Quel avenir pour les métiers du nucléaire ?

    Pas très glamour, le secteur du nucléaire…


    Pourtant, c’est un domaine actif, qui devrait beaucoup recruter dans les prochaines années.

    Quels seront les métiers en vogue quand vous arriverez sur le marché du travail ?
    Comment vous y former ?
    Professionnels et responsables de formation répondent.

    Pierre Benech, Directeur de Phelma, école d’ingénieurs de physique, électronique, matériaux.

    Quels sont les métiers qui recruteront d’ici à 5 ans ?

    « La pyramide des âges atteste d’un certain vieillissement du personnel. En France, on était en train de s’endormir…

    Mais le spectre de l’augmentation du prix du pétrole et la peur de la raréfaction de l’énergie ont entraîné un redémarrage du nucléaire depuis 4 ans.
    Toute une série de projets a été lancée (dont le nouveau réacteur EPR). Il y aura donc un appel d’air dans tous les métiers.
    La recherche, la conception (cœur du réacteur) et la réalisation (BTP, équipement de contrôle, sécurité) seront les premiers secteurs concernés. »

    Quels choix d’études aujourd’hui ?
    « Il est indispensable, quel que soit son parcours, de suivre un module de sensibilisation pour acquérir une culture du nucléaire.
    On n’est pas très poétique dans ce domaine, et on ne manipule pas un morceau de combustible à la légère !
    Il faut apprendre à respecter les consignes de sécurité et suivre les procédures pour ne pas s’exposer et impliquer les autres.
    La voie royale, c’est d’intégrer une formation d’ingénieur spécifique (génie nucléaire) comme la nôtre.
    D’autres écoles (Chimie Paris, l’École nationale supérieure de chimie de Montpellier, l’INSTN, les Mines de Nantes) placent facilement leurs étudiants, mais dans des champs différents. »

    suite article : http://www.letudiant.fr/jobsstages/les-secteurs-qui-recrutent/quel-avenir-pour-les-metiers-du-nucleaire-13337.html

    et vous , vous en pensez quoi ?

      2 comments for “Quel avenir pour les métiers du nucléaire ?

      1. 16 février 2010 at 21h49

        OK dido tu es dans le vrai,d"autant plus que la stratégie d'aujourd'hui des différents patrons du nucléaire, c'est de responsabiliser au maximum sur des coefficients minimums afin d'aller vers une convention unique des travailleurs du nucléaire définie par tous ces patrons voyous qui débouchera sur un profil de chef de chantier smicard mis en valeur par des primes d'objectifs,dévalorisant par la même tous les métiers nécessaire dans le nucléaire.

      2. 16 février 2010 at 18h49

        Pas de problème,les ingénieurs!il y a du boulot à 1300 euros par mois pour voir de près ce que sont des rayonnements.A ce prix la ,vous pouvez vous arrêter au CAP!

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