Pour Fabrice Coudour, secrétaire général adjoint de la FNME CGT, « le retard, la hausse des coûts : tout cela est une conséquence de vingt ans de dérégulation du secteur. On utilise des sous-traitants, on veut faire de la performance d’entreprise, mais on perd en compétences. Ce sont les politiques qui récoltent les fruits mais ce sont les salariés qui triment »…
L’arrêt intempestif de l’EPR de Flamanville la semaine passée, quelques heures après son démarrage en grande pompe, pourrait en annoncer d’autres tant ce réacteur est marqué par les anomalies et défauts de fabrication. Les réactions nucléaires ont pu reprendre samedi matin. Mais pour combien de temps ?
Source : Nucléaire : pour l’EPR, un démarrage et beaucoup de questions | Mediapart