Soutien à Sophie Dejouè membre et adhérente de l’Association Ma Zone Contrôlée…Enquête de Thierry GADAULT sur le harcèlements et discriminations des agents statutaires d’EDF au sein de cette grande Maison Bleu Ciel qui vire à l’Orange…
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Source : Sophie, chimiste, centrale nucléaire du Blayais | Blast – Le souffle de l’info
« Quand j’étais jeune, je voulais faire les Beaux-Arts mais mon père disait que ce n’était pas un métier ! Donc j’ai fait des études de chimie à l’école d’Angers, comme mon père, qui était adjoint chef de centrale à EDF, à la centrale du Blayais. J’ai commencé ma carrière dans les peintures pour l’industrie automobile.
« Quand vous mettez du métal avec de l’eau, ça rouille. »
En 1990, EDF m’a sollicité pour la centrale de Belleville. J’avais postulé très longtemps avant, quand je commençais à chercher du travail, je n’avais pas eu de réponse. J’ai été recrutée en tant que chimiste. J’y ai tout appris, et le travail était passionnant.
La première mission d’un chimiste en centrale nucléaire, c’est de garantir la longévité de la durée de vie de l’installation. Quand vous mettez du métal avec de l’eau, ça rouille. Donc si vous voulez que ça dure 60 ans, il faut que ça rouille le moins possible. Pour faire simple, si ça ne rouille pas, il n’y pas de percement et donc vous garantissez la sureté.
Quand j’ai été recruté à Belleville, on gérait tout le cycle de l’eau. On analysait l’eau de la Loire, on la déminéralisait pour avoir une eau pure et ne pas corroder les tuyaux. Si on a du calcaire dans le circuit primaire, on forme ce que l’on appelle des zéolithes qui se déposent sur les crayons combustibles ; cela fait des points chauds, modifiant les transferts de chaleur entre l’intérieur du tuyau et l’extérieur. Ce qui fragilise les crayons et peut provoquer un percement. Donc dissémination de produits radioactifs dans le circuit primaire. Pour le circuit secondaire, qui normalement n’est pas radioactif, ça peut être à l’origine de rejets non contrôlés dans l’environnement de produits chimiques.
Le premier rôle du chimiste en centrale nucléaire, c’est donc lutter contre la corrosion. Ça veut dire la sécurité des intervenants, mais aussi la sureté, c’est-à-dire protéger l’homme et son environnement de toute dissémination de produits radioactifs. Pour se faire, le chimiste gère en permanence le ph des circuits et le niveau de radioactivité de l’eau des circuits, pour contrôler notamment l’exposition des intervenants lors des opérations de maintenance du réacteur.
Je suis restée douze ans à Belleville, jusqu’en 2002. Le boulot était passionnant. La chimie de l’eau, je n’y connaissais rien. J’y ai tout appris. L’une des spécificités de Belleville quand je suis arrivée, c’est que les chimistes passaient sur les tous les postes du cycle de l’eau. Ils changeaient de poste tous les six mois : on commençait à la station de déminéralisation, après on passait à la chimie de tranche (l’analyse de l’eau des réacteurs et des circuits annexes), puis aux effluents (le contrôle des rejets), et enfin à l’environnement (les mesures après les rejets). J’ai fait tout ce parcours.
A mon arrivée à la centrale, j’ai eu de la chance de travailler avec un collègue qui avait suivi la construction et connaissait toute l’installation. Et j’avais un contremaitre très compétent qui m’a beaucoup appris. Tout a changé en 1991 quand EDF a mis en place les entretiens individuels : ça a complètement modifié les relations de travail, poussant chacun à ne travailler que pour lui.
« C’est la carrière de ton mari ou la tienne ! »
Quand je suis parti en 2002, on avait un chef de laboratoire qui était un harceleur. Mais on était soutenu par la médecine du travail, et le syndicat SUD Energies qui était très fort à Belleville. J’ai eu des problèmes avec ce chef de labo, j’ai dû avoir un arrêt de travail. Il s’en est alors pris à une autre fille, puis a été muté sur un poste sans management.
Je pars de Belleville parce que mon mari travaille dans le même service. J’étais passée responsable d’équipe et on me dit : « Sophie, il faudra faire un choix, c’est la carrière de ton mari ou la tienne. » On me fait comprendre que je n’aurais plus d’évolution de carrière si je reste. Comme je ne suis pas d’accord, je vois qu’il y a un poste de formateur en chimie à l’école de métiers d’EDF à Gurcy-le-Châtel et mon mari est muté à la centrale de Nogent-Sur-Seine. J’y pars pour trois ans sachant qu’on fait la fermeture de l’école de Gurcy, pour un transfert des activités sur le site du Bugey. Donc au lieu d’un contrat de cinq, je n’ai qu’un contrat de trois ans. Donc dès que j’arrive, je commence à chercher un poste parce que je ne voulais pas retourner à Belleville.
Comme avec mon mari, on avait acheté une maison à côté de Blayais, j’appelle la centrale et on me dit qu’un poste va se libérer deux ans plus tard. J’ai un entretien et j’ai le poste. En août 2004, j’arrive donc à Blayais comme cheffe de laboratoire des tranches 1 et 2.
« Quand vous mettez les pieds dans l’installation, c’est n’importe quoi. »
Blayais, c’est une centrale avec quatre tranches de 900 MW. Et dès le démarrage au début des années 1980, les équipes des différentes tranches ont été mises en concurrence en permanence, avec une véritable stratégie productiviste. Donc il y a deux laboratoires, celui des tranches 1 et 2, et celui des tranches 3 et 4, le laboratoire effluent, et en dehors du site le laboratoire environnement. D’un laboratoire à l’autre, personne ne se parlait, et il y avait une rivalité entre eux, parce que chacun devait être meilleur que l’autre.
Dans mon labo, j’ai quatre contremaitres, des « vieux de la vieille », donc j’étais dans mes petits souliers. Dans la théorie j’étais très forte, mais quand j’ai suivi la formation 900 MW, j’étais perdue ! Quand vous mettez les pieds dans l’installation, c’est n’importe quoi. Dans le même local, vous avez les tuyauteries REA (le circuit d’eau d’appoint des réacteurs en marche normale) des tranches 1 et 2, donc les erreurs de tranche sont récurrentes. J’ai eu beaucoup d’humilité par rapport à ces contremaitres, qui connaissaient très bien l’installation. Quatre fortes personnalités mais hyper compétentes et très bons pédagogues.
Au bout de trois mois de présence, la direction me prévient que tout le site va être réorganisé avec la fusion des laboratoires des quatre tranches et que je vais devenir la cheffe de labo d’un nouveau labo, pour toutes les tranches. De plus, alors que les laboratoires chimie et instrumentation dépendaient du service conduite, la direction nous a passés à la maintenance, ce qui était de mon point de vue une grosse erreur. Nous, on travaille avec la conduite, on n’est pas de la maintenance. La nouvelle organisation nous fait perdre notre polyvalence pour être mis chacun dans une case.
En fait, pendant des années, on a nous demandé de suivre des procédures. Mais ce sont des principes généraux, alors que chaque situation est particulière. Donc on est obligé de prendre des initiatives. Mais si on prend des initiatives, on nous tape dessus en nous reprochant de ne pas avoir suivi les procédures. On a perdu toute l’intelligence collective. C’est dramatique.
Le temps que le nouveau laboratoire des quatre tranches soit opérationnel, je vais passer deux ans à faire la navette entre les deux laboratoires. Je récupère une équipe de 25 personnes, que je ne connais pas et qui est frustrée, on le serait à moins. Il y avait une crise de légitimité des gens, que je comprenais. En fait, j’ai fait des groupes de travail réunissant les deux équipes avec les experts de chaque domaine. Et là, ils ont parlé de sujets qui les passionnaient. Le nouvel laboratoire qu’on a créé, aujourd’hui c’est la référence du parc.
« Au bout de six mois, je fais une tentative de suicide dans le site. »
Mais au bout de trois ans, en 2007, j’étais au bout du rouleau. En récupérant tous mes congés que je n’avais pas pris, j’ai pu partir en alternance faire un CAP de cuisine. Ça me passionne et très vite je fais le lien entre la cuisine et la chimie. Je fais mon stage de fin d’année dans un étoilé car j’ai la chance d’être prise à Paris à l’Arpège, le restaurant d’Alain Passard. Je pars ensuite en congé individuel de formation pour faire un bachelor de cuisine, à Ferrandi (une grande école hôtelière parisienne), et je réalise des stages chez Alain Senderens (deux étoiles parisien) et au Park Hyatt Vendôme. Je fais mon CIF en temps partiel, parce que j’ai une astreinte décision PCC1 et que l’on n’était que quatre à avoir cette astreinte au Blayais.
Je reviens en 2009 et on me met comme tutrice référent chimie sur la « Star Ac », les jeunes recrutés en formation à la centrale. Comme on a beaucoup d’apprentis, je mets en place un suivi par mise en situation pour valider les apprentissages. Et puis il faut que je rattrape tout ce qui n’a pas été fait pendant mes absences, donc ça ne se passe pas très bien. Au bout de six mois, je fais une tentative de suicide dans le site.
Pendant ma formation, la centrale a mis un autre chef de laboratoire en place. J’ai été changé d’étage. Pire, pendant six mois, je n’ai pas de bureau, mes affaires sont dans un carton. La seule explication que j’ai eue, c’est que j’ai fait un choix en partant en formation, alors que j’ai juste qu’exercé un droit. C’est comme si j’avais renié l’entreprise.
J’ai demandé un rendez-vous avec le DRH, et il m’a dit que j’étais à 50 % sur mon poste. J’ai répondu que je ne pouvais pas être tutrice référent et chef de laboratoire en même temps. Finalement, on me trouve un bureau, et on me nomme « appui chef de service », pour m’occuper au début des ressources humaines.
En 2010, j’ai un nouveau chef de service qui me demande de m’occuper du budget du service. Je ne sais pas faire, mais je commence à apprendre. En 2010 également, EDF met l’accent sur le management sur le terrain, parce que les managers n’allaient plus sur le terrain. Donc chaque manager d’équipe direction de service doit faire au moins trois constats terrain par semaine, et toutes les semaines, on a une réunion de direction de service pour lire nos constats.
« Sophie, on ne peut pas tout dire ! »
Un jour, en octobre 2013, je descends dans l’un des laboratoires et je vois des trucs pas réglementaires, notamment des falsifications de dates de péremption pour des étalons qui servent pour la mesure du ph de l’eau des générateurs de vapeur. Ce qui est un point hyper sensible pour contrôler la corrosion du métal. Il y avait aussi des contrôles deuxième niveau par un apprenti sans habilitation pour le faire.
Donc à une réunion, j’arrive avec une dizaine de constats de ce type. Mon chef de service m’interrompt et me dit : « Sophie, on ne peut pas tout dire » ! J’ai déchiré mes constats, je me suis levée et j’ai quitté la réunion en leur disant que je n’avais plus rien à faire là. Il y a eu ensuite d’autres problèmes sur les budgets avec des prestataires.
En mars 2015, je dénonce les falsifications et je vais voir les syndicats pour qu’ils m’aident. Ils sollicitent une réunion avec le directeur production et mon chef de service. Quelques temps auparavant j’avais reçu un SMS de mon chef de service qui me demande de ne pas déclarer mon accident du travail. A l’issue du RDV avec le directeur production, mon chef de service sera muté quelques temps après et il est remplacé par son adjoint.
En 2012, le CEIDRE (un service d’expertise nucléaire d’EDF) était venu nous présenter un changement de produit pour contrôler le ph du circuit secondaire (l’eau des générateurs de vapeur). Je m’informe sur ce produit, déjà utilisé dans les centrales nucléaires américaines et sur certaines centrales. Dans les réunions entre chimistes du parc, j’avais entendu des critiques sur ce produit.
Ce produit était en test à Saint-Laurent-des-Eaux depuis 1995, mais il n’y a jamais eu de preuves qu’il apportait un bénéfice par rapport au produit qu’on utilisait. De plus, on est obligé d’en mettre trois fois plus, et il coute plus cher à l’achat. Ce produit oblige aussi à renouveler plus fréquemment les résines utilisées dans le réseau de filtration d’eau. Donc ça produit plus de déchets faiblement radioactifs. Et il y avait aussi un enjeu de sécurité pour le personnel qui y était exposé.
« C’est trop tard, c’est déjà fait »
Dans une soirée en 2016, je rencontre le directeur d’unité et je lui parle de ce nouveau produit et des problèmes qu’il pose. Il me demande de lui faire un rapport. Je lui écris un argumentaire détaillé, surtout que ce produit va augmenter mon budget de 10 %, alors que dans le même temps on me demande de le réduire de 2 %. Je donne en même temps l’argumentaire à mon chef de service. Il me répond : « c’est trop tard, c’est déjà fait ».
J’envoie l’argumentaire au directeur d’unité. En même temps, j’envoie les fiches de deux produits au service sécurité, en expliquant le problème. Personne ne me répond.
Quelques mois plus tard, j’ai une réunion avec tous les responsables de budget des services de la centrale pour préparer le budget de l’année suivante. Je demande à ceux qui gèrent les budgets « prestation » et déchets, s’ils ont intégré les conséquences financières du changement de produit. Ils n’étaient pas au courant. Suite à cette réunion, je fais un mail général pour alerter tout le monde. Là, mon chef de service arrive dans mon bureau et se met à m’agresser verbalement et remet en cause mes compétences. Et me demande de chercher un autre emploi.
J’ai fait une poussée de tension et j’ai dû être hospitalisée. J’ai été arrêtée 15 jours, et quand je reprends je ne suis plus invitée aux réunions de direction de service, je suis blacklistée. Je demande un rdv à la DRH, qui ne me répond pas. Je vais voir la CGT, on me répond que je ne serai pas défendue parce que je ne suis pas adhérente. Le jour où j’ai payé ma cotisation, le discours a changé totalement.
J’ai finalement été reçue par la DRH le 19 décembre 2017, qui m’a dit que je ne reprenais pas mon poste. « On ne veut plus de toi dans le service ». Par la suite, j’ai sollicité le comité Ethique et Conformité. Quand le comité a reçu mes informations, il m’a dit que les faits justifiaient une alerte. Et au bout de 18 mois, l’alerte a été annulée : les preuves ont été déconstruites.
« Assise trois mois à une table ronde, perdue au milieu de nulle part, sans rien… »
C’est là que j’ai découvert le réseau Souffrance et Travail. J’ai une psychologue qui m’aide beaucoup. Je reprends le travail en octobre 2018, après 14 mois d’arrêt. Je vois la médecin du travail fin septembre, pour la visite de reprise, qui valide mon retour et informe devant moi par téléphone mon chef de service de mon retour. Le lendemain, la médecin voit débarquer dans son bureau la DRH et tout le staff de mon service qui lui disent que je ne dois pas reprendre.
Quand j’arrive à la centrale le 2 octobre, je me fais éjecter de mon bureau. On me donne une feuille m’indiquant que je suis détachée, non signée. Et on m’envoie sur un plateau technique pour faire de l’« acculturation des équipes de conduite aux effluents ». Je n’ai pas d’habilitation et rien pour travailler. Je vais rester assise pendant trois mois à une table ronde, perdue au milieu de nulle part, sans rien.
Mon chef de service demeure mon chef hiérarchique, mais mon responsable de « projet » est un gars que je ne connais pas et qui m’évite, mais dont le chef de service est mon ancien chef de service dont j’ai dénoncé les fraudes ! J’arrive à le coincer dans son bureau et je lui demande ce que je dois faire. Il me fixe un rdv quelques jours plus tard, et je prépare la réunion pour savoir quel est le contenu de ma mission. Le jour de la réunion, je suis accompagnée par un syndicaliste. Je pose mes questions, et au bout de 25 minutes, mon chef de service, qui est présent, me répond : « tu pourras nous mettre tes questions par mail ! »
Je fais venir deux fois la médecin du travail en trois mois et je lui demande de me sortir de là. Le 5 décembre, je vois la médecin dans un état effroyable. Elle rédige un constat et me place en inaptitude temporaire. Elle demande aussi à mon chef de service de me réaffecter mes missions. Pas de réponse. Donc deuxième accident du travail, puisque je déclare cela en accident.
« Je ne comprends pas votre persistance à vouloir comprendre ce que l’on vous demande ! »
Un jour, j’ai un rdv à la direction de la production nucléaire à Paris, avec un directeur sensé suivre mon dossier. J’y vais accompagnée par une syndicaliste de la CGT Paris. Le gars arrive avec 30 minutes de retard, il se vautre dans son fauteuil et s’endort à moitié. A la fin de la réunion, il me dit : « Madame, je ne comprends pas votre persistance à vouloir comprendre ce que l’on vous demande ! » Une phrase qui ne figurera pas dans le compte-rendu, que je refuserai de signer.
J’ai pris un avocat pour déposer une plainte aux Prud’hommes. EDF m’a fait une proposition financière dérisoire pour que je quitte l’entreprise. J’ai refusé parce que j’ai 30 ans de boite et qu’il me reste 4 années à faire. Donc j’ai demandé que mon ancienneté et ces 4 années soient payées. J’ai initié une médiation, mais la médiatrice a subi des manœuvres frauduleuses de la part de la DRH.
Aujourd’hui, la maison des lanceurs d’alerte a reconnu mon statut de lanceuse d’alerte et le référé vient d’être déposé.
Je dois reprendre le travail, mais la centrale déploie le grand jeu pour que je ne revienne pas, expertise psychiatrique… »
Source : Sophie, chimiste, centrale nucléaire du Blayais | Blast – Le souffle de l’info
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Dommage que ce témoignage soit truffé d’erreurs.
Nous vous invitons à contacter le journaliste pour corriger cela
merci de les indiquer ainsi que les sources, ça évitera que le doute plane ! Sinon le procédé est trop fragile et facile pour être crédible !
évidemment les ventres mous qui crachaient sur les professionnels par conformisme et par soumission à leur employeur sans même chercher à comprendre où ça menerait, sortiront peut être du bois par opportunisme espérant ramasser un petit billet au passage voyant que l’entreprise est bien mal engagée …
Je me rappelle de Sophie, je ne suis pas étonné de ce genre de pratiques. J’ai aussi subi ce genre de pratiques. Heureusement j’avais un projet extérieur qui mûrissait depuis longtemps.
bon ben ça continue, les mêmes méthodes, toujours les mêmes méthodes !
y a quelqu’un un moment donné, où là aussi ils pensent qu’ils pourront produire un « vaccin » quand le pire sera arrivé avec ces installations ?
qui est plus dangereux ? les installations ou ceux qui exercent les méthodes citées dans les différents épisodes ? Peut être ce la rencontre de ces éléments qui conduit au pire ? les statistiques nous en rapprochent inexorablement … bonne route, peut être qu’après les masque, l’iode nous sauvera, puis un messager qui irait directement parler aux radioéléments ???