Considérant que la majorité des peuples est aujourd’hui au courant qu’on la roule dans la farine, conscients du fait que des solutions, même provisoires, sont proposées mais jamais appliquées,il faudra bien qu’un jour les peuples se rendent à cette évidence : il va falloir s’organiser sans eux.
Il ne faut pas rêver, nos gouvernements ont définitivement cessé de se préoccuper de l’intérêt collectif pour satisfaire leurs propres intérêts.
Face à la crise qui s’aggrave et dont même nos enfants paieront le prix, il faut désormais se rendre à l’évidence, nous ne pouvons rien attendre de quelque parti que ce soit.
Alors, avant qu’il ne soit trop tard, il faut absolument que tous les citoyens de bonne volonté se mettent à agir eux-mêmes et pour eux-mêmes.
Même s’il paraît impossible de s’opposer au système tel qu’il fonctionne, ou d’en proposer un autre qui fonctionne mieux, nous sommes certains qu’à ne rien faire c’est le pire qui se produira.
Il faut juste relayer cet appel, le traduire, l’améliorer, et profiter de tous les réseaux humains dont nous disposons : dans chaque endroit de chaque pays peuvent s’organiser réunions et discussions, et transfert des idées vers de simples sites web repérables géographiquement.
La seule question qu’il faut se poser maintenant est de savoir ce que nous désirons pour nos enfants.
Si chacun se met à penser non plus pour lui-même mais pour l’avenir de ceux qui grandiront sur la planète telle qu’on la leur léguera, nous pouvons tous nous retrouver, sans autre religion que celle de l’amélioration du sort de l’espèce humaine.
Et si nous n’arrivons pas toujours à nous mettre d’accord sur ce que nous voulons, nous pouvons y réussir sur ce que nous ne voulons pas : qu’on nous prive de notre liberté, elle qui définit notre humanité.