Elections au Conseil Administration Areva S.A

    Depuis le 05 Novembre 2009 Ma Zone Contrôlée revendique l’obtention de moyen supplémentaire, de compétence suffisante et surtout une réelle reconnaissance de nos métiers.

    Parce qu’il ne s’agit pas d’une industrie comme les autres, nous ne sommes pas des salariés comme les autres !

    Nous intervenons sur les sites d’EDF, d’AREVA, du CEA, ANDRA, IRSN et dépendons de multiples conventions collectives (les plus connues étant : Nettoyage, Bureaux détudes, Gardiennage, Construction, Métallurgie).

    Pourtant, nous avons toutes et tous une caractéristique commune, celle de partager les mêmes formations et habilitations fondamentales : DATR (Directement Affecté aux Travaux sous Rayonnements), Prévention des risques Radiologiques (PR1, PR2) et celle concernant la Sûreté Nucléaire.

    Suite a une enquête faite par l’OMS auprès de 400 000 salariés du nucléaire de 15 pays, une exposition à la dose limite annuelle autorisée (20mSv) pendant une carrière de 40 ans, induit un risque de développement de cancer sur 8 a 16% des salariés exposés, soit un risque 10 à 20 fois supérieur à la norme actuelle concernant l’amiante, ce qui est tout a fait considérable vous en conviendrez.

    Pour l’Association MZC, l’urgence d’une réflexion et prise de position clair de tous les acteurs de cette filière s’impose.

    Le niveau de sécurité et de sûreté découle directement des garanties collectives et des droits des salariés et en devient un enjeu majeur pour préserver dans notre pays un bon niveau d’acceptation par l’opinion publique du nucléaire.

    L’impératif de sécurité et de sûreté nucléaire, ne peut primer qu’avec la question purement économique de rentabilité et soumise aux aléas des marchés.

    Nous estimons, que pour faire progresser significativement et durablement les nouvelles exigences de sécurité et de sûreté absolument nécessaires aujourd’hui, il est indispensable d’instaurer un statut unique et spécifique à l’ensemble des salariés précaires et sous-traitants de cette industrie.

    votez1Salariés collègues précaires, sous-traitants des diverses filiales du groupe AREVA, c’est à toi de décider en votant pour tes futures conditions de travail et de vie.

    Ci-dessous, les engagements pris ou pas par les Organisations Syndicales AREVA pour faire évoluer ou pas, ta propre situation.

    Décidons ensemble

    Les candidats de la liste CFE-CGC s’engagent, s’ils sont élus, à multiplier les contacts directs et utiliser le réseau CFE-CGC AREVA afin de faire en sorte que les réalités du terrain soient le mieux possible pris en compte dans les choix stratégiques d’AREVA.

    Vigilance accrue sur la gestion de notre groupe…

    Une politique à visage humain…

    La défense du nucléaire…

    SOURCE : Clic sur l'image

    SOURCE : Clic sur l’image

    Faites entendre votre voix au Conseil d’Administration

    Voter pour les listes parrainées par la CFDT, c’est s’assurer d’une représentation indépendante des employeurs, des politiques, des idéologies, qui respectent avant tout l’intérêt social des hommes et des femmes du groupe AREVA…

    2014-10-26_11h34_28La CFDT se déclare ouvertement représentante du capital humain du groupe AREVA !

    Force Ouvrière : Élections Conseil d’administration AREVA

    Force Ouvrière : Des femmes et des hommes libres dans une organisation indépendante.
    Un rôle : Regrouper les salarié(e)s au delà de leurs choix politiques, religieux ou philosophiques pour défendre leurs intérêts collectifs et individuels.                               Des valeurs : Liberté, Solidarité, Démocratie, Indépendance.
    Une conviction : Le syndicat n’a pas vocation à être co-gestionnaire mais doit être un contre-poids à tout pouvoir.

    Vidéo de lancement de la campagne pour l’élection des représentants du personnel au conseil d’administration d’AREVA

     

    separateur2

    2014-10-26_14h50_352014-10-26_15h03_07

    Nos amitiés aux uns, notre respects aux autres, bises à toutes et tous

    Et vous…qu’en pensez vous ?

    A vos claviers .

      20 comments for “Elections au Conseil Administration Areva S.A

      1. webmaster MZC
        6 novembre 2014 at 5h47

        Résultat vote C-A Areva

        Il appartient à toutes les Organisations Syndicales de tirer les leçons pour les élections à venir
        l’abstention profite toujours au patronnât …

      2. webmaster MZC
        1 novembre 2014 at 10h12

        Les Facteurs Sociaux Organisationnels et Humains deviennent légitimement aujourd’hui l’élément central des conditions de poursuite d’exploitation de toutes nos installations nucléaire 😉

      3. ISA
        31 octobre 2014 at 20h38

        L’Etat étudie la vente d’actions EDF

        Le dossier attend Jean-Bernard Lévy sur son nouveau bureau de président d’EDF. Selon nos informations, l’Etat étudie une nouvelle ouverture du capital de l’électricien, après en avoir déjà cédé 15 % en 2005.

        Mercredi 16 octobre, Emmanuel Macron, le ministre de l’économie, a indiqué que le gouvernement comptait céder « de 5 à 10 milliards d’euros d’actifs » dans les dix-huit prochains mois. Or, « vendre du EDF est le seul moyen d’atteindre cet objectif », assure un familier du dossier.

        « Le portefeuille des participations de l’Etat doit être mis au service de la croissance et de l’activité », a expliqué l’ex-banquier chez Rothschild lors de la présentation de son projet de loi « pour l’activité et l’égalité des chances économiques ». « Nous aurons des cessions dans plusieurs domaines », a ajouté M. Macron, refusant néanmoins de révéler le nom des entreprises dont l’Etat pourrait céder tout ou partie des titres.

        http://www.lemonde.fr/economie/article/2014/10/16/l-etat-etudie-la-vente-d-actions-edf_4506923_3234.html

      4. Sylver
        30 octobre 2014 at 23h02

        Des militants anti-nucléaire perturbent le conseil municipal

        Avant même son ouverture, le conseil municipal de ce soir a été perturbé par une action du collectif anti-nucléaire 84, qui milite pour un arrêt total et immédiat du nucléaire. Sur les marches du perron de l’hôtel de ville, une poignée de militants avait dispersé une sorte d’huile rendant dangereux l’accès a la mairie pour les élus et le public. Quelques minutes plus tard, un militant introduit dans la salle du conseil a jeté une boîte remplie de sauterelles avant de s’éclipser. Les insectes ont été ramassés au sol par le chef du protocole et le chef du cabinet du maire avant que la séance puisse d’ouvrir.

        Depuis quelques minutes, le calme est revenu et Cécile Helle a commencé à présenter au conseil les mesures de son « plan sécurité ».

        http://www.laprovence.com/actu/politique-en-direct/3104577/des-militants-anti-nucleaire-perturbent-le-conseil-municipal.html

      5. boubou
        29 octobre 2014 at 20h22

        Survols de sites nucléaires français par des drones :Greenpeace nie toute implication et demande une enquête

        Depuis le 5 octobre, selon EDF et d’autres sources, au moins dix sites nucléaires français ont été survolés par un ou plusieurs engins du type aéronef s’apparentant à des drones.

        « Greenpeace tient à démentir toute implication dans ces survols de drones, explique Yannick Rousselet, chargé de campagne nucléaire pour Greenpeace France. Pour chacune de ces actions, Greenpeace agit à visage découvert et revendique ses actes. Ce fut le cas en 2012 lors, successivement, d’un survol de La Hague par un drone ou de la centrale du Bugey par un paramoteur. Ce qui se passe avec ces nombreux survols est très inquiétant. Nous demandons au Haut fonctionnaire de défense et de sécurité une enquête sur la sécurité aérienne des sites nucléaires. »

        Dans six cas sur dix, c’est-à-dire dans les centrales nucléaires de Gravelines, du Blayais, de Cattenom, de Nogent-sur-Seine, du Bugey et de Chooz, EDF a porté plainte contre x et a publié une information sur le site internet de la centrale. Selon d’autres sources, le site de Superphénix (Isère), le site du Commissariat à l’Energie Atomique de Saclay dans l’Essonne, la centrale nucléaire de Pierrelatte (Drôme) et la centrale nucléaire de Fessenheim s’ajoutent à la liste et ont également connu un ou plusieurs survols de drones.

        Les survols incriminés ont eu lieu parfois le même jour sur quatre sites éloignés, Bugey, Gravelines, Chooz, Nogent-sur-Seine le 19 octobre par exemple, ce qui témoigne d’une opération de grande envergure.

        « Nous sommes très inquiets de la survenue et de la répétition de ces survols suspects sans qu’aucune réponse sur leur origine ne soit fournie ni par EDF ni par les forces de l’ordre, explique Yannick Rousselet. Les délais entre la survenue de ces survols et le dépôt de plainte par EDF et l’absence d’information sur certains des sites survolés laissent vraiment interrogatifs. »

        Greenpeace France s’est dès ce mardi 28 octobre rapprochée de l’Autorité de sûreté nucléaire, de la sécurité d’Areva et du Haut fonctionnaire de défense et de sécurité pour avoir des explications au sujet de ces survols.

        http://www.paris-normandie.fr/detail_article/articles/1758174/breves+l-essentiel/survols-de-sites-nucleaires-francais-par-des-drones-greenpeace-nie-toute-implication-et-demande-une-enquete#.VFE9Xxbn37w

      6. Sentinelle
        29 octobre 2014 at 19h12

        Jean-Pierre Bachmann / Groupe AREVA

        Coordinateur Syndical CFDT

        Areva finalise sa base de données économiques et sociales

        Le groupe Areva négocie avec les organisations syndicales représentatives un projet d’accord portant sur l’instauration de la base de données économiques et sociales. La dernière réunion a eu lieu le 22 octobre et a finalisé le projet d’accord collectif qui articule l’information consultation sur la stratégie avec la BDES.

        Un processus de négociation long et complexe

        Les négociations ont débuté en juin 2014 et ont fait l’objet de nombreuses séances d’échange sur le contenu de la base de données unique.

        Un nouvel outil pour les représentants du personnel

        Les partenaires sociaux ont travaillé sur la mise en place d’une BDES qui permette de réaliser des extractions de données ainsi que de recherches par mots clefs, donnant ainsi une plus grande liberté aux élus des diverses instances représentatives.

        De nouveaux indicateurs

        Le projet de BDES reprend des indicateurs nouveaux négociés avec les organisations syndicales, tels que les données économiques transverses (structure du groupe Areva non regroupées en UES mais portant l’activité), les flux entre filiales, les données sur la sous-traitance d’activité, les conséquences environnementales. Il simplifie sans les dégrader les indicateurs communs aux divers rapports transmis auparavant aux instances représentatives du personnel, comme ceux du bilan social, du rapport de situation comparée.

        Un accès élargi aux informations

        http://www.miroirsocial.com/actualite/10883/areva-finalise-sa-base-de-donnees-economiques-et-sociales

        Areva : un nouvel accord sur le dialogue social

        Le 26 septembre 2014, les organisations syndicales CFDT, SPAEN/UNSA, CFE/CGC, FO et la direction des ressources humaines du groupe Areva ont signé un accord de groupe sur le thème du dialogue social. Ce texte consolide et améliore en grande partie les dispositions de l’accord de 2010 arrivé à échéance.

        Des moyens maintenu dans un contexte difficile :

        L’accord maintient les moyens alloués aux organisations syndicales, dont les dotations et les missions pour déplacements.
        L’accord précise les niveaux de négociation dans le groupe Areva: le niveau central et le niveau d’entreprise…

        http://www.miroirsocial.com/actualite/10876/areva-un-nouvel-accord-sur-le-dialogue-social

        Il en est où ce projet CFDT d’un  » Socle commun de droit  » pour les salariés sous-traitants du nucléaire ?
        Il concerne bien tous les salariés sous-traitants du nucléaire ou alors que les filiales du groupe comme D&S avec AMALIS / STMI / MSIS / POLINORSUD ?
        J’aimerais bien savoir …

      7. geraldine
        28 octobre 2014 at 19h09

        LA SECRÉTAIRE GÉNÉRALE DE LA FNME-CGT S’ADRESSE A L’ENCADREMENT

        Madame, Monsieur, Cher(e) collègue,

        Vous êtes témoin des événements importants pour le présent et l’avenir d’EDF qui se sont produits au cours des derniers jours.

        L’Assemblée Nationale a émis un premier vote sur le projet de loi dit sur la transition énergétique pour une croissance verte.

        En réduisant pour l’essentiel son champ au seul domaine de l’électricité en guise de futur bouquet énergétique français, ce texte s’est situé d’emblée en dehors de toute préoccupation d’environnement ou de climat.

        Là où la France avait pris une précieuse avance en termes d’émissions de CO2, de prix de revient de l’électricité et de péréquation tarifaire garantissant l’accès de tous à l’électricité aux mêmes conditions, ce texte se contente de fixer un seuil artificiel à la production d’origine nucléaire visant une diminution dogmatique de sa contribution au mix électrique, sans même s’interroger sur les besoins énergétiques du futur, leur lien avec la croissance, l’emploi, la démographie, l’évolution des besoins humains, le coût, la fiabilité et parfois même la viabilité des moyens de production présentés comme alternatifs.

        La privatisation de fait de la production électrique d’origine hydraulique, contenue dans ce texte, rapprochée de l’annonce concomitante d’une ouverture supplémentaire du capital d’EDF et de ses filiales soulignent la préoccupation centrale de ce texte : ouvrir davantage encore ce secteur aux intérêts privés et pour cela, fragiliser la première entreprise du secteur, EDF, et sa capacité à relever les défis industriels et commerciaux au service de la Nation.

        Le gouvernement, toujours aussi gourmand en dividendes, ne se prépare-t-il pas à adopter un dispositif tarifaire qui ne se fixerait plus comme impératif de couvrir les coûts d’EDF, ce qui mettrait à terme en danger la capacité de l’entreprise à renouveler le parc nucléaire.

        C’est dans ce contexte qu’est intervenue l’annonce du changement de gouvernance d’EDF.

        Sur le fond, dans un contexte de projets industriels en cours de développement, parmi les plus importants du pays, ce changement surprenant accompagné de louanges du sommet de l’État sur l’excellent bilan soulève une légitime question : quel est donc l’objectif réellement poursuivi ?

        Sur la forme, le vrai-faux suspens entretenu par médias interposés jusqu’à la veille du Conseil d’Administration déjà repoussé, l’annonce du changement de Président d’EDF en plein salon international d’une filière présentée comme un des rares atouts national, témoignent d’un rare mépris pour les instances de gouvernance de l’entreprise comme pour les 160.000 salariés qui la font vivre.

        Parce que votre engagement professionnel quotidien est indissociable de l’intérêt général et du service public, la conjonction d’événements de ces derniers jours a suscité beaucoup d’incompréhension, d’inquiétude et de colère parfois parmi les cadres de l’entreprise.

        La Fédération Nationale des Mines et de l’Energie CGT souhaite débattre avec vous et avec tous les salariés des conditions à réunir pour dépasser ce constat et ouvrir des perspectives positives pour votre avenir, celui d’EDF et du pays.

        A tous les niveaux, ses militants et ses élus se sont beaucoup investis au cours des derniers mois pour faire entendre les intérêts des salariés et des usagers.

        Il faut maintenant donner une résonance plus grande à cette expression pour être en capacité de peser davantage sur les choix en présence, en respect de l’intérêt social de l’entreprise publique et au service exclusif de l’intérêt général : c’est le sens de notre appel à une journée de mobilisation et d’action, le 4 novembre, à laquelle nous vous invitons à participer, dans les formes que vous déciderez.

        Très cordialement,

        La Secrétaire Générale
        Virginie GENSEL-IMBRECHT

      8. webmaster MZC
        28 octobre 2014 at 6h09

        Travailleurs détachés : que disent les chiffres ?

        Le gouvernement veut renforcer les contrôles sur les travailleurs détachés, dont le nombre explose.

        En visite sur un chantier de construction parisien lundi, le ministre du Travail François Rebsamen a prévenu : les contrôles sur les travailleurs détachés vont être renforcés. Une annonce qui tombe – hasard du calendrier ? – au moment où la justice se penche sur les abus des sous-traitants de Bouygues lors de la construction de la centrale nucléaire EPR à Flamanville. Des poursuites qui devraient se multiplier car le nombre de ces travailleurs détachés ne cesse d’augmenter dans la plus grande opacité, les députés français allant jusqu’à considérer que la loi actuelle a fait « l’objet d’un ‘opportunisme social’ et est devenue un outil redoutable de concurrence déloyale ». Etat des lieux d’un mouvement qui prend de l’ampleur et que les autorités peinent à suivre et donc contrôler….

        Du low cost plutôt que des compétences ?
        Officiellement, le détachement de travailleurs répond « au besoin de travailleurs spécialisés en vue d’effectuer une tâche de nature complexe dans un autre État membre de l’UE confronté à un manque de main d’œuvre dans ce domaine précis », comme le rappelle le rapport du sénateur Bocquet. Mais ce dernier ajoute dans la foulée que ce système « est également devenu ces dernières années synonyme d’optimisation sociale, voire de dumping social ».

        Le mot est lâché et il est vrai que la plupart des agences proposant des travailleurs détachés mettent plus en avant l’avantage financier que l’apport de compétences, souvent existantes en France. Le sénateur souligne, par exemple, le cas d’un sous-traitant de Carrefour qui aurait fait commande, en Roumanie, à un prestataire de service géré par… son fils. Ou encore le cas d’entreprises « luxembourgeoises qui recrutent des travailleurs français qu’elles affilient au régime local avant de les mettre à disposition d’une société française. Ces sociétés n’ont, la plupart du temps, aucune activité réelle sur le territoire luxembourgeois et les intérimaires français n’ont, quant à eux, jamais travaillé dans le Grand-Duché….

        http://www.europe1.fr/emploi/travailleurs-detaches-ce-que-disent-les-chiffres-2271813

      9. Redaction MZC
        27 octobre 2014 at 21h29

        Bonjour à toutes et à tous,

        Philippe est une nouvelle fois en danger face aux broyeurs du social. Un des nôtres est en danger et notre devoir est de le soutenir dans cette nouvelle épreuve qu’il subit malgré lui.
        Nous ne pouvons pas les laisser détruire Philippe sans réagir.

        Lisez son histoire, notre histoire, votre histoire de « força de l’atome » sur:

        http://www.76actu.fr/sous-traitance-dans-le-nucleaire-le-combat-dun-salarie-pres-du-havre_96176/

        MZC vous sollicite donc pour faire suivre et faire signer cette pétition et ceci à tous vos amis (es), contacts, correspondants (es), …

        http://www.petitions24.net/soutien_combat_de_philippe_billard_pour_la_sante_des_travailleurs

        C’est très urgent.

        Merci d’avance

      10. FOREST
        27 octobre 2014 at 21h03

        Areva et Siemens réclament désormais 3,5 milliards d’euros à l’exploitant de l’EPR finlandais

        Le consortium que forme le groupe français et l’allemand Siemens réclamaient jusqu’à maintenant 2,6 milliards d’euros d’indemnités pour les retards que connaît le chantier.

        http://www.lesechos.fr/industrie-services/energie-environnement/0203890752401-nucleaire-areva-et-siemens-reclament-desormais-35-milliards-deuros-a-lexploitant-de-lepr-finlandais-1057921.php

      11. webmaster MZC
        27 octobre 2014 at 6h15

        La filière énergétique en plein bouleversement

        En une semaine, les patrons d’EDF, Areva, Total et GDF Suez ont changé. La nouvelle filière française doit se diversifier et accélérer sur les énergies renouvelables.

        Inquiétudes dans le nucléaire

        Le défi de la croissance verte se dresse aussi sur le chemin d’EDF, encore trop dépendant au nucléaire à l’arrêt à l’international depuis Fukushima. L’électricien doit aussi se concentrer sur la France et ses 58 réacteurs qui vieillissent. Un mur d’investissements, de l’ordre de 55 milliards d’euros, se dresse devant lui dans les dix années à venir. Or ses marges de manœuvre restent très étroites. « La trésorerie reste insuffisante pour faire face aux investissements », explique Thierry Gadault dans son livre EDF, la bombe à retardement (First). L’auteur pointe aussi du doigt les problèmes de sécurité de nombreux réacteurs. Le nouveau PDG, Jean-Bernard Lévy, devra aussi mener à bien l’ouverture de l’EPR de Flamanville, prévue en 2016 alors que les rumeurs d’un nouveau retard s’amplifient. Et trancher sur l’arrêt de réacteurs au moment où la fermeture de Fessenheim n’est plus aussi sûre.

        Dans le sillage d’EDF, son premier fournisseur, Areva, doit affronter un avenir encore plus sombre. Le spécialiste de l’atome a perdu près de 700 millions d’euros au premier semestre 2014, amplifié les cessions d’actifs et réduit ses investissements. Le groupe pourrait avoir besoin d’une injection de cash de l’ordre de 2 milliards d’euros. À l’État actionnaire de jouer et de prendre des décisions drastiques : renflouer Areva ou l’adosser à EDF. Les deux scénarios sont aujourd’hui à l’étude à Bercy (JDD du 5 octobre). Trop centrés sur le nucléaire, les deux leaders français vont devoir se convertir à la transition énergétique à grande vitesse.

        http://www.lejdd.fr/Economie/EDF-Areva-Total-et-GDF-Suez-la-filiere-energetique-francaise-en-plein-bouleversement-696558

      12. Margo
        26 octobre 2014 at 21h29

        Ebola : les chercheurs du Commissariat à l’Energie atomique et aux énergies alternatives à l’honneur… et pourtant leur laboratoire devait fermer !

        jeudi 23 octobre 2014

        Communiqué commun de la CGT, de la Fédération CGT Mines Energie et de la Fédération CGT Santé et Action sociale

        Le mardi 21 octobre 2014, une équipe de recherche du service de biochimie et toxicologie nucléaire (SBTN) du Commissariat à l’Energie Atomique et aux énergies alternatives (CEA) Marcoule a présenté un test de dépistage « rapide » du virus Ebola à l’occasion d’une conférence de presse organisée par l’Alliance nationale pour les sciences de la vie et de la santé, à Paris.

        La direction du CEA, dans un communiqué le même jour, a souligné que le développement opérationnel a pu être réalisé en deux mois grâce aux résultats des recherches menées depuis plusieurs années par le CEA dans le cadre du programme interministériel de Recherche et Développement sur les risques Nucléaires Radiologiques Bactériologiques et Chimiques.

        La CGT regrette fort que le CEA n’ait pas jugé nécessaire de souligner que ce résultat était le fruit du travail d’une équipe de chercheurs en Sciences du Vivant du centre CEA de Marcoule, dirigée par un spécialiste des anticorps monoclonaux du CEA. Pourtant le laboratoire de recherche en Sciences du Vivant du centre CEA de Marcoule aurait dû fermer, et l’équipe dispersée, suite au calamiteux Plan à Moyen et Long Terme présenté en novembre 2013 et entériné en décembre par le Comité à l’Energie Atomique présidé par le Premier ministre.

        La CGT salue ce résultat emblématique de l’excellence des salariés du CEA de Marcoule, mais aussi leur pugnacité. Dans le même temps, ils se sont battus pied à pied, avec l’aide de la CGT puis des autres organisations syndicales, contre ce qui leur était présenté comme l’inéluctable fermeture de leur laboratoire. Leur contre-projet a fini par convaincre, qu’une alternative était possible. La direction a admis en juillet 2014 la viabilité d’un projet optimisé conservant une activité avec une vingtaine de salariés, ce qui ne correspond toutefois qu’à une petite moitié des effectifs initiaux. Les salariés restent déterminés malgré leur déception.

        La politique d’austérité qui frappe le CEA comme tous les organismes de recherche démontre une nouvelle fois toute son absurdité. Elle conduit les directions à des choix dangereux pour la Nation et même largement au-delà.

        Rappelons à ce propos que la mise à l’arrêt du réacteur expérimental Osiris pour fin 2015, entérinée par les ministères, ferait courir un grave risque de pénurie mondiale en radioéléments à usage médical indispensables au dépistage des cancers.

        La CGT tient à rappeler à quel point la recherche nous concerne tous, et que ce n’est pas avec une recherche malmenée par les politiques d’austérité que l’on parviendra à une quelconque reprise de la croissance. En ce moment même se développe un large mouvement de mobilisation de l’ensemble du monde de la recherche contre les conséquences de cette politique inacceptable.

        Montreuil, le 23 octobre 2014

        http://www.cgt.fr/Ebola-les-chercheurs-du.html

      13. yo
        26 octobre 2014 at 20h55

        Areva-La Hague 
un futur Fukushima ?

        L’usine de retraitement de déchets nucléaires Areva La Hague a été plusieurs fois à l’arrêt ces dernières semaines suite aux mouvements de grève lancés par l’intersyndicale CGT, CFDT, UNSA, FO. Objectif : dénoncer des projets de réorganisations et de sous-traitance d’activités stratégiques du site qui concentre le plus fort taux de matière radioactive en Europe.

        La logique de la sous-traitance

        « La démarche est bien huilée, on la connaît maintenant », explique le syndicaliste. D’autant qu’elle s’est intensifiée depuis les années 2010. Il ne s’agit pas seulement d’externaliser des activités hors du groupe – comme c’est le cas pour une partie du nettoyage de son linge contaminé, envoyé depuis août 2013 aux Pays-Bas –, mais aussi de sous-traiter à l’intérieur du groupe.

        « On ne remplace pas les départs à la retraite, on supprime des postes et quand on arrive à un niveau minimum de salariés avec lesquels le boulot ne peut humainement plus se faire, on externalise, analyse Bruno Blanchon, responsable de la branche énergie atomique à la Fédération nationale des mines énergie CGT. Sauf que, comme cette sous-traitance a lieu à l’intérieur d’un même groupe, cela permet à la direction de ne pas l’appeler ainsi. C’est un mensonge, ni plus ni moins. »

        http://www.nvo.fr/0-81-2720-areva-la-hague-un-futur-fukushima

      14. Redaction MZC
        26 octobre 2014 at 20h45

        Gérard Filoche : « Ce qu’ils veulent, c’est la suppression pure et simple des Prud’hommes ! »

        L’ancien inspecteur du travail dénonce un déni de démocratie sociale

        « Il s’agit d’un énorme recul de la démocratie sociale», dénonce à l’unisson les représentants de Force Ouvrière, de la CGC, la FSU, de Solidaires, et bien sûr de la CGT, à l’initiative d’une pétition, pour défendre cette juridiction unique en Europe. « Cette suppression de l’élection des conseillers prud’hommes au suffrage universel est une attaque à la citoyenneté et un déni de démocratie car 5 millions de chômeurs, ainsi que les travailleurs précaires, se verraient privés de toute expression vis-à-vis de leurs juridictions prud’homales, ne participant pas aux élections des représentants du personnel au sein des entreprises, scrutin sur lequel la représentativité syndicale est désormais mesurée … De même, 5,4 millions de salariés ne pourraient pas faire entendre leur voix en 2015 n’ayant pas été pris en compte dans la mesure de la représentativité actuelle », explique l’organisation syndicale(CGT) sur son site.

        Les arguments avancés par le gouvernement pour justifier une telle mesure sont d’une part, le cout de ces élections, qui représente 91 millions, par scrutin (une fois tous les 5 ans). « En réalité c’est 4,77 € par votant ! Un cout légèrement inférieur à celui de toutes les autres élections. C’est un prix modique quand il s’agit de démocratie sociale, bondit l’ancien inspecteur du travail Gérard Filoche. Pourquoi ne pas plutôt supprimer les élections consulaires aux chambres des métiers et d’industrie, s’il faut vraiment faire des économies. »

        Quant au second argument, celui de la faible participation (elle était de 34,5% au dernier scrutin, en 2010), il est tout simplement absurde pour la CGT : « Va-t-on bientôt supprimer les élections politiques au motif d’une augmentation de l’abstention ? Faut-il casser le thermomètre ou bien prendre les mesures pour relancer la participation aux élections de la juridiction la plus populaire de ce pays ? »….

        – See more at: http://www.humanite.fr/gerard-filoche-ce-quils-veulent-cest-la-suppression-pure-et-simple-des-prudhommes-522309#sthash.4WlPvVxR.B6MzZ17A.dpuf

      15. bruno
        26 octobre 2014 at 20h29

        La CGT AREVA s’inquiète de la délocalisation des futures productions

        29 sept 2014 – CGT

        Le groupe Areva a récemment annoncé la signature d’un contrat de 300 millions d’euros auprès de l’électricien Sud Africain ESKOM pour le remplacement de 6 générateurs de vapeur pour la centrale de Koeberg.

        Interrogée sur le lieu de production de ces générateurs de vapeur la direction du site de St Marcel a annoncé lors d’un comité d’établissement que ceux-ci seraient fabriqués en Chine. Concernant les coulées d’acier une partie importante de celles-ci seraient faites au Japon. Ne resteraient donc en France qu’une partie des coulée et des missions de pilotage technique.

        Ces annonces ont crées une grande inquiétude parmi le personnel des 3 établissements. Inquiétude que partage la CGT.

        Si cette décision venait à être confirmée elle pourrait être très lourde de conséquence pour l’emploi et l’avenir de ces 3 établissements industriels majeurs du département, mais aussi pour tout le tissu industriel de la région avec les nombreux sous traitants d’Areva.

        Un point presse aura lieu afin d’aborder l’avenir industriel de nos 3 sites le 30 septembre 2014 à partir de 16h à l’UL CGT de Chalon (Maison des syndicats)

      16. Sellig
        26 octobre 2014 at 18h26

        Polanyi, la fin des civilisations – ARTE

      17. Guillaume D
        26 octobre 2014 at 18h01


        Les responsables syndicaux de la CGT d’Areva souhaitent que la société redevienne une entreprise citoyenne, socialement responsable.


        Des conditions de travail décriées à Areva

        Les responsables syndicaux de la CGT du groupe Areva dénoncent la dégradation des conditions de travail. Ils critiquent le projet de loi de transition énergétique.

        Lors du dernier comité d’Areva France, le président du directoire, Luc Oursel, a demandé que soit « rétabli l’équilibre entre économie et sûreté-sécurité. » Les syndicalistes de la CGT dénoncent des conditions de travail toujours plus difficiles pour les salariés du groupe.

        Un accord vient d’être signé entre Areva et EDF qui assure un plan de charge jusqu’en 2020 pour les sites de La Hague et Mélox (installation nucléaire dans le Gard). Ce contrat concerne le traitement de 1 200 tonnes de déchets par an, dont une partie est déjà en refroidissement dans des piscines à La Hague. Il intervient à hauteur de 90 % de l’activité traitement-recyclage de l’usine, le reste devant être assuré par des investisseurs étrangers.

        Réorganiser les services et externaliser

        Ce contrat est financièrement à l’équilibre entre Areva NC et Mélox, « mais pour faire des bénéfices, le groupe va encore réorganiser les services et externaliser vers des filiales à moindre statut comme STMI, Amalys ou MSIS », explique Eric Vernet, secrétaire du syndicat CGT d’Areva. « Nous demandons que les salariés soient plus respectés et reconnus pour leur savoir-faire », ajoute Eric Vernet.

        🙂 La CGT a donc mis en place un accord à destination des personnes travaillant dans le nucléaire, qui détaille l’organisation du temps de travail, la rémunération, la protection sociale… qui devraient être similaires dans toutes les entreprises du secteur. 😉

        Les syndicalistes craignent aussi que le groupe se serve des revenus du démantèlement de l’une des usines de La Hague pour assurer son expansion à l’international. Les élections au conseil d’administration d’Areva ont lieu les 29 et 30 octobre. « Nous espérons que les salariés y exprimeront leur mécontentement sur la politique menée », souligne Eric Vernet.

        Un projet de loi critiqué

        Les syndicalistes dénoncent également les mesures annoncées dans le projet de loi sur la transition énergétique, actuellement étudié à l’Assemblée nationale. Le texte stipule que la puissance totale issue du nucléaire en France ne devra pas dépasser 63,2 GW, soit la puissance actuelle. « En clair, le démarrage de l’EPR de Flamanville ne se fera qu’à la condition que d’autres réacteurs en fonction soient arrêtés », souligne Nathalie Houllegatte, secrétaire à la vie syndicale de l’Union départementale CGT Manche.

        L’un des objectifs du projet est de diversifier les sources d’énergie pour porter la part du nucléaire à 50 % de la production d’électricité d’ici à 2025. « Ce projet veut sacrifier un atout qu’est le nucléaire et ne répond pas aux besoins de la population », ajoute Eric Vernet. « Il y est fait abstraction de la question des transports qui représentent 30 % de la consommation énergétique actuelle, celle de la mise en place d’un pôle recherche et développement pour les énergies renouvelables… »

        Pour la CGT, ce projet de loi doit être mis à plat et les enjeux industriels dans le département clairement définis. Elle propose la mise en place d’un Pôle public de l’énergie, qui permettrait d’impliquer aussi bien les élus territoriaux, les entreprises du secteur et les associations d’usagers sur ce grand débat futur qu’est la transition énergétique.

        http://www.ouest-france.fr/des-conditions-de-travail-decriees-areva-2869346

        • TNS SOFRES-IPSOS
          26 octobre 2014 at 19h45

          Élection au C-A AREVA les projets !

          Force Ouvrière : Évoque du bout des lèvres la situation des sous-traitants 🙁

          CFE-CGC : apparemment ne sait pas que nous existons , bizarre 🙁

          CGT : Heureusement que la CGT de la Hague est là pour rappeler aux autres site  » Marcoule-Cadarache-Malvezy… » l’engagement pris par la fédé pour le statut unique des sous-traitants 😉

          CFDT : Mettre en avant les valeurs humaines « bien – bien »…mais, mais toujours en s’appuyant sur le Cahier des Charges Sociales, quel dommage , quel dommage 🙁

          Alors pour le statut unique, récapitulons :

          CGT Areva : Affaire en cour, donc, affaire à suivre 🙂
          CGT EDF : en très bonne voie 😉
          CGT CEA : pour l’instant c’est abonner absent 🙁

          Pour savoir exactement, sur qui vous pouvez compter, allez rencontrer tranquillement tous les représentants syndicaux , élus du personnels , de toutes les O-S de votre site d’attachement pour qu’ils vous disent dans les yeux si oui ou non vous pouvez compter sur eux ! 🙂

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