EDF avait indiqué préparer un accord de « collaboration élargie » avec Rosatom.
Il se précise et pourrait porter sur la vente de réacteurs nucléaires à des pays tiers.
Accord en vue entre EDF et le russe Rosatom : c’est ce qu’a déclaré ce lundi le patron de Rosatom, Sergueï Kirienko, cité par l’agence Interfax.
Il était en train de visiter le stand d’EDF à une exposition sur l’énergie nucléaire à Moscou
« Nous sommes sur le point de signer un mémorandum important entre les deux entreprises à Saint-Pétersbourg », en marge du forum économique qui se tiendra dans cette ville du 17 au 19 juin, a -t-il lancé.
EDF avait indiqué ces derniers temps préparer un accord de « collaboration élargie » avec Rosatom.
Il pourrait porter sur la vente de réacteurs nucléaires à des pays tiers.
De quoi doublement agacer un autre groupe public français, le leader mondial du nucléaire Areva qui a vu son ex-allié allemand Siemens sortir de son capital pour entamer des négociations d’alliance avec Rosatom.
Si son grand partenaire français EDF s’y met aussi…
Cela dit, les discussions entre Siemens et Rosatom semblent traîner en longueur, certes parce que le divorce entre Siemens et Areva prend du temps mais pas seulement.
Certains en France murmurent que le groupe russe serait loin d’être le champion espéré par ses soupirants mais plutôt une société à la technologie et l’organisation vieillissantes.
Philippe Vivien, du groupe Areva, DRH de l’année 2010
Importants volumes de recrutements, politique de gestion des talents, accord européen sur l’égalité des chances…
Retour sur le travail accompli par ce DRH de 48 ans, aux commandes depuis 2004.
Lorsqu’on l’interroge sur son quotidien, Philippe Vivien, DRH du groupe Areva, tourne les pages d’un agenda noirci.
«La difficulté est de savoir gérer des interactions permanentes et de nombreuses réunions sur des sujets complexes, tout en maintenant le temps de la réflexion.»
Dans son bureau vitré, dont la porte reste «forcément ouverte», il décrit une fonction où tout l’enjeu est de «faire passer les idées, sans être dans l’arrogance».
Le prix du DRH de l’année ?
Il y voit «la reconnaissance d’une entreprise, des ambitions de sa présidente, Anne Lauvergeon, pour les ressources humaines, et du travail de toute une équipe».
Une équipe RH de 1 100 personnes au sein d’un groupe de 75 000 salariés dans le monde.
Dans son bureau vitré, dont la porte reste «forcément ouverte», il décrit une fonction où tout l’enjeu est de «faire passer les idées, sans être dans l’arrogance».
Le prix du DRH de l’année ?
Il y voit «la reconnaissance d’une entreprise, des ambitions de sa présidente, Anne Lauvergeon, pour les ressources humaines, et du travail de toute une équipe».
Une équipe RH de 1 100 personnes au sein d’un groupe de 75 000 salariés dans le monde.
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et vous , vous en pensez quoi ?