’ergonomie d’un poste à l’organisation du travail.
L’Aract intervient sur demande.
Elle est « au service des entreprises, partenaires sociaux, à l’appui des actions politiques ».
L’an dernier, ses quatre chargés de mission sont allés dans une centaine de sociétés, en majorité de 10 à 250 salariés.
L’Aract diagnostique, propose des solutions, accompagne, « mais n’impose pas ».
Des missions de quelques jours ou plus longues.
Elle se veut aussi « laboratoire d’innovations », favorise la diffusion des bonnes pratiques.
Ce qui, au final, est également bénéfique « à la performance des entreprises », souligne Marc Delatte (CGPME), vice-président.
Tiens , tiens , pour avoir participer à une formation avec eux dernièrement dans le cadre des RPS en entreprise , je pense réellement qu’il y a des possibilités d’améliorations envisageable … à nous de les sollicités pour leur donner envie et bientôt certains d’entre eux seront membres de ce blog …a suivre