Comme mesure de précaution pour minimiser la possibilité de pénuries d’électricité pendant la Coupe du monde de la FIFA, la centrale nucléaire sud-africaine de Koeberg sera fermée pour « réduire » un risque potentielle dans un de ses systèmes de refroidissement d’eau, a annoncé samedi un porte-parole.
Tony Stott, porte-parole du fournisseur d’électricité sud- africain Eskom, a déclaré que la corrosion avait gagné le système, qui pompe de l’eau de mer pour refroidir certains composants du bâtiment du réacteur.
« Le système de refroidissement pour la turbine est un système clos et n’entre pas en contact avec l’environnement », a-t-il assuré.
M. Stott a indiqué que la fermeture prévue ne fait pas partie des fermetures normales de Koeberg, qui se font tous les 18 mois.
« Il s’agit juste d’une mesure de précaution », a-t-il expliqué.
« Nous voulons maintenir le risque aussi bas que possible pendant la Coupe du monde ».
L’Afrique du Sud accueille la Coupe du monde de la FIFA en juin et juillet. La consommation d’électricité augmente généralement pendant ces mois hivernaux de l’hémisphère sud. De plus, la présence de 450.000 visiteurs peut faire augmenter la consommation.
M. Stott a déclaré à la South African Press Association qu’ Eskom a mené une évaluation de tous les risques potentiels dans toutes ses centrales électriques avant la Coupe du monde. Un calendrier des fermetures de courte durée a été mis en place pour effectuer une maintenance des centrales où des problèmes ont été identifiés.
Koeberg, situé près de la ville du Cap, compte deux unités. Chacune d’elles sera fermée pendant sept à quatorze jours respectivement, à différents moments pendant mars et avril.
M. Stott a certifié que ces fermetures n’entraîneront pas de coupures d’électricité dans la province du Cap occidental ou dans le reste de l’Afrique du Sud.
source : http://french.peopledaily.com.cn/Sports/6919376.html
BonjourLe 11 septembre 2010; 200 salariés travaillant dans l'un des bâtiments réacteurs de Koeberg ont été contaminés internes au dessus des seuils d'enregistrements dosimétriques.Parmi eux, plusieurs employés d'Areva et de Velan, l'un de ses sous-traitants.Ces salariés ont du insister pour être pris en charge par le service médical de la centrale.On les a laissé dans l'ignorance de la dose reçue plus longtemps qu'il n'était acceptable.Et comble du comble, de retour en France, alors que l'Autorité de Sureté Nucléaire aurait du être informée et que l'IRSN aurait du prendre en charge ces personnes, Areva et EDF se sont entendu pour faire passer les anthropogammamétries de contrôle en catimini dans l'une des centrales françaises.Alors qu'en France la moindre petite contamination fait l'objet de la une des journaux, les autorités ont passé sous total silence cet accident grave.Pourquoi la presse ne nous a pas parlé de cet accident ? Pourquoi a-t-on remplacé la totalité du personnel de cette centrale par du personnel incompétent mais faisant partie de l'ethnie au pouvoir ?