Depuis la mise à l’arrêt des réacteurs n°1 et n°5 pour un rechargement partiel du combustible et des opérations de maintenance, au mois de juillet, la centrale nucléaire de Gravelines a connu une série d’incidents au mois d’août.
Le 3 août, un « défaut fugitif sur un module qui permet la régularisation du générateur de vapeur », a touché le réacteur n°1. Le 4 août, un « capteur a montré que le serrage de la vis de purge était insuffisant sur l’unité de production n°5 ».
Le 7 août, c’est un délai d’intervention sur le circuit incendie du réacteur n°2 qui a été déclaré non conforme. Le 7 août, encore, un essai sur la turbopompe de l’unité de production n°5 a « révélé un écart en raison de l’indisponibilité de la protection par survitesse de la pompe ».