Glug , glug , glug …
Nous avons lu sur le site http://sciences.blogs.liberation.fr/ cet article intéressant et bien documenté de Sylvestre Huet sur la situation à Fukushima …
Il est indispensable aujourd’hui et ce après 23 jours , URGENT , de restaurer toutes les capacités de refroidissement des réacteurs et des piscines endommagés…
mais , pour cela , il est primordial , d’assécher les diverses galeries sous-terrains du site et de rejeter cette quantité d’eau , qui y stagne depuis le tsunami…
Rectificatif:
L’interview de notre collègue LA PONTIERE prévu cette semaine , le sera finalement la semaine prochaine (n° 15 ) et sera à lire dans le nouvelobs , respect Madame LA PONTIERE !..
merci à Marie V et @+
Actions salariés , inscription : https://www.ma-zone-controlee.com/?page_id=12354
L’amélioration de TES conditions
de travail et de vie , ne tiennent qu’à TOI
L’ultime Atome c’est TOI !
Dans l’attente de vous lire , mes amitiés aux uns, mes respects aux autres, bises à toutes et tous.
Extraits de presse :
Déverser à l’océan plus de onze mille tonnes d’eau faiblement radioactive… pour faire de la place à celle très contaminée.
C’est la décision des Japonais – gouvernement et l’opérateur Tepco – prise aujourd’hui pour résoudre le casse-tête shadokien de l’eau radioactive qui les bloque depuis plusieurs jours. (photo Ho, Reuters)
La centrale nucléaire de Fukushima est pleine d’eau. Surtout ses parties basses, en sous-sol, fosses, puits.
Elle vient du tsunami, des arrosages pour refroidir en catastrophe les réacteurs et les piscines, et enfin d’une ou plusieurs fuites des circuits «primaires» – l’eau qui «voit» le cœur des réacteurs.
Toutes sont radioactives… mais pas du tout au même degré, la dernière catégorie étant la plus dangereuse, au point d’interdire tous travaux à proximité. Comment s’en débarrasser, sans la rejeter à la mer ? Et ainsi accentuer les futurs problèmes de contamination du littoral…
Lire l’article : http://sciences.blogs.liberation.fr/home/2011/04/fukushima-les-shadoks-et-leau-radioactive.html
« Les vérités que l’on aime le moins à entendre sont souvent celles qu’on a le plus besoin de savoir »
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