Le retraitement de ferrailles issues du nucléaire n’est pas d’actualité pour la fonderie de Feurs.
La direction a d’autres problèmes à régler.
Le syndicat CGT n’en reste pas moins sur ses gardes
Quand le serpent de mer du retraitement des métaux issus de la filière nucléaire ressort la tête de l’eau, il fait de l’ombre à Feursmétal. La fonderie traditionnelle du centre de la Loire s’est retrouvée une fois, en 2005, dans l’œil du monstre, et maintenant, on vient la voir à l’évocation du moindre becquerel.
Ainsi, hier, une équipe de TF1 était à Feurs dans le cadre d’un sujet global sur l’éternel -insoluble?-problème du retraitement des ferrailles suspectes.
Le sujet n’apparaît pourtant pas d’actualité pour l’entreprise de la Loire. «Surtout pas» jure ses grands Dieux, le directeur Pascal Rapaud «D’abord, on a d’autres chats à fouetter. Et déjà celui de remettre l’entreprise en selle».
Feursmétal, qui réalise notamment des pièces en acier moulé pour des machines du bâtiment et des travaux publics, a subi la crise lourdement. Ses effectifs ont fondu bien en dessous des 500 salariés habituels, et les jours de chômage partiel se sont multipliés.
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et vous , vous en pensez quoi ?