Depuis 50 ans, l’OMS censure toute étude sur l’impact de l’industrie nucléaire.

    L’assemblée générale annuelle de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a été perturbée pour la troisième fois par des organisations demandant l’abrogation de l’Accord passé avec l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA).

    Le 28 mai 1959, il y a exactement 50 ans, un protocole d’accord OMS-AIEA avait été approuvé par l’Assemblée générale. Il stipule que les deux organisations doivent se concerter sur tous les sujets d’intérêt commun. Dans la pratique, il signifie que l’OMS ne peut pas publier d’études sur les maladies provoquées par les radiations sans l’accord préalable de l’AIEA. Cet accord a été scrupuleusement respecté, y compris après l’accident de Chernobyl et les guerres du Kosovo et d’Irak.

    Il s’ensuit que l’OMS a censuré toutes les études sur les maladies liées à l’industrie nucléaire, civile ou militaire, depuis un demi-siècle et attribué faussement de nombreux problèmes de santé publique à des facteurs mineurs.

    source article : http://www.voltairenet.org/article160442.html

    Un documentaire sur les travailleurs du nucléaire sur Arte .

    Arte « R.A.S. Nucléaire, rien à signaler », un documentaire de 58 minutes d’Alain de Halleux coproduit par Arte France, Crescendo Films, Iota Production, RTBF, Lichtpunt ainsi que Le Centre de l’Audiovisuel à Bruxelles.

    Pour ou contre le nucléaire ? Et si la question était ailleurs ? Ce documentaire nous apportera un témoignage essentiel qui manque au débat, celui des ouvriers du nucléaire, qui tiennent entre leurs mains notre sécurité et qui sortent ainsi de l’ombre pour dresser un tableau inquiétant de leurs conditions de travail et de sécurité.

    Parmi ces ouvriers, les « jumpers » qui sont chargés d’entrer à l’intérieur du générateur de vapeur pour obturer les tuyaux qui le relie au réacteur nucléaire. Séjour maximum autorisé : 1 mn 30 à 2 mn, sous peine de surdosage radioactif ! Ils font partie de la masse des ouvriers intérimaires et sous-payés, chargés de maintenance dans les centrales nucléaires (décontamineurs, mécaniciens, contrôleurs…).

    Des travailleurs qui, avec ce film, sortent pour la première fois du silence pour dresser un tableau inquiétant d’un des fleurons de l’économie européenne. Depuis la libéralisation des marchés et la privatisation des groupes énergétiques, les conditions de travail semblent en effet se dégrader, au mépris de la santé des ouvriers et de la sécurité. Au nom de la rentabilité à tout prix, EDF/GDF-Suez, Areva et les autres groupes recourent de plus en plus à la sous-traitance, rognent sur les effectifs et la maintenance, font pression sur les employés…

    Une enquête édifiante qui risque de faire beaucoup de bruit.

    source article:http://www.paperblog.fr/1917796/un-documentaire-sur-les-travailleurs-du-nucleaire-sur-arte/

    INFORMATION

    Crescendo films et Floris films
    Présentent R.A.S Nucléaire, rien à signaler

    A partir du 9 décembre 2009
    ESPACE SAINT MICHEL à PARIS

    Un film de Alain de Halleux

    Il s’agit de nucléaire.
    Activons donc une belle réaction en chaîne!

    Faisons circuler l’info!

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