Nous avons lu sur le site http://2ccr.unblog.fr/ ce tract très intéressant est qui en dit long sur les méthodes de management d’aujourd’hui …
Inspirez …soufflez , inspirez …soufflez !
Vous aussi , vous en connaissez certainement des managers de MISÈRE HUMAINE …
PS: Merci à BOB et DIDO …
Extraits :
Le harcèlement est devenu une méthode de management, isoler les individus,supprimer leurs repères, enlever leurs habitudes pour pouvoir ensuite les reformater aux nouvelles méthodes de l’entreprise. Un système où les salariés deviennent des collaborateurs, où la fraude des mots manipule l’inconscient des travailleurs. C’est l’ère de la communication instantanée, avec bien sur des mails froids, impersonnels et d’où toute politesse a disparu. Ce système de communication dans l’urgence oblige le personnel à être plus réactif, à poser moins de questions, cour-circuite souvent les cadres intermédiaires.
La restructuration des services par la mise en compétition et la concurrence des salariés permet sous couvert d’une pseudo convivialité, de supprimer les poses à la machine à café, ou les bavardages à la photocopieuse. Notre taux de productivité
est l’un des meilleurs au monde, mais cela ne suffit pas aux actionnaires. Il faut que l’on produise à 100%, finies les petites coupures qui permettaient de décompresser.
Lorsque le salarié arrive à saturation, la dépression le guette, allant parfois jusqu’au suicide ! Si avant de se suicider, le salarié suicidait d’abord deux ou trois personnes de sa direction, le problème serait pris beaucoup plus au sérieux. Mais tant que ce ne sont que les sans grades qui meurent ……
la suite : laviolenceduharcelementpdf
« Les vérités que l’on aime le moins à entendre sont souvent celles qu’on a le plus besoin de savoir »
Si le battement d’aile d’un papillon peut modifier le climat ALORS un petit clic sur un mulot peut réorienter des choix politiques … Participez à la vie de ce blog commentez les articles pour réussir ensemble …
Ainsi va la vie dans notre pays où les colères et injustices qui existent, demeurent bien profondément enfouies devant nos dirigeants. Jusqu’à quand ?
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