Notre devise

L’industrie nucléaire civile, que nous défendons ici, est celle de la satisfaction des besoins des peuples et non celle des actionnaires.

C’est celle de l’émancipation sociale et non celle de la régression sociale.

C’est celle de la reconnaissance de ceux qui la font vivre et non celle de leur mépris.

Ce nucléaire civil là, évidement ne peut exister et garantir sa sûreté que dans la démocratie, la transparence et le progrès social.

(Ici nous respectons la loi sur les droits d’auteur et le travail de la presse et des journalistes professionnels)

Et vous…qu’en pensez vous ?

A vos claviers

Nos amitiés aux uns, nôtres respects aux autres, bises à toutes et tous

5 comments for “Notre devise

  1. 23 juillet 2013 at 18h47


    Contrôle de la sûreté nucléaire : l’ASN veut de nouvelles contributions financières

    L’Autorité de sûreté nucléaire a rendu son avis concernant le bLire l’actu


    © Actu-Environnement

    Le Medef refuse les conclusions du débat sur la transition énergétique

    ….Autre sujet de discorde, le nucléaire : « Il est incohérent de recommander la fermeture de centrales sûres et rentables. Il est essentiel d’interdire toute fermeture d’actif pour des raisons ‘politiques’. » Une fin de non-recevoir à la volonté de François Hollande de fermer la centrale de Fessenheim avant la fin de son quinquennat et de réduire de 75 % à 50 % d’ici à 2025 la part de la production de l’électricité issue de l’atome….

    http://www.lemonde.fr/planete/article/2013/07/18/le-medef-refuse-les-conclusions-du-debat-sur-la-transition-energetique_3449282_3244.html?fb_action_ids=10151476399932811&fb_action_types=og.recommends

    • daniel
      23 juillet 2013 at 21h53

      Une proposition de loi française pour responsabiliser les multinationales sur les activités de leurs sous-traitants
      Entreprises \Politique développement durable \RSEPublié le 23-07-2013

      Assemblée nationale

      Trois députés de la majorité (PS et EELV) devraient déposer dans les prochains jours une proposition de loi sur le devoir de vigilance des entreprises françaises vis-à-vis de leurs filiales et de leurs sous-traitants à l’étranger. Cette proposition élaborée avec l’appui des ONG spécialisées créerait une responsabilité civile et pénale pour les maisons mères établies en France.

      En avril 2013, la mort de plus d’un millier de personnes dans l’effondrement d’une usine bangladaise de fabrication de vêtements destinés à des marques occidentales provoquait l’indignation du grand public. Même si de nombreux indices indiquaient leur lien avec ces fabricants, plusieurs distributeurs et marques –dont des françaises- ont refusé d’assumer leur responsabilité de donneurs d’ordres. Pour éviter que ce type de situation se reproduise, trois députés de la majorité, fortement engagés dans la promotion de la RSE –Danielle Auroi (EELV), Dominique Potier (PS) et Philippe Noguès (PS)- vont déposer une proposition de loi à l’Assemblée nationale (avant la fin des travaux parlementaires). Celle-ci doit créer un devoir de vigilance (« due diligence » en anglais dans les textes internationaux) pour les entreprises françaises, à la fois vis-à-vis de leurs filiales mais aussi de leurs sous-traitants à l’étranger. Cette loi est le fruit d’un travail de longue haleine débuté il y a un an avec des experts juridiques, notamment la clinique du droit de Sciences Po, et plusieurs ONG regroupées au sein du Forum citoyen pour la RSE.

      Responsabilité civile et pénale

      La proposition de loi prévoit d’inscrire une obligation de prévention des dommages sanitaires, sociaux, environnementaux liés aux droits de l’Homme dans le Code du commerce. En cas de manquement, c’est-à-dire quand l’entreprise ne pourra pas justifier qu’elles avaient pris les mesures nécessaires de prévention, des sanctions à la fois civiles et pénales seront appliquées. « Il s’agit d’un juste milieu entre le tout incitatif (les démarches volontaires regroupées sous le terme de « soft law ») et le trop coercitif », estime ainsiPhilippe Noguès, président du groupe d’étude parlementaire sur la RSE.
      « Tout est proportionnel au pouvoir de contrôle et d’influence de la maison mère », souligne Pauline Kienlen, chargée plaidoyer chez Sherpa, une ONG de juristes spécialisés dans la RSE qui a aidé les députés à la rédaction du texte. Ainsi, ne sont visées que les grandes entreprises et non les PME: « Nous nous appuyons sur les seuils de l’article 225 de la loi Grenelle 2 pour les obligations de reporting. Il s’agirait donc de sociétés de 500 salariés ou plus et de 100 millions d’euros ou plus de chiffre d’affaires » tiennent à préciser les députés. Les multinationales y sont théoriquement préparées puisque les textes internationaux qui servent de cadre à la RSE tels que les Principes directeurs de l’OCDE ou les recommandations des Nations-Unies à l’intention des multinationales les incitent à ce devoir de vigilance sur leur sphère d’influence … « Ce que l’on propose n’est pas révolutionnaire : d’autres pays comme le Canada et les Etats-Unis ont déjà des dispositions législatives. L’Italie, la Belgique et le Royaume-Uni ont des règles de vigilance et l’Espagne est en train de se doter de règles », argumente la députée Danielle Auroi.

      Plus de compétitivité

      Pourtant, les députés savent qu’ils vont devoir faire face à une forte opposition des entreprises et de leurs représentants, qui plaideront contre un système complexe qui va handicaper leur compétitivité. Mais les contre-feux sont déjà prêts. C’est justement sur le terrain économique qu’ont décidé de jouer en priorité les parlementaires. « Le moins-disant généralisé paralyse notre économie car elle conduit à des risques extra-financiers de plus en plus importants. Il faut savoir que les trois quarts des crises qu’ont affrontées les entreprises ces dernières années sont dues à ce type de risques! A partir du moment où les entreprises seront jugées en France pour des actes commis à l’étranger, elles seront obligées d’évaluer ces risques pour mieux les prévenir. Elles se rendront compte que ces mesures préventives les rendront plus compétitives » explique Philippe Noguès.

      Il faudra aussi convaincre le gouvernement.

      Si les cabinets de Nicole Bricq (Commerce extérieur), de Pascal Canfin (Développement), de Benoît Hamon (Economie sociale et solidaire et Consommation) et de Christiane Taubira (Justice) prêtent une oreille attentive à la proposition de loi, le Ministère des Finances a toujours montré plus de distance.
      Les députés vont devoir réunir une majorité et envisage d’élargir leur soutien notamment à l’UDI avec qui des contacts prometteurs ont déjà été noués.
      Quant aux ONG, elles saluent l’initiative des députés qu’elles appelaient de leurs vœux depuis des années. « Nous aurions pu être beaucoup plus ambitieux mais cette proposition est tout à fait réaliste et acceptable par tous », souligne Michel Capron, le président du Forum Citoyen pour la RSE. « C’est aussi une première étape : il ne faut pas se voiler la face, la route va être longue… »

  2. vero
    27 juin 2013 at 21h52

    Voila un exemple de communication qui est dans les tuyaux de nos projets à très court terme.
    L’idée est de faire un balayage des sujets du nucléaire en vidéo et suivant l’actualité.
    Nous avons déjà le réalisateur, les idées de scénario, les locaux, il nous manque juste la décision de commencer!

    http://www.dailymotion.com/video/x11bdsx_cegetv-n-10-juin-2013_news#.UcwyzJzFmJQ

  3. LILLIER Jean Claude
    27 juin 2013 at 12h36

    Merci de votre invitation Jean Claude LILLIER

  4. 26 juin 2013 at 16h47

    Le nucléaire : un manque de candidats qualifiés

    « On a eu 200 CV, et il y en a moins d’une dizaine qui sont ciblés », déplore une chargée de recrutement dans le nucléaire au micro de RTL. « C’est problématique, car nous avons des postes, mais nous n’avons pas les candidats. »

    Dans le secteur du nucléaire, les profils recherchés sont souvent trop rares. « C’est un vrai souci, parce qu’on perd de l’argent », explique un autre recruteur. « On perd des contrats, des missions pour des clients comme Areva ou EDF, parce qu’on ne trouve pas les profils à temps », ajoute-t-il.

    Pour remédier à ces embauches ratées, des formations express pourraient être envisagées. « C’est une solution de court-terme », évalue Steve Cousin, recruteur. « Des formations de six mois, peut-être, mais il faut qu’elles soient vraiment adaptées », estime-t-il….

    http://www.rtl.fr/actualites/info/article/nucleaire-informatique-bouchers-charcutiers-ces-emplois-qui-peinent-a-recruter-7762509297

    La qualité de vie au travail se dégrade selon les salariés

    68% des salariés estiment que la qualité de vie au travail s’est dégradée ces cinq dernières années, selon le sondage publié lundi par l’Agence nationale pour l’amélioration des conditions de travail (ANACT) et TNS Sofres. Et pour l’améliorer, il faudrait, selon eux, davantage d’écoute et de dialogue.….

    Le respect, synonyme de qualité de vie au travail…

    http://www.terrafemina.com/emploi-a-carrieres/actu/articles/26888-la-qualite-de-vie-au-travail-se-degrade-selon-les-salaries.html

Répondre à vero Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.