Aujourd’hui, un réel engouement pour les réseaux sociaux semble
se développer auprès des jeunes, mais aussi auprès des moins jeunes.
Combien ont partagé des photos et mis des commentaires plus ou moins douteux sur telle ou telle personne ou sur une société ?
Ou encore sur une institution ? Qu’il est bon parfois de se défouler et pousser un « coup de gueule sur la toile » !
Combien d’employeurs, aussi ont eu accès a ces données en tapant simplement le nom de la personne, juste histoire de voir sur internet l’implication d’un postulant.
J’ai pour exemple un employé qui indiquait être cloué au lit le matin, et qui, a pris soin de remplir son profil Facebook en mentionnant qu’il avait passé une superbe journée à Disneyland !
Beaucoup d’entre nous, avons, ces dernières années négligé l’impact de la publication de données, informations personnelles, remarques et autres notes, se retrouvent en toute liberté sur la toile. Alors qu’il nous serait inconcevable de donner ses informations à un inconnu !
Certains le regrettent aujourd’hui, car ils se trouvent référencés ça et là, leur propos ont été repris, relayés, des dizaines voire des centaines de fois… Et ce à leur insu, sans même quasiment aucun recours.
N’oublions pas qu’Internet est aussi, et surtout un média à part entière. Nous devons prendre conscience que ce média, comme les autres, mérite que nous travaillons notre image. Personne ne voudrait voir publier des informations personnelles sur un journal à grand tirage !
On assiste aujourd’hui, en France, à un phénomène connu depuis des dizaines d’années Outre-Manche. Il s’agit du vol d’identité sur internet.
Le principe est simple : quelqu’un se fait passer pour vous, il usurpe même l’adresse IP de votre connexion internet !
Si vous n’avez pas pris de précautions, il va même pouvoir récupérer des données personnelles contenues sur votre ordinateur, et s’en servir (scan de carte d’identité, RIB etc.).
D’ailleurs, Internet, et surtout les réseaux sociaux sont devenus les meilleurs amis des détectives privés, comme l’indique un article du 11 mars 2010 paru dans Libération :
« Vous n’imaginez pas tout ce qu’on peut savoir en quelques clics de souris… Donnez-moi deux heures, et je saurai tout sur vous ».
Le Nestor Burma moderne, costard cravate et iPhone, vous épie avant tout via la Toile.
« C’est comme tout, notre métier évolue avec le temps. Avant on faisait des filatures à vélo, maintenant on utilise Internet et les satellites…(…) » © Liberation.fr 2010.
Combien il est facile de raconter sa journée, ses activités, comme dans un journal intime, sauf que ce journal intime peut être potentiellement lu par des millions d’internautes.
Electricité de France SA prévoit de recruter 10.000 personnes au cours des cinq prochaines années afin de développer ses capacités dans l’énergie nucléaire, rapporte The Independent lundi sur son site Internet, sans citer de sources précises.
EDF, qui construit deux réacteurs sur le site britannique de Hinkley Point, dans le Somerset, et deux autres à Sizewell, dans le Suffolk, compte embaucher des milliers de scientifiques, d’ingénieurs et de techniciens, selon le quotidien britannique.
Le groupe français aurait déjà engagé 100 concepteurs et ingénieurs pour son siège de Londres, rapporte le journal.
Il prévoit de produire de l’électricité sur le site de Hinkley à partir de 2017-18 et à Sizewell deux ans plus tard, selon The Independent.
Dow Jones Newswires
Il proposerait même un abonnement à ARSENAL pour les Français nostalgique de foot …
«Coupés de la vraie vie», «surtout préoccupés par leur carrière», les élus provoquent la défiance de leurs électeurs, selon un sondage InfraForces. Seuls les maires sortent du lot.
Au lendemain des élections régionales, marquées par une très forte abstention, trois Français sur quatre déclarent ne pas avoir confiance dans les hommes politiques (76%), selon un sondage InfraForces pour France Info et 20 Minutes.
D’après les sondés, les électeurs qui se détournent des urnes manifestent moins leur désintérêt pour la politique en général (10%) qu’un mécontentement croissant vis-à-vis de leurs représentants (36%), dans lesquels ils ne se reconnaissent pas (24%), qu’ils soient de gauche ou de droite.
Les reproches à l’égard des hommes politiques ne manquent en effet pas. Ainsi, 86% des Français estiment que leurs élus «se préoccupent surtout de leur carrière», et 67% les jugent «coupés de la vraie vie des Français».
A l’inverse, ils sont une minorité à penser que leurs représentants ont «une vision pour l’avenir» (40%), peuvent «réduire les effets de la crise» (37%) et connaissent les vraies préoccupations de leurs concitoyens (24%).
Seule satisfaction, ils les reconnaissent «courageux» (50%), «compétents» (50%) et «travailleurs» (64%).
Mais les soupçonnent aussi dans le même temps être corrompus (51%).
suite article : http://www.lefigaro.fr/politique/2010/04/06/01002-20100406ARTFIG00453-trois-francais-sur-quatre-se-mefient-des-politiques-.php
Si l’économie française connaît quelques petites
améliorations, les chiffre de l’emploi, eux, restent en berne.
Pour preuve : le nombre de chômeurs indemnisés par l’assurance chômage ou par l’Etat a atteint 2,572 millions en février, soit 12,8% de plus qu’en février 2009, selon les statistiques publiées mardi par Pôle emploi.
Toutes allocations confondues, y compris chômage, formation et préretraites, le nombre de personnes indemnisées par Pôle emploi a augmenté de 0,5% sur un mois (données CVS) et de 13,9% en un an, pour atteindre 2,778 millions, contre 2,440 millions en janvier 2009.
+ 36,1% de personnes en formation ou en reconversion indemnisées
suite article : http://www.leparisien.fr/economie/pole-emploi-2-5-millions-de-chomeurs-indeminises-en-fevrier-06-04-2010-876256.php
Vingt pour cent des travailleurs belges n’ont pas
accès au réseau social Facebook ou à d’autres sites du genre sur leur lieu de travail, révèle mardi une étude d’InSites Consulting. Ces résultats sont conformes à la moyenne mondiale.
C’est principalement en Amérique du Nord, en Amérique latine et en Australie que les employeurs interdisent à leur personnel d’accéder à ces réseaux sociaux. En Europe de l’Est et en Asie, les limitations sont moins prononcées, selon le bureau d’études spécialisé dans l’internet.
« Les entreprises qui excluent leurs commerciaux des médias sociaux excluent finalement leurs équipes du consommateur. On donne ainsi le message que l’entreprise n’est pas intéressée par une relation avec le consommateur », précise Steven Van Belleghem, managing partner d’InSites Consulting.
Cette enquête en ligne a été menée en janvier dernier auprès de 2884 consommateurs dans 14 pays (Belgique, Pays-Bas, Royaume-Uni, France, Allemagne, Espagne, Italie, Portugal, Brésil, Etats-Unis, Australie, Roumanie, Russie et Chine).