L’Etat, Areva, et le sens français de l’hospitalité…

    Nous avons lu sur le site http://www.lesechos.fr cet article très intéressant de Thibaut Madelin sur la complexité des rapports entre Areva , EDF , L’État et les prétendants à l’ouverture du capital d’Areva .

    C’est pas gagner …

    Extraits de presse :

    Il y a un an, Nicolas Sarkozy chargeait le député de Haute-Corse Paul Giacobbi de donner son avis sur « les déterminants de l’investissement étranger en France […] , un sujet crucial pour assurer à notre pays une reprise économique durable ». L’été dernier, l’élu radical de gauche rendait son verdict : l’image de la France auprès des bailleurs de fonds internationaux est « caricaturale »

    Depuis les premiers projets de capitalisation du groupe nucléaire, l’Etat actionnaire s’est retrouvé piégé dans ses contradictions. Incapable d’assumer une politique industrielle digne de ce nom, dans l’un des rares secteurs où la France peut revendiquer une réelle avance. En novembre 2004, le ministre de l’Economie, Nicolas Sarkozy, annonce que « la décision a été prise d’ouvrir le capital d’Areva »

    Lire l’article : http://www.lesechos.fr/opinions/analyses/020968992469-l-etat-areva-et-le-sens-francais-de-l-hospitalite.htm

    (Ici nous respectons la loi sur les droits d’auteur et le travail de la presse et des journalistes professionnels)

    Et vous qu’en pensez vous ?

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