Les Bourses dévissent …
La sécurité au travail en danger (livre)…
Rendez vous semaine 35 !!!
Nous avons lu sur le site http://www.marianne2.fr cet article très intéressant de J-C Slovar sur la prévention de la pénibilité et de la formidable usine à gaz mise en place par le gouvernement, ils sont vraiment trop forts ces énarques…mais tellement loin de notre réalité . Après avoir porté l’âge légal de la retraite à 62 ans, le gouvernement a validé l’allongement de la durée de cotisation à 41,5 ans pour la retraite à taux plein. Par contre il s’est montré plus discret sur le dispositif de prévention de la pénibilité. Et c’est bien dommage ! Alors vous imaginez facilement que pour les métiers du nucléaire , oust circulez y a rien à voir , AH NOM DE DIEU !!! Pourtant nous cumulons les risques d’expositions à l’amiante ,aux rayonnements ionisants et aux produits CMR , cela est le quotidien de beaucoup d’entre nous . Il faudra donc chers camarades , travailler plus (longtemps) pour gagner (plus) avec notre salaire actuel de SMICARD qui lui n’augmente pas ! …mdr lol ptg 🙁 Y pousse , quand même un petit peu , le bouchon loin, non , vous croyez pas ? regardez : watch?v=wXW0CjbLzmU&feature=fvst
Pékin et Tokyo s’inquiètent . Depuis mardi et le sauvetage de la dette économique Américaine jusqu’à fin 2012 ne l’oublions pas , parce que après mystère , mystère , l’inquiétude gagne donc forcement toutes les bourses 🙁 (belote /rebelote ! qui est-ce qui coinche ? ) ajoutons à cela si besoin en était, les problèmes de la dette dans la zone euro qui elle , relance irrémédiablement les craintes de récession en Italie , Espagne , Portugal , patience , patience , notre tour arrive à grand pas soyez en sûr chers camarades visiteurs ( nous pouvons leurs faire confiance , Mme Lagarde au FMI veille , ah , ouf ! heu , y si passe de drôle de truc là bas , la malédiction du chef (sic) ? merde ) à moins que … à moins que 🙂
Livre . Que vous soyez au travail où en vacance nous vous encourageons à la lecture du livre de Anne Salmon sociologue du travail ( comme Annie , bises Annie ) professeur à l’université Paul-Verlaine de Metz. Dans son ouvrage elle nous montre comment la libéralisation du marché de l’énergie et l’ouverture du capital de ces Industries électriques et gazières (IEG) a transformé le fonctionnement de celle-ci et qui , pourrait à terme , menacer dans certains cas , la sûreté des installations et la sécurité de ceux qui y travaillent ( NOUS LES PETITES MAINS). Une enquête à partir des témoignages de salariés et de syndicalistes de cinq entreprises du secteur de l’énergie EDF, GDF Suez, la Société nationale d’électricité et de thermique (SNET), la Societé hydroélectrique du Midi (SHEM) et la Compagnie Nationale du Rhône (CNR)… un des cadre interroger lui, estime que la hiérarchie est loin de la réalité du terrain. Il reconnaît ,que la nécessité de sécurité accorde toujours plus…la priorité aux considérations financières «On nous donne des contraintes de sécurité, de sûreté, mais on ne nous donne pas forcément les moyens » tiens , tiens , bonne lecture 🙂
Reprise de service semaine 35 . Continuez à commenter les divers articles , nous vous rappelons que la rentré sera chaude , avec un pic prévu au alentour du 22 septembre sur tous les sites nucléaires de notre territoire . Des CDD transformés en CDI sur Tricastin , bonne , très très bonne nouvelle . Maintenant vous pouvez nous rejoindre et participer activement à nos cotés , vous êtes toutes et tous les bienvenus . On compte sur vous à la rentrée . Continuez à nous informer des éventuelles difficultés que vous rencontrez sur le terrain où que vous soyez c’est notre façon de partager afin d’améliorer nos conditions de vie et de travail … Voir le rébus en bas de page ( la réponse est sur cette page ) 🙂 Mais par dessus tout : watch?v=tN0ipJq9nac&feature=fvst parce que nous sommes watch?v=mXTZQdmN3RY
Exigeons ensemble la maîtrise 100% publique et citoyenne de l’industrie nucléaire , appuyons nous sur la réduction de consommation, la sobriété et l’efficacité énergétique et évidemment développons les énergies renouvelables.
L’économie de moyen finit par coûter très très cher à la fois sur les plans sanitaires, économiques et sociaux. L’illusion du gain immédiat gonfle les dettes de toute nature et ne pas voir plus loin que le bout de son nez est un bon moyen de se casser la gueule dans l’escalier.
Alors exprimons ici la dignité de ceux et celles qui ont par dessus tous besoin de l’aide d’autres humains. Notre engagement commun et de s’opposer à l’individualisme afin de créer un monde plus humain…
Bon courage à tous les acteurs sur les arrêts de tranche ,
Bonne reprise pour ce qui reviennent de vacances et
Bonne vacances pour ceux qui y sont …
Extraits de presse :
En juin 2010, Eric Woerth affirmait que la pénibilité du travail serait prise en compte pour un départ anticipé en retraite. Il qualifiait les propositions du gouvernement de : « droit nouveau dans le système de protection sociale et une avancée sociale absolument majeure »…
Les conditions de ce départ anticipé ont été codifiées dans la Circulaire DSS, du 18 avril 2011 relative à la mise en œuvre de la retraite à raison de la pénibilité.
Extraits : « (…) La retraite à raison de la pénibilité est réservée aux assurés victimes d’une maladie professionnelle ou d’un accident de travail. Cette dernière notion s’entend stricto sensu, c’est-à-dire à l’exclusion des accidents de trajet, lesquels n’ouvrent pas droit à la retraite à raison de la pénibilité.
Pour prétendre au bénéfice de la retraite à raison de la pénibilité, les assurés devront justifier d’un taux d’incapacité permanente reconnu :
– soit au titre d’une maladie professionnelle ;
– soit au titre d’un accident du travail ayant entraîné des lésions identiques à celles indemnisées au titre d’une maladie professionnelle (…) Le taux d’incapacité permanente requis devra être d’au moins 10 %. Lorsque ce taux sera au moins égal à 20 %, le droit à retraite sera ouvert sans autres conditions que la seule vérification, pour les victimes d’accidents du travail, de l’appréciation de la notion de lésions identiques.
En revanche, lorsque le taux sera au moins égal à 10 % et inférieur à 20 %, le bénéfice de la retraite sera subordonné :
– d’une part, au fait que l’assuré puisse apporter la preuve qu’il a été exposé, pendant au moins dix-sept ans, à des facteurs de risques professionnels ;
– d’autre part, à l’avis d’une commission pluridisciplinaire chargée d’apprécier à la fois la validité des modes de preuve apportés par l’assuré et l’effectivité du lien entre l’incapacité permanente et l’exposition aux facteurs de risques professionnels (…) »
En clair, à part les éclopés qui ne feront probablement pas de vieux os à la retraite, aucune possibilité de passer au travers des 62 ans même si vous êtes usé par le boulot !
A l’époque, les syndicats de salariés avaient fait part de leur opposition à cette individualisation de la pénibilité. D’autant qu’Eric Woerth leur avait annoncé que ce dispositif n’était : « pas ouvert à des salariés dont la santé n’est pas altérée mais risquerait de l’être plus tard » Précisant qu’il : refusait : « l’approche qui consisterait à fixer par avance une liste de métiers réputés pénibles »
Histoire de faire passer cette énorme pilule, le gouvernement instaurait : « un dispositif de prévention de la pénibilité »…
Lire l’article : http://www.marianne2.fr/SlovarMarianne/Prevention-de-la-penibilite-La-formidable-usine-a-gaz-du-gouvernement-_a300.html
Les Bourses européennes piquent sévèrement du nez : http://www.leparisien.fr/economie/crise-de-la-dette-les-bourses-devissent-malgre-les-decisions-de-la-bce-04-08-2011-1555173.php
La sécurité au travail en danger : http://www.lemonde.fr/cgi-bin/ACHATS/acheter.cgi?offre=ARCHIVES&type_item=ART_ARCH_30J&objet_id=1161914&clef=ARC-TRK-G_01
« Les vérités que l’on aime le moins à entendre sont souvent celles qu’on a le plus besoin de savoir »
(Ici nous respectons la loi sur les droits d’auteur et le travail de la presse et des journalistes professionnels)
Et vous…qu’en pensez vous ?
Mes amitiés aux uns, mes respects aux autres, bises à toutes et tous
Ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait (Mark Twain)
Rébus :
Vous avez devinez ?
Détermination des normes de tolérance thermophysiologique pour le travail en installation nucléaire de base en tenue TIVA (tenue d’intervention ventilée adaptable)
(publié le 19 septembre 2011)
Cette étude permet de proposer des recommandations aux médecins du travail en INB pour définir une limite de sécurité pour un travail d’intensité moyenne, pour une durée de 8 heures, à savoir pour une température de :
25°C : deux séquences de travail de 120 minutes avec un temps de repos et de réhydratation de 3 heures entre les deux séquences,
35°C : une séquence de travail de 60 minutes,
45°C : une séquence de travail de 30 minutes.
http://www.camip.info/Determination-des-normes-de.html
ET OUI,la France est un pays de vendus et de collabos et la révolution c’est pas pour demain….seront ils assez con pour nous remettre 5 ans de vilain Sarko???
YES…
ILS PEUVENT LE FAIRE…
il n’y a pas de limite a la connerie….
Le coût des maladies professionnelles
http://www.misterassur.com/assurance-sante/actualites-cout-maladie-professionnelle-assurance-statistique-832.html
Plus d’un milliard d’euros : c’est ce que coûte chaque année les maladies professionnelles à l’assurance maladie.
Qu’est-ce qu’une maladie professionnelle ? Une maladie professionnelle est une maladie contractée à l’occasion du travail. Le Code de la Sécurité sociale dresse la liste des métiers et maladies pouvant leur être associées. Les affections absentes de cette liste peuvent tout de même être reconnues comme maladies professionnelles, à condition que leur lien avec le travail soit avéré et qu’elles aient occasionné le décès ou une invalidité supérieure à 25 %.
Les personnes souffrant de maladies professionnelles bénéficient d’indemnités de la Sécurité sociale.
Pourquoi un chiffre si élevé : jusqu’à 1,1 milliard d’euros ? Parce que les maladies professionnelles ne sont pas toujours déclarées en tant que telles. Elles ne sont donc pas financées par la branche risques professionnels de l’assurance maladie. Cela pose un problème puisque cette branche est censée être alimentée exclusivement par les employeurs, contrairement aux autres qui sont alimentées par l’ensemble des acteurs du travail.
En évitant de déclarer maladies professionnelles et accidents du travail, certains employeurs espèrent donc effectuer des économies de cotisation. La Sécurité sociale réclame une compensation. Un transfert aura donc lieu, reste à s’entendre sur son montant.
Le régime de base de l’assurance maladie n’est pas toujours suffisant pour obtenir des remboursements performants. Le recours à une mutuelle est donc nécessaire. Pour trouver une assurance santé au meilleur rapport qualité / prix, rendez-vous sur le comparateur de Misterassur.com. Ce comparateur est un outil gratuit et rapide. En quelques clics, on peut accéder à différents devis et comparer leur prestation et tarifs, afin d’en trouver une offre d’assurance santé adaptée à ses besoins.
Hélas, ça risque de le refaire. Pourquoi? car les riches ne sont pas et de loin les seuls a avoir voté sarko en 2007. de nombreux pauvres (travailleurs et sans emplois de toutes origines) les ont imité et ils le referont en 2012 par lâcheté et bêtise mélangée…
Alors comme quoi, la connerie est toujours aussi forte. Mais je rassure les autres, La gauche et le centre ne valent pas mieux vu les énormités proposées dans leurs programmes respectifs. Vivement un vrai parti qui se démarque de tous ces fanfarons de gauche et de droite.
tu a raison franck,ils sont tous pourris..mais historiquement parlant,la droite n’a fait que détruire les avancées social que la gauche avait mis en place…comment des ouvriers peuvent ils oublier le combat de leur grand père et arrière grand père…voter sarko c’est cracher sur leurs tombes!!!
Eh oui, mais quand on voit le niveau des moins de 50 ans maintenant… Dans leur grande majorité, ils sont en fait des petits travailleurs embourgeoisés grace a une fine couche de vernis de confort… TV, internet, vacances, petites primes, rien que cela fait taire les velleités de petites revoltes de cette (grosse) frange de travailleurs…
Les aieux doivent faire eolienne dans leurs tombes. Bravo a ceux qui oeuvrent pour detruire les acquis de nos aieux. Merci de leur collaboration avec le patronnat, les boursicoteurs… A vomir ce genre de chose.
« 97 % de nos frais de santé sont d’ordre curatif, 3 % de l’ordre de la prévention »
Le coup de force contre la médecine du travail a échoué, mais ils menacent de le recommencer
http://www.filoche.net/2011/09/01/le-coup-de-force-contre-la-medecine-du-travail-a-echoue-mais-ils-menacent-de-le-recommencer-2/
Il faut, il faut…, je suis bien d’accord. Mais derrière, la majorité de la population en a rien a foutre…
Et la majorité des travailleurs aussi, bien au chaud dans leur petit confort fait de primes données par leurs patrons et chefailloons de service pour acheter leur silence..
Moi, ça me révolte.
Pour info, avec la mentalité de voyous de nos patrons, ce n’est pas demain que les emplois remonteront… La France, c’est la fermeture de toutes nos industries, avec l’accord tacite de nombres d’organisations syndicales (qui ont négociées pour certaines des mutations et promotions de leurs membres lors de certaines fermetures d’entreprises – voir il y a 10 ans lors de la fermeture de superphenix, les « promotions » d’agents vers St Alban et Bugey, voir même Cruas… Ce fait n’était même pas un secret sur SPX a la fin…
CGT
Economie
Il faut en finir avec la dictature des marchés financiers
lundi 8 août 2011
Les marchés financiers sont de nouveau secoués. Cette fois-ci la cause en est la dégradation de la note par l’agence de notation Standard & Poor’s des obligations émises par l’Etat américain.
Après les mêmes pratiques récentes sur des Etats européens, une agence de notation se permet de risquer de fortes secousses avec des conséquences qui peuvent être lourdes sur l’économie réelle, la croissance, l’emploi, les salaires …
Une fois de plus, des officines privées se permettent de juger et de tenter de changer, par pressions des marchés financiers, la politique économique de pays (dont aujourd’hui celle des Etats-Unis, première économie mondiale) vers toujours plus d’austérité. Elles s’arrogent un rôle qui doit être celui des Etats sous contrôle démocratique de leurs citoyens. Pour le moment tétanisés par leur incapacité à réguler la finance, les Etats s’y soumettent, au lieu de s’appuyer sur les exigences des peuples.
Ce nouvel épisode met en évidence le bien-fondé d’une exigence forte qui prend partout dans le monde : il faut mettre fin à la dictature des marchés financiers pour dynamiser l’économie, créer des emplois stables, augmenter les salaires et soutenir l’investissement productif. Valérie Pécresse, ministre du Budget, annonce : « La France sera au rendez-vous de la réduction de son déficit cette année et l’année prochaine ».
De tels propos, visant à donner des gages aux marchés financiers, témoignent du fait que nos responsables politiques ne veulent pas admettre que les politiques de sauvetage des marchés financiers, mises en place depuis trois ans, sont contre-productives et en opposition à l’intérêt général.
Les programmes d’austérité exigés par les marchés financiers conduisent à la hausse du chômage et de la précarité, pèsent sur les salaires, les pensions et les minima sociaux, donc sur le pouvoir d’achat, et affaiblissent le potentiel de croissance économique.
On ne peut pas sortir de cette crise en donnant encore et toujours plus de gages aux marchés financiers : les « plans de sauvetage » se multiplient et à chaque fois la somme d’argent nécessaire pour sauver les financiers augmente. Cet argent aurait pu, et doit, être mobilisé au service de l’emploi et de l’investissement productif.
Pour sortir de cette crise, il faut remonter à la source : il faut revaloriser le travail.
Il faut créer des emplois qualifiés et stables, augmenter les salaires, dynamiser l’investissement productif.
Il faut mettre fin aux programmes d’austérité. Au lieu de réduire les moyens des services publics et geler les traitements dans la fonction publique, ce que fait le gouvernement, il faut augmenter les dépenses utiles comme celles de l’éducation, de la santé et des infrastructures.
Il faut en revanche supprimer les niches fiscales et sociales inutiles, augmenter l’impôt sur les hauts revenus et taxer les transactions financières.
Il faut, enfin, stopper les capacités de manœuvre et de nuisances de la sphère financière et spéculative au profit d’une capacité de décisions de l’économie réelle sous contrôle démocratique.
La CGT porte ces exigences et appelle à porter d’autres choix pour une autre répartition des richesses par la mobilisation des salariés, retraités et privés d’emploi notamment par une journée d’action interprofessionnelle à la rentrée.
Montreuil, le 8 août 2011
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Infos > France
Incident à la centrale de Cruas-Meysse
Par Europe1.fr avec AFP
Publié le 18 août 2011 à 22h24
Mis à jour le 18 août 2011 à 22h28
Un départ d’incendie sans gravité s’est déclaré jeudi matin dans la zone non nucléaire de la centrale de Cruas-Meysse, en Ardèche, exploitée par EDF, avant d’être maîtrisé sans faire de blessé ni de dégât sur l’environnement, a-t-on appris auprès de la centrale. L’incident, qui s’est produit vers 10H30 sur une turbo-pompe en salle des machines, n’a eu « aucune incidence sur le fonctionnement de la centrale », une seconde turbo-pompe ayant pris le relais, a précisé EDF, confirmant une information parue sur le site internet du Dauphiné Libéré.
Des « traces d’huile sur certaines parties de la turbo-pompe », qui venait d’être révisée, ont provoqué un « dégagement de fumées » à cause de la chaleur, a expliqué EDF. La pompe, immédiatement arrêtée, a pu être remise en service jeudi vers 21H30. Une trentaine de pompiers ont été dépêchés sur place dès le déclenchement du système de sécurité. Ils ont maîtrisé le départ d’incendie en « deux heures et demie », ont indiqué les pompiers.
Leurs gilets sont frappés du slogan : « Désobéissance totale ».
Ils soulèvent les barrières rouges et blanches et invitent les conducteurs à passer sans payer les 2,80 euros de péage.
Sur leurs banderoles, on peut lire : « Nous ne paierons pas », ou encore : « Nous ne donnerons pas notre argent aux banquiers étrangers ».
Les automobilistes passent, reconnaissants, certains adressant un signe d’encouragement aux manifestants.
La révolte des “On ne paiera pas”
http://www.presseurop.eu/fr/content/article/837761-la-revolte-des-ne-paiera-pas