REAGISSEZ ou alors , vous SUBIREZ !

    Au sommaire :

    Rediffusion « La bombe humaine »…Prêt pour un nouveau modèle économique et social ?… La transition énergétique doit être « Un grand débat citoyen »… Lowrad 2013 (qui cherchent -trouvent) …Synthèse INTER-CLI sur la sûreté des installations nucléaires de la Manche…

    Voici les prochains passages du documentaire « Nucléaire: la bombe humaine » sur Public Sénat:

    dimanche 24/02/2013 à 18h50
    samedi 02/03/2013 à 16h10
    dimanche 03/03/2013 à 09h55

    Nous vous souhaitons une très bonne projection !

    Nous avons lu sur le site de la  fondation-copernic.org qui tente de remettre à l’endroit ce que le libéralisme fait fonctionner à l’envers , cette article très intéressant sur l’ accord « donnant-perdant » pour les salariés de l’Accord National Interprofessionnel . La fondation le décrypte et nous avons sélectionné quelques extraits ci-dessous :

    Rarement un accord national interprofessionnel (ANI) aura entériné autant de reculs pour les salarié-e-s que celui conclu le 11 janvier 2013 entre le Medef et trois syndicats représentants une minorité de salariés. La Fondation Copernic met à la disposition de tou-te-s un décryptage complet du texte de l’accord (ci-dessous) et lance avec Attac un appel à la mobilisation.

    Les « nouveaux droits » qui figurent dans l’accord sont, en effet, de portée très limitée, tandis que des revendications patronales de grande portée sont satisfaites. Quels sont donc ces nouveaux « droits » ?…

    Le patronat, quant à lui, peut se féliciter de l’accord. Il gagne à la fois une plus grande flexibilité et une plus grande sécurité juridique. Tout d’abord la conclusion d’« accords de compétitivité-emploi » souhaités par Sarkozy, qualifiés d’« accords de maintien dans l’emploi », est rendue possible. Un accord pourra, ainsi, prévoir une baisse de salaire en échange du maintien de l’emploi. Le salarié qui refusera sera licencié pour motif économique. La « cause réelle et sérieuse » sera en fait l’accord lui-même et l’employeur sera exonéré de l’ensemble des obligations légales et conventionnelles attachées au licenciement économique…

    La Fondation Copernic et Attac ont décidé, par conséquent, d’appeler tous les acteurs du mouvement social et syndical, ainsi que des partis de la gauche et de l’écologie politique à organiser la mobilisation nécessaire pour s’opposer à cet accord…

    Lire l’article →  l’ANI décrypté

    Quelle énergie dans dix, vingt, trente ou quarante ans ?

    Quels sont les investissements nécessaires aujourd’hui ?

    Comment développer les énergies renouvelables ?

    Comment optimiser au maximum nos consommations, utiliser au mieux l’énergie disponible ?

    L’enjeu de ces questionnements est de parvenir à un nouveau modèle énergétique plus économe, davantage basé sur les énergies renouvelables plutôt que fossiles…

    Le débat sur la transition énergétique se déroule dans toute la France et conduira à un projet de loi de programmation en octobre 2013.  Source 

    Nous vous présentons ci-dessous le premier manifeste des assises pour l’écosocialisme publié de 07/02/2013 que nous avons lu sur le site ecosocialisme.com

    18 THÈSES POUR L’ÉCOSOCIALISME  , extraits

    Ce « Manifeste des Assises pour un écosocialisme » sera discuté tout au long de l’année et donnera lieu à de nouveaux débats à l’occasion des secondes Assises pour l’écosocialisme qui se tiendront en décembre 2013, dans le cadre du comité des Assises composé des personnalités suivantes : Mathieu Agostini, Paul Ariès, Guillaume Étievant, Laurent Garrouste, Susan George, Janette Habel, Damien Joliton, Matthieu le Quang, Jacques Lerichomme, Michael Löwy, Laurent Maffeïs, Corinne Morel DarleuxArno Munster, Danièle Obono, Anita Rozenholc

    QU’EST-CE QUE L’ECOSOCIALISME ?

    Une alternative concrète et radicale. L’écosocialisme n’est pas une utopie à laquelle le réel devrait se conformer. C’est la réponse humaine raisonnée à la double impasse dans laquelle est enfermée dorénavant l’humanité en raison des modes de production et de consommation de notre temps qui épuisent l’être humain et l’environnement…

    Un paradigme de l’intérêt général. Dans la réalité, avant toute idée humaine sur le sujet, l’être humain est partie intégrante de l’écosystème dans lequel il vit. Ils ne peuvent être dissociés. Il n’y a qu’un seul écosystème global compatible avec la vie humaine. Dès lors, nous sommes tous semblables dans notre dépendance à l’écosystème. Cette vérité s’impose à tous, en dépit de nos différences de tous ordres.  Il y a donc un intérêt général humain qui est lié à celui des autres espèces vivantes : préserver l’écosystème qui rend la vie humaine possible. Comment l’identifier sinon par la libre délibération collective ?…

    Une nouvelle synthèse politique à gauche. L’écosocialisme est un nouveau projet politique réalisant la synthèse d’une écologie nécessairement anticapitaliste et d’un socialisme débarrassé des logiques du productivisme. Il permet ainsi la jonction des grands courants de la gauche dans un nouveau paradigme politique. Nous avons besoin de ce projet de société alternatif au capitalisme…

    INSTAURER UNE NOUVELLE ÉCONOMIE POLITIQUE AU SERVICE DU PROGRÈS HUMAIN

    on ne lâche rien

    Mettre l’économie au service des besoins. L’écosocialisme veut mettre l’économie et le système productif au service des besoins humains. En cela, il s’oppose à la « politique de l’offre » défendue par les libéraux. Nous refusons cette logique productiviste qui consiste à produire tout et n’importe quoi dans n’importe quelles conditions pour l’écouler sur un marché par des dépenses publicitaires…

    Rompre avec les schémas de pensée traditionnels. L’écosocialisme remet en cause la dictature des intérêts particuliers et de la propriété privée des moyens de production. Il questionne le rapport au travail…. Il nous faut également aller plus loin en matière de réduction drastique du temps de travail : « travailler moins pour travailler tous et mieux », fixer le plein emploi comme horizon tout en interrogeant les finalités du travail. Rien ne sert de travailler davantage que le temps utile à produire ce qui nous est nécessaire. Le temps ainsi libéré pourrait utilement être affecté à des activités considérées aujourd’hui comme « improductives » et pourtant combien essentielles au bien vivre…

    CONSTRUIRE LA RÉVOLUTION ECOSOCIALISTE

    Les luttes doivent converger. Notre objectif de rupture civilisationnelle impose que l’action politique soit le fait du plus grand nombre. Il s’agit de rassembler et d’agir, non de se contenter d’avoir raison entre convaincus, ou pire, de dresser les uns contre les autres : nous nous situons aux côtés des salariés et des exclus du système qui résistent et sont porteurs de projets alternatifs sociaux et environnementaux….

    Lutter et résister pour inventer. La révolution écosocialiste combine propositions programmatiques et présence dans les luttes sociales et environnementales, aux côtés de toutes celles et ceux qui résistent…

    Mettre en œuvre la planification écologique…

    Le problème n’est pas l’industrie, la recherche ou la technique en soi, mais bien l’absence de choix et de contrôle citoyen. Une révolution citoyenne est nécessaire pour conquérir cette capacité de contrôle.   Tel est le mélange détonant d’utopisme révolutionnaire et de technicité auquel nous aspirons…

    Mener la bataille culturelle…

    Nous refusons la politique de l’oxymore et la novlangue libérale : le « prix du travail » qui devient un « coût », les cotisations sociales des « charges », les « gardiens de la paix » renommés « forces de l’ordre », la vidéosurveillance « vidéoprotection », ou encore le nucléaire déguisé en énergie « propre et décarbonée »….

    Mener la révolution citoyenne pour l’écosocialisme…

    Cette réappropriation de l’initiative politique et citoyenne par chaque femme et chaque homme, dans le but de déterminer partout et sur tous les sujets quel est l’intérêt général, c’est ce que nous nommons la révolution citoyenne. C’est une révolution. Car elle se propose de changer les formes de la propriété, le système institutionnel et la hiérarchie des normes juridiques, sociales et environnementales qui organisent la société et l’économie. Elle est citoyenne. Car elle veut donner le pouvoir à chacun non pour l’intérêt d’une catégorie sociale en particulier mais pour le bien de tout humain…

    L’article → ecosocialisme-premier-manifeste

    Rappelez vous décembre 2012  , l’Institut National du Cancer organisait la 11th Lowrad international . Une conférence sur les effets biologiques des faibles doses de radiation : c’était le 17 Décembre 2012 au 18 Décembre 2012 et nous vous en avions parlé ici même , puisque  nous sommes directement concernés …

    Nous avons lu sur le site liberation.fr  l’interview de Monsieur Nicolas Foray radiobiologiste à l’Inserm (Institut national de la santé et de la recherche médicale), éditeur en chef de l’International Journal of Low Radiationet , l’interview est réalisée par Sylvestre HUET , extraits

    «Les risques des radiations sont fonction de facteurs individuels»

    La radioprotection se fonde sur des normes fixées pour tous. Pourtant, une part minoritaire de la population est plus sensible aux effets sanitaires de la radioactivité. Radiobiologiste à l’Inserm, Nicolas Foray évoque le défi qui se présente aux spécialistes.

    Quels risques sanitaires représentent les faibles doses de radioactivité ? Cette question, qui se posait déjà après l’accident nucléaire de Tchernobyl, est à nouveau d’actualité suite à Fukushima. Les spécialistes en radioprotection s’inquiètent, par ailleurs, de l’usage croissant des rayonnements ionisants pour l’imagerie médicale.

    Or, l’action biologique des faibles doses de radioactivité, au-dessous de 100 millisieverts (mSv), demeure un défi auquel s’attaquent les chercheurs de Melodi (Multidisciplinary European Low Dose Initiative), un programme salué par la revue Nature (1). La question d’un «seuil» en dessous duquel la radioactivité serait inoffensive reste ouverte. L’hypothèse est logique, mais sa démonstration quasi impossible….

    Que disent les études sur les faibles doses, dont celles des usages thérapeutiques ou du dépistage ?

    De la même façon que pour les travailleurs du nucléaire, l’hétérogénéité des expositions, souvent répétées par séquences inégales, rend très difficile l’établissement de valeurs seuils adaptées. En effet, les recommandations actuelles additionnent les doses en faisant l’hypothèse que l’effet final sera la somme des effets de chaque exposition étalée sur l’année. Or, il semble que des doses faibles mais répétées rapidement, en quelques minutes ou sur une seule journée, pourraient avoir un effet plus fort. Nous avons montré, en 2011, que l’effet radiobiologique de deux clichés mammographiques de 2 milligrays (mGy) est plus marqué qu’un seul cliché de 4 mGy. Deux plus deux n’est pas forcément égal à quatre. Déterminer les contributions du facteur individuel et des effets de répétitions de doses dans l’évaluation du risque lié aux radiations constitue donc aujourd’hui un enjeu de recherche majeur….

    L’article → ici 

    Nous vous donnerons chers visiteurs très prochainement d’autres informations sur ce sujet ….affaire à suivre .

    Enfin nous terminerons avec la synthèse des Auditions du Groupe de Travail  INTER-CLI sur la sûreté des installations nucléaires de la Manche .

    Le dossier N° 1-4 à retenu toute notre attention puisque il aborde la problématique récurante des conditions de la sous-traitance .

    Les réponses apportées par les divers acteurs à ce sujet sont très riche d’enseignements . Donc , il n’y a plus à présent Mesdames , Messieurs les représentants d’ EDF , de la Préfecture , de l‘ANDRA , du CHSCT EDF , de l’IRSN , d’AREVA , de la Chambre d’Agriculture , de l’ASN  et du CHSCT d’AREVA élargi , d’Agir !

    Vous vous devez , vous nous devez , de passer rapidement à l’action afin de corriger toutes ces dérives constatées unanimement .

    thumb

     Allez à la page page 44 du dossier , nous attendons vos réactions 

    La synthèse → ici 

    (Ici nous respectons la loi sur les droits d’auteur et le travail de la presse et des journalistes professionnels)

    Et vous…qu’en pensez vous ? 

    Tous à vos claviers !

    Nos amitiés aux uns, notre respect aux autres, bises à toutes et tous

      152 comments for “REAGISSEZ ou alors , vous SUBIREZ !

      1. sun
        3 mai 2013 at 17h56

        Les agents de sûreté nucléaire à Gentilly pourraient devenir des monteurs de lignes

        http://www.journaldequebec.com/2013/05/01/les-agents-de-surete-nucleaire-a-gentilly-pourraient-devenir-des-monteurs-de-lignes

      2. 7 avril 2013 at 17h23

        Bonjour,
        Ecoutez ce reportage, il vaut la peine d’être entendu !

        http://www.lemouv.fr/diffusion-je-suis-un-nomade-du-nucleaire

      3. ZE
        22 mars 2013 at 22h47

        Première semaine d’avril 2013 :

        EN AVANT LA MOBILISATION !

        A l’ouverture du 50e Congrès, la CGT a décidé d’une nouvelle mobilisation du 2 au 5 avril 2013, avec une journée nationale d’action.

        Les raisons d’agir sont nombreuses. Dans les entreprises, la volonté d’augmenter lesm arges, les profits a des conséquences directes sur nos salaires, nos conditions de travail, l’avenir de nos emplois, notre protection sociale, mutuelle… etc

        LA CGT DOIT COMBATTRE TOUTE RÉSIGNATION. UNE AUTRE POLITIQUE EST POSSIBLE !

        C’EST MAINTENANT QU’IL FAUT AGIR !
        TRANSFORMER LE MÉCONTEMENT GÉNÉRAL EN POTENTIEL D’ACTION, VOILÀ L’ENJEU DE CHACUN !

        Tous ensemble en grève, en manifestation, dans l’action début avril 2013 !
        Imposons d’autres choix, c’est entre nos mains !

      4. On lache rien
        20 mars 2013 at 18h15

        Intervention de Najette au congres de Toulouse

        en bas à gauche choisir
        Mercredi 20 /03 /2013
        a partir de 48 minutes 17

        http://aful.cgt.fr/aful/stream/stream.php?whoami=XsHjj89aqklJ

        • 20 mars 2013 at 19h00

          ON LÂCHERA JAMAIS RIENNNNNNNNNNNNNNN

          Bravo Najette

        • le bossu
          20 mars 2013 at 22h57

          Merci Najette pour avoir parlé des sous-traitants du nucléaire et de votre lutte gagnante sur cruas. Les patrons voyous du privé et certains d’EDF n’ont plus de place sur nos sites nucléaires. Place maintenant aux salariés avec comme tu la si bien dit « travail égal, salaires et conditions de travail égales« .

          Bise à toi Najette au nom de tous les salariés de la sous-traitance et surtout « on lâche rien, rien de tout ».
          Bravo encore pour ton courage d’avoir apporté notre parole dans cette grande maison de toute la CGT.

          Au vu des conclusions sur cette résolution, ta parole a comptée, puisqu’elle « la résolution » met un accent tout particulier sur la sous-traitance.

          La vérité « on est jamais aussi bien servi, que par soi même » pour parler des autre « des hommes de l’ombre du nucléaire ».

          « Invisibles » avez vous dit? pas pour longtemps et les patrons vont très vite comprendre le mal que ça fait quand ont est foudroyé par l’énergie sans faille de ceux qu’ont faim dans cette industrie du fric au détriment des hommes qui la produisent.

        • Sylver
          20 mars 2013 at 23h24

          Un seul mot « bravo »!

          Si, encore un « MERCI ».

          • la tortue
            21 mars 2013 at 14h33

            Bravo Najette nous sommes fiers de toi;

      5. Sun
        19 mars 2013 at 23h42

        http://www.syntecingenierie.fr/media/uploads/guides_etudes/2013_03_11_transition_energetique.pdf

        « La Fédération SYNTEC a pour ambition de rassembler l’ensemble des métiers
        du savoir.  » bon, ils rigolent pas les gars, il faut bien leur causer.
        Si la data base des savoirs est en accès libre et participative ,je n’y vois pas d’inconvénients.

      6. Camèlito
        18 mars 2013 at 21h57

        Les brèves du CCE d’EDF SA

        ELECTRICITE

        Pâris Mouratoglou et David Corchia, les deux anciens dirigeants d’EDF EN sont devenus respectivement président et directeur général de Voltalis, le spécialiste de l’effacement diffus.

        Le 15 mars, une nouvelle grille des tarifs de vente de l’électricité est parue au Journal Officiel. Les corrections apportées sont surtout des dispositions techniques. Le ministère de l’Energie a souligné que ces corrections « n’auront pas d’effets sur les factures d’électricité pour les ménages, et impliqueront pour certaines entreprises un remboursement, en leur faveur, de quelques euros ».

        Selon la presse allemande, le ministre fédéral de l’Environnement projette de transférer une partie des surcoûts engendrés par la transition énergétique en cours sur les compagnies ferroviaires, grandes consommatrices d’électricité.

        Statkraft vient d’annoncer la fermeture de la centrale au gaz de Landesbergen, en Allemagne. Le groupe public norvégien explique cette fermeture par la faiblesse de la demande et la concurrence des installations d’électricité renouvelable.

        L’examen en commission des Affaires économiques de l’Assemblée nationale du rapport d’information sur les alternatives à l’ouverture à la concurrence des concessions hydroélectriques a de nouveau été reporté. Annoncé pour le 20 mars, il est maintenant prévu pour le 27 mars.

        NUCLEAIRE

        Dans le cadre d’un programme global de modernisation de ses centrales nucléaires, l’Ukraine va recevoir de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement un prêt de 300 millions d’euros, auquel s’ajoute un prêt de 300 millions supplémentaire de la part d’Euratom.

        Selon le Financial Times, le Qatar a entamé des discussions avec le gouvernement britannique en vue d’investir environ 11,5 milliards d’euros dans des projets d’infrastructures dans le pays, et notamment dans le projet de construction de la centrale nucléaire d’EDF à Hinkley Point.

        ENERGIE

        Le 13 mars, les sénateurs et députés de l’opposition ont saisi le Conseil constitutionnel sur la loi instaurant un bonus-malus sur la consommation d’énergie adoptée dans la nuit du 11 au 12 mars. Ils estiment en effet que cette loi contrevient au principe d’égalité.

        ENERGIES RENOUVELABLES

        Le 17 mars, les Emirats arabes unis ont procédé au démarrage de Shams-1, la plus grande centrale solaire à concentration au monde. D’une capacité de 100 MW et d’un coût de 600 millions de dollars, elle peut alimenter 20 000 foyers.

        Au Danemark, Siemens Energy vient d’ouvrir deux centres d’essais en Recherche et Développement dans le domaine des technologies éoliennes.
        Selon une étude du cabinet Clean Edge, les marchés liés aux biocarburants et aux énergies solaire et éolienne vont presque doubler dans les dix ans à venir, passant de 191 milliards d’euros en 2012 à 327 milliards d’euros en 2022.

      7. Sylver
        18 mars 2013 at 20h43

        La casse du service public continue

        EDF songe à ouvrir le capital de RTE pour réduire sa dette

        http://www.romandie.com/news/n/_EDF_songe_a_ouvrir_le_capital_de_RTE_pour_reduire_sa_dette_40170320131210.asp

        (©AFP / 17 mars 2013 12h08)

        PARIS – EDF et le gouvernement s’interrogent sur l’opportunité d’ouvrir le capital de RTE, sa filiale autonome qui gère le réseau national de lignes à haute tension, afin d’aider l’électricien français à réduire sa dette, affirme le Journal du dimanche.

        Outre des motivations financières, l’hebdomadaire dominical, qui s’appuie sur une source gouvernementale anonyme, souligne que cela permettrait à RTE de nouer des alliances avec des partenaires européens, le gestionnaire de réseau rêvant de constituer un jour un EADS des réseaux électriques.

        Par ailleurs, la réglementation européenne, qui vise à empêcher les conflits d’intérêts entre les réseaux d’énergie et leurs utilisateurs, pousse leurs propriétaires traditionnels, les producteurs d’énergie, à s’en séparer.

        Interrogés par l’AFP, EDF et RTE n’ont fait aucun commentaire.

        RTE exploite le réseau public de transport d’électricité en France, soit 100.000 km de lignes à haute tension. Conformément à la règlementation européenne, l’entreprise bénéficie déjà d’une autonomie de gouvernance, de financement et de fonctionnement, bien qu’elle reste une filiale à 100% d’EDF.

        Si un tel scénario, qualifié de serpent de mer par le JDD lui-même, refait régulièrement surface, rien ne semble toutefois presser EDF (détenu à 84% par l’Etat) de mener une telle opération.

        L’électricien est certes lourdement endetté (39,2 milliards d’euros fin décembre) et souffre d’une conjoncture dégradée, mais dégage d’importants bénéfices et a conforté ses finances grâce à l’accord avec le gouvernement sur le financement des énergies renouvelables et à un méga-emprunt obligataire.

        Reste que dans le secteur énergétique, de telles opérations sont à la mode. GDF Suez a cédé en 2011 25% du capital de sa filiale de transport de gaz, GRTgaz, à un consortium public (Caisse des dépôts, CDC Infrastructure et CNP Assurances) pour 1,1 milliard d’euros.

        Et le géant pétrolier Total est lui-même en train de vendre pour 2,4 milliards d’euros sa filiale de gazoducs TIGF à un consortium incluant… EDF.

        EDF

        GDF SUEZ

        TOTAL

      8. Miche
        18 mars 2013 at 19h34

        Une information pour homicide et blessures involontaires a été ouverte, hier, par le parquet de Thionville.

        L’enquête pointe bon nombre d’erreurs.

        Les enquêteurs de la gendarmerie comme ceux de l’Agence ‘de la sûreté nucléaire (ASN), occupés depuis quinze jours à faire toute la lumière sur les accidents mortels survenus à la centrale de Cattenom, ont rendu leurs rapports. Ce qui a conduit,’ hier, le parquet de Thionville à ouvrir une information judiciaire pour homicides et blessures involontaires par manquement à une obligation de sécurité et de prudence.

        Une qualification qui en dit long sur les événements ayant entraîné la mort de deux ouvriers et l’hospitalisation d’un troisième dans un état grave, le 28 février dernier (lire nos éditions précédentes) « L’enquête initiale démontre que le système de fixation de la nacelle est à l’origine de l’accident.

        Les éléments de discussion vont désormais porter soit sur un défaut de fabrication de la nacelle, soit sur sa mauvaise utilisation, soit sur le manque de formation du personnel qui l’utilisait,a précisé hier le procureur de la République, Jean-François Mailhes, On sait aujourd’hui que deux vis manquaient sur un point d’ancrage du mât sur lequel la nacelle coulissait. Les ouvriers s’en ‘sont aperçus et la chute de la nacelle est survenue lorsqu’ils sont montés pour aller régler le problème. »

        Nombreuses questions:

        Le scénario, aujourd’hui rapporté dans ses détails, fait froid dans le dos.

        Ce 28 février, à 16h40, les ouvriers affairés dans le bâtiment réacteur 4 ont chacun leur tâche.

        Ceux de l’entreprise Presiozo sont chargés ‘de recouvrir les murs, ceux de la société TNS Tractel de monter les échafaudages nécessaires à la première activité.

        Lorsque l’avarie est remarquée sur le quatrième point d’ancrage du mât, trois employés grimpent sur la nacelle et sont hissés, grâce à une télécommande qu’actionne l’un d’eux. « La nacelle passé les trois premiers points d’ancrage du mât sécurisés correctement mais a continué au-delà du quatrième où manquaient des éléments, ajoute le procureur. Elle A basculé immédiatement et les trois personnes à bord’ sont tombées sur la tête, quatre mètres plus bas. » L’autopsie des corps des deux ouvriers tués a, depuis, confirmé la mort provoquée par un traumatisme crânien massif.

        Reste de nombreuses questions:

        La nacelle n’étant destinée qu’à servir à la construction de l’échafaudage et non aux travaux de revêtement des murs du bâtiment.
        Pourquoi deux ouvriers de l’entreprise Presiozo avaient-ils pris place à son bord ?
        Qu’en est-il ensuite de l’actionnement de la télécommandé ?
        Pourquoi la nacelle n’a-t-elle pas été stoppée avant le point d’ancrage privé de deux vis ? l’employé de TNS Tractel, détenteur du boîtier, n’est malheureusement plus là pour témoigner.’

        Aux chefs d’équipes des sociétés sous-traitantes et donneurs d’ordre de la centrale, désormais, de répondre aux questions d’un magistrat instructeur.

        Saada SEBAOUI.

      9. LA VIE
        17 mars 2013 at 15h43

        La vie demain – Tragédie ou harmonie ?

        Participons au débat national qui concerne le futur, voire le présent, de nos vies quotidiennes.

        Transition énergétique : le couple franco-allemand veut une coordination des politiques européennes

        http://www.actu-environnement.com/ae/news/office-france-allemand-batho-altmaier-17758.php4#xtor=EPR-1

        Energie : le CESE pointe les actions essentielles

        http://www.actu-environnement.com/ae/news/avis-cese-transition-energetique-efficacite-17470.php4#xtor=EPR-1

        Cinq questions clés sur la transition énergétique énergie

        http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/energie-environnement/actu/0202417910646-cinq-questions-cles-sur-la-transition-energetique-energie-515372.php?utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter

        Choisir une transition énergétique : laquelle, jusqu’à quand et jusqu’à quoi ? Intérêts, ambiguïtés et limites d’un mythe pacificateur

        http://www.gabrielperi.fr/Choisir-une-transition-energetique

        Un site Internet pour débattre sur la transition énergétique

        http://www.actu-environnement.com/ae/news/lancement-site-internet-debat-transition-energie-public-17710.php4#xtor=EPR-1

        Transition énergétique : l’impact sur la compétitivité dépend de choix politiques

        http://www.actu-environnement.com/ae/news/transition-energetique-electro-intensifs-impact-competitivite-17526.php4#xtor=EPR-1

      10. l'abeille sociale
        16 mars 2013 at 20h42

        Chérèque disposé à travailler « deux fois 35 heures » à l’IGAS

        http://www.egora.fr/sante-societe/humour/157082-ch%C3%A9r%C3%A8que-dispos%C3%A9-%C3%A0-travailler-deux-fois-35-heures-%C3%A0-l%E2%80%99igas

        Alors que François Chérèque, ancien secrétaire général de la CFDT vient de rejoindre l’inspection générale des affaires sociales (Igas), il serait également pressenti pour prendre la tête du think tank proche du Parti socialiste, Terra Nova.

        Un programme chargé, donc, mais qui n’inquiète pas François Chérèque qui s’est dit prêt, « quitte à faire deux fois 35 heures dans la semaine ! »

        Une déclaration surprenante et teintée d’humour pour cet ardent défenseur des 35 heures qui déclarait encore le 30 octobre 2012 : « Si le gouvernement touche aux 35 heures, il aura la CFDT en travers de sa route ». En revanche, voilà qui rapproche des médecins généralistes l’ex leader de la CFDT (centrale qui préside la Caisse nationale d’assurance maladie).

        Les études démontrent en effet que les médecins de famille font en moyenne 62 heures de travail par semaine (entre 50 et 62) et souvent plus en campagne ou dans les déserts.

        • Le chevalier blanc
          17 mars 2013 at 15h04

          Rien d’étonnant de sa part.
          Se qui étonne toutefois c’est l’attitude de certaines entreprises prestataires du nucléaire qui ont un début d’année catastrophique au point de vue financier
          et qui ont un comportement à entonner des chants de victoire à plein poumons.

          Comme sur le Titanic le bateau coule mais en chantant. Il ne manque plus que l’orchestre.

      11. Sylver
        16 mars 2013 at 15h35

        Cattenom

        Accident à la centrale de Cattenom : information judiciaire pour homicides et blessures involontaires désormais ouverte

        Le parquet de Thionville n’ a finalement ouvert que vendredi 15 mars 2013 cette information judiciaire, une fois connu l’essentiel des éléments des enquêtes ouvertes suite à l’accident du 28 février dernier.

        Pour Jean-François Mailhes, procureur de la République de Thionville : « le système de fixation de la nacelle est à l’origine de l’accident ».

        Le parquet de Thionville a finalement attendu les résultats de la double enquête de la gendarmerie et de l’Agence de Sûreté Nucléaire lancée suite à l’accident du 28 février 2013 pour ouvrir officiellement une information judiciaire, contrairement à ce qui avait été annoncé initialement.

        C’est chose faite depuis vendredi 15 mars et la qualification de cette information judiciaire est « homicides et blessures involontaires par manquement à une obligation de sécurité et de prudence. »

        Selon nos confrères du Républicain Lorrain qui rapportent ses propos, Jean-François Mailhes, le procureur de la République près le tribunal de grande instance de Thionville explique vendredi 15 mars que l’enquête initiale a démontré que le système de fixation de la nacelle était à l’origine de l’accident en raison de l’absence de deux vis sur un point d’ancrage du mât sur lequel la nacelle coulissait.

        Pour le magistrat, « les éléments de discussion vont désormais porter soit sur un défaut de fabrication de la nacelle, soit sur sa mauvaise utilisation, soit sur le manque de formation du personnel qui l’utilisait ».

        Désormais les différents témoins vont être auditionné par le juge d’instruction afin de préciser les différentes responsabilité dans cet accident qui a coûté la vie à deux salariés sous-traitants et en a grièvement blessé un troisième.

        http://lorraine.france3.fr/2013/03/16/accident-la-centrale-de-cattenom-information-judiciaire-pour-homicides-et-blessures-involontaires-desormais-ouverte-217365.html

        Le rappel des faits, un reportage réalisé quelques heures après l’accident.

        Voir la VIDEO dans cet article

      12. l'abeille sociale
        15 mars 2013 at 20h45

        Regardez le dernier FILM de Alain de Halleux

        Entre octobre 2011 et Août 2012, la vie des habitants de Minamisoma, une ville au bord de la zone d’exclusion, à 20 KM de Fukushima. Pas assez contaminée pour être évacuée, elle est cependant trop proche de la centrale éventrée…

        Depuis 2 ans, les habitants vivent avec l’invisible et l’incertitude. Ils s’interrogent sur le futur de leurs enfants et celui de leur ville au passé millénaire…

        ALAIN DE HALLEUX Réalisateur/caméraman/conférencier

        Réalisateur de:
        RAS Nucléaire/CHERNOBYL 4EVER/RECITS DE FUKUSHIMA/WELCOME TO FUKUSHIMA

        WELCOME TO FUKUSHIMA…

        http://www.youtube.com/watch?v=g1l0CCTKPag

      13. Vous-Moi
        15 mars 2013 at 6h24

        Qui seraient les liquidateurs en cas de catastrophe nucléaire en France ?

        A Tchernobyl puis à Fukushima, on les a appelés les «liquidateurs». Au péril de leur santé, ces hommes et ces femmes sont intervenus directement sur les lieux de l’accident nucléaire. Et si une telle catastrophe devait se produire en France, qui seraient les «liquidateurs» ?
        Qui serait chargé de monter en première ligne pour limiter les conséquences d’un grave accident ?….

        http://www.liberation.fr/terre/2013/03/13/qui-seraient-les-liquidateurs-en-cas-de-catastrophe-nucleaire-en-france_888007

        Retraites Accord conclu mercredi sur l’Arrco et l’Agirc
        Complémentaires : des sacrifices pour tous

        La baisse du pouvoir d’achat des pensions et la hausse des cotisations pour le régime des salariés du privé vont-elles inspirer les négociateurs du régime général ?

        Ce fut long, mais c’est historique : les retraites complémentaires du privé vont augmenter moins vite que l’inflation, donc diminuer en valeur durant trois ans, ont décidé dans la soirée de mercredi trois syndicats (FO, CFTC et CFDT) et le patronat, après sept séances de négociation.
        Un « choix courageux », avait salué par avance à Dijon le président de la République….

        http://www.dna.fr/social/2013/03/15/complementaires-des-sacrifices-pour-tous

        • Le chevalier blanc
          15 mars 2013 at 9h57

          Je ne sais pas qui seront les liquidateurs ou alors peut être ces stagiaires qui travaillent actuellement en centrale nucléaire,qui pour la plupart n’ont pas 18 ans et que l’ont fait travailler au même titre qu’un agent CDI mais à la seule différence c’est que l’ont ne les paient pas.

          Honte à EDF, honte aux entreprises prestataires et honte aux chargés de travaux  »tendance vent mauvais »qui font exécuter ces basses besognes sans aucun remords.
          Ils sont ou les syndicats ?

          • Gus
            15 mars 2013 at 18h10

            Un élément de réponse ?

            Lepaon ne veut pas d’une CGT qui se contente de dire non

            Thierry Lepaon, qui prendra la tête de la CGT lors de son Congrès la semaine prochaine, ne veut «pas d’une CGT qui se contente de dire non» et affirme que la centrale «n’est pas et ne sera pas le bras armé du Front de gauche»….

            « Nous avons fait une erreur en pensant réorganiser par le haut, par exemple avec des fusions de fédérations. Il faut repartir de la base », a-t-il précisé.

            http://www.liberation.fr/politiques/2013/03/12/lepaon-ne-veut-pas-d-une-cgt-qui-se-contente-de-dire-non_888081

      14. JOBS
        14 mars 2013 at 20h24

        Il y a de bons et de mauvais syndicats, ce syndicaliste fait partie du bon…. Celui qui signe l’ANI… Cela s’appelle aussi la prime à la casse

        Un syndicaliste spécialiste de l’énergie à la tête de l’Ademe

        http://www.lagazettedescommunes.com/158752/un-syndicaliste-specialiste-de-lenergie-a-la-tete-de-lademe/

        Un ex-syndicaliste spécialiste des questions d’énergie, Bruno Léchevin, a été nommé officiellement mercredi 13 mars 2013 en Conseil des ministres à la tête de l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe).

        L’actuel délégué général du Médiateur de l’énergie, âgé de 61 ans, prend ainsi la tête de cet établissement public d’un millier de salariés qui joue un rôle très important dans la mise en œuvre des politiques publiques en matière d’environnement et d’énergie, en offrant expertise et aide au financement de projets.

        Bruno Léchevin a occupé de nombreuses fonctions au sein de la CFDT dans les fédérations Gaz-Electricité, et Energie-chimie. Il avait été nommé en 2000 commissaire au sein de la Commission de la Régulation de l’énergie, puis en 2008, il avait rejoint les services du Médiateur national de l’Energie.

        M. Léchevin remplace à ce poste François Loos, qui y avait été nommé en 2011

      15. BARBO
        14 mars 2013 at 19h40

        Cattenom en fonction au moins jusqu’en… 2042

        La direction de la Centrale a fait savoir que son exploitant EDF allait investir de manière intensive dans le développement du site.

        Discours lissé pour le nouveau directeur de Cattenom (Moselle) qui ne s’attache pas aux pressions extérieures. Syndicats, politiques, associations, les voix s’élèvent de plus en plus contre la fermeture du site mosellan installé au cœur de la Grande Région. Mais les anti-nucléaires peuvent toujours espérer la fermeture possible de Cattenom. Celle-ci devrait fonctionner encore jusqu’en 2036 et au-delà en 2042. Sur les dix prochaines années, EDF devrait…..

        http://www.loractu.fr/thionville/3513-cattenom-en-fonction-au-moins-jusqu-en-2042-.html

      16. la taupe
        14 mars 2013 at 17h57

        Après l’accident de la tranche 4 Chantiers reprogrammés à la centrale de Cattenom

        « On ne rattrape jamais le retard pris. Ce temps, on l’a intégré dans un nouveau planning d’arrêt. Notre souci, c’est de ne pas en prendre plus. »
        Hier, Guy Catrix, directeur de la centrale de Cattenom, n’a pas voulu, pour cause d’enquête, donner d’informations supplémentaires sur l’accident mortel qui a touché le bâtiment réacteur 4, en arrêt décennal.

        Le 28 février, la chute d’une nacelle a provoqué le décès de deux prestataires et gravement blessé une troisième. L’organisation de la décennale en cours, où se côtoient quotidiennement quelque 1 000 à 2 000 prestataires, a été revue.
        « Après l’arrêt complet des chantiers pendant plusieurs jours, tant pour raisons d’enquête que psychologiques, certains ont dû être reprogrammés. Un autre moyen de levage devrait nous permettre de relancer le chantier en hauteur, à l’origine de l’accident. Il doit encore être évalué avant d’être mis en action. »
        Pour autant, en interne, et notamment du côté des syndicats, ça grogne. On parle de pressions, ce que ne valide pas le directeur :
        « Disons que nous sommes attentifs à ce que cet arrêt se déroule conformément au respect du planning tel que prévu et reprogrammé. »

        Le bilan de l’activité 2012 de la centrale affiche une production de 30 milliards de kWh, « soit deux fois la consommation en Lorraine ». Une nette régression par rapport aux 35 milliards affichés en 2010 ou 38 en 2005, « due aux nombreux travaux de maintenance », mais aussi à de nombreux aléas.
        A Cattenom, tout le monde se souvient de la très difficile fin d’année 2012, avec une tranche 2 qui n’en finissait plus d’être arrêtée pour cause de problèmes techniques.

        De quoi conforter les anti-Cattenom, comme les députés Verts luxembourgeois qui, lors d’une audience auprès de la ministre Delphine Batho, ont une nouvelle fois demandé l’arrêt de la centrale.

        http://www.republicain-lorrain.fr/moselle/2013/03/14/chantiers-reprogrammes-a-la-centrale-de-cattenom

        • 14 mars 2013 at 18h35

          Dans le VSD D’aujourdhui 2 sous traitant témoignent de leurs maladie.

      17. hugo
        14 mars 2013 at 3h44

        Neige: l’armée dégage l’accès de l’usine Areva La Hague

        http://www.tendanceouest.com/cherbourg/actualite-51114-neigearmee-degagent-acces-de-usine-areva-la-hague.html

        Publié le 13-03-2013 à 11:52:12 par J-B.B

        Des militaires appelés en renfort dans la Manche ont commencé mercredi à dégager l’accès à l’usine de retraitement de combustibles nucléaires usés d’Areva de Beaumont-Hague (Manche), a-t-on appris auprès des militaires.

        La moitié de 27 militaires du 6ème Régiment du génie d’Angers, envoyés initialement en renfort pour aider ErDF à rétablir le courant dans les 28.500 foyers du département qui en sont privés, se trouvaient vers 9H à Beaumont-Hague, « à vue d’il à un kilomètre de l’usine », a indiqué à l’AFP le lieutenant Marine Accari, officier de communication du 6ème RG d’Angers.
        « L’idée, c’est de dégager un tronçon (…) pour dégager l’accès à l’usine de la Hague » afin que les salariés « puissent aller au travail aujourd’hui », a indiqué à l’AFP le lieutenant Accari.

        Selon un syndicaliste de l’usine, qui concentre le plus de matières radioactives en Europe, il y a aussi un enjeu de sûreté à dégager la route qui mène au site, même si en cas d’urgence des moyens aériens peuvent être déployés.

        Le dégagement de la route menant à l’usine permettra aux 320 personnes qui en assurent la surveillance depuis lundi matin d’être relevées, a indiqué Frédéric Martinet, directeur adjoint du site, sans vouloir parler d’enjeu de sûreté.

        L’usine a été arrêtée lundi matin, et une rotation organisée entre les 320 salariés présents sur le site, selon la direction.

        Par ailleurs, près de 200 salariés d’Areva La Hague qui ont passé la nuit dans une salle polyvalente de Beaumont ont commencé à être ramenés chez eux, selon Areva. Près de 400 salariés avaient été bloqués dans la nuit de lundi à mardi dans les bus qui devaient les ramener chez eux, avant de rejoindre cette salle.

        Près de 5.000 personnes travaillent à l’usine de la Hague, sous-traitants inclus

      18. richard
        13 mars 2013 at 22h50

        Communiqué de presse (PCF)

        Tarifs de l’énergie : le nom de la loi change, le système de malus pour les usagers reste !

        La proposition de loi sur la « tarification progressive de l’énergie » retoquée au Sénat en octobre dernier, a été adoptée hier à l’assemblée nationale sous sa nouvelle dénomination de loi de « transition vers un système énergétique sobre ». Le nom de la loi change, mais le système de malus pour les usagers reste !

        Les députés et sénateurs communistes sont parvenus à faire adopter au cours de la discussion un élargissement des tarifs sociaux, et une interdiction des coupures et des résiliations de contrats durant la trêve hivernale. Mais ces avancées sociales sont entachées par de nombreux reculs en matière de politique énergétique.

        Ne tenant pas compte du débat démocratique et récusant les avancées adoptées au Sénat sous l’impulsion des sénateurs Communistes et Front de Gauche, les députés socialistes ont adopté unilatéralement un texte s’attaquant au principe fondamental d’égalité devant l’accès à l’énergie sur tout le territoire.

        En guise d’économie d’énergie, ce texte ne va produire à compter de 2016 qu’un alourdissement du prix de l’énergie dans les foyers les plus mal logés, ceux vivant dans des passoires thermiques. La complexité du dispositif de bonus-malus n’a d’égale que son injustice. Les usagers les plus mal lotis supporteront seuls le coût de la progressivité des tarifs.

        Une vraie loi sociale aurait du s’attaquer aux tarifs indécents pratiqués par les opérateurs d’énergie privés. Les prix du gaz et de l’électricité ont augmenté respectivement de plus de 60% et de 17% depuis la privatisation d’EDF et GDF en 2005. Or cette loi, non -seulement ne les remet pas en cause, mais elle accentue le phénomène. En assouplissant les règles d’implantations des éoliennes et en limitant tout contrôle démocratique sur leurs installations, cette loi livre une manne financière aux opérateurs privés et aux fonds de pensions, qui s’approprient cette très lucrative production d’énergie renouvelable.

        L’adoption à marche forcée du malus énergétique et de la libéralisation de l’éolien, augure de bien mauvaise façon le grand débat national sur la transition énergétique qui vient d’être lancé.

        Le Parti Communiste réaffirme son attachement à la constitution d’un pôle public national de l’énergie, qui seul permet de garantir une égalité de traitement entre tous les usagers et permet de leur garantir les prix les moins chers.

      19. Margot
        13 mars 2013 at 20h30

        Voir vidéo sur le site

        Non-représentativité des syndicats signataires de l’ANI : question au Gouvernement

        http://andrechassaigne.over-blog.com/article-non-representativite-des-syndicats-signataires-de-l-ani-question-au-gouvernement-116153638.html

        M. le président. La parole est à M. André Chassaigne, pour le groupe de la Gauche démocrate et républicaine.

        M. André Chassaigne. Monsieur le ministre du travail, de l’emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social, mardi dernier, des milliers de citoyens sont descendus dans la rue pour protester contre l’accord national interprofessionnel préparé par le MEDEF et applaudi par la droite de cette assemblée.
        Cet ANI qui nous veut du mal (Sourires), transformé en projet de loi, facilite les licenciements. Il permet aux employeurs de baisser les salaires et d’augmenter le temps de travail. Il réduit le délai de recours aux prud’hommes pour les licenciés.

        Quant aux prétendues avancées, où sont-elles ?

        La surtaxation des CDD ? Elle ne concernera que 20 à 30 % d’entre eux.

        Le droit à la complémentaire santé ? Il ouvre certes un droit a minima pour quelque 400 000 salariés non couverts, mais il amputera le revenu des salariés, qui devront payer 50 % de cette complémentaire, et imposera un contrat aux salariés déjà couverts individuellement. Surtout, cette mesure, présentée comme la grande avancée du texte, est en réalité le cheval de Troie des assureurs et des mutuelles contre la sécurité sociale.

        En outre, chacun le sait, cet accord n’est majoritaire que sur le papier.

        Dans la réalité, d’après les chiffres de représentativité révélés par la presse, la CFTC et la CFE-CGC, signataires de l’accord avec la CFDT, n’atteignent pas la barre des 8 % indispensable à tout syndicat pour être reconnu nationalement. Leurs signatures, apposées au bas de l’ANI, seraient donc sans valeur juridique, celle de la CFDT restant la seule valide.

        Quoi qu’il en soit, aux dernières élections prud’homales, les syndicats qui rejettent l’accord ont obtenu plus de 50 % des voix des salariés, ce qui, au regard des nouvelles règles de représentativité, invalide cet accord.

        Monsieur le ministre, ce projet de loi repose sur un accord d’ores et déjà minoritaire et demain il sera probablement déclaré caduc. Allez-vous le retirer ? (Applaudissements sur les bancs du groupe GDR.)

        M. le président. La parole est à M. le ministre du travail, de l’emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social.

        M. Michel Sapin, ministre du travail, de l’emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social. Monsieur le président, je vous remercie d’avoir souligné cette mention du « dialogue social » auquel j’attache beaucoup d’importance.

        Monsieur le député, nous aurons l’occasion d’échanger sur chacune des dispositions de ce projet de loi. À l’évidence, nous ne partageons pas la même opinion, en tout cas à ce stade du débat. Mais le débat parlementaire nous permettra de préciser nos opinions et peut-être aussi de faire avancer celles des uns et des autres.

        La complémentaire santé pour tous les salariés, dont la moitié sera prise en charge par les entreprises, est une avancée sociale considérable. Il n’y a pas un seul salarié de France, actuellement privé d’une complémentaire santé, à qui vous ferez croire qu’il ne s’agit pas d’une avancée.

        Je souhaite répondre à la question très importante que vous avez posée sur la représentativité des organisations syndicales.

        L’accord a été signé, dans le cadre des règles qui prévalent aujourd’hui, par une majorité d’organisations syndicales puisque trois sur cinq l’ont signé. Il est donc incontestable juridiquement et politiquement, même si l’on peut parfaitement en contester le contenu.

        Vous me posez une question sur les résultats à venir. Personne ne les connaît, ni vous, ni moi. La loi de 2008, qui est une bonne loi, a changé les règles de représentativité. Le 29 mars prochain, les résultats définitifs consolidés des élections dans les comités d’entreprise, pour les délégués du personnel, dans les TPE et les chambres d’agriculture seront connus. C’est à partir de ces résultats que nous pourrons juger de ce qui sera ou non, à l’avenir, un accord majoritaire. J’attends avec impatience ces résultats, comme vous-même, et j’aurai plaisir à répondre à une question de votre part une fois qu’ils seront connus. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)

        M. le président. Nous avons terminé les questions au Gouvernement.

      20. Sylver
        13 mars 2013 at 20h24

        Cattenom : bilans et perspectives

        Mercredi 13 mars 2013, Guy Catrix, Directeur de la centrale nucléaire de Cattenom a reçu les journalistes pour une conférence de presse afin de présenter le bilan de l’année 2012 et les projets à venir.

        En premier lieu, le Directeur a souhaité revenir sur l’accident mortel survenu à la centrale de Cattenom le 28 février dernier. Guy Catrix a précisé que cet évènement douloureux a bouleversé l’ensemble du personnel de la centrale et que l’enquête, actuellement en cours, déterminera les circonstances exactes de cet accident.

        La première partie de la conférence a été l’occasion de dresser le bilan de l’année 2012. Une année marquée par une forte activité de maintenance (trois arrêts de tranche programmés dont une visite partielle) et une production de 30 milliards de kilowattheures. Grâce à la mobilisation de l’ensemble du personnel, le CNPE de Cattenom a tenu ses engagements en matière de sûreté des installations et d’environnement.

        Les résultats sécurité sont constants en 2012 avec un taux de fréquence de 4 accidents par million d’heures travaillées. La centrale de Cattenom a poursuivi en 2012 sa politique de renouvellement des compétences avec l’embauche de 48 nouveaux salariés et a battu son record en termes d’effectif avec 1 248 salariés, un chiffre jamais atteint depuis le début de l’exploitation des unités
        de production.

        La conférence a été aussi l’occasion d’aborder les investissements à venir pour assurer la durée de fonctionnement des installations. EDF entend assurer une durée de fonctionnement de ses centrales nucléaires au-delà de 40 ans. Un investissement de 50 milliards d’euros est prévu pour les 58 réacteurs du parc nucléaire d’EDF sur 10 ans, dont 3 à 4 milliards pour la centrale de Cattenom, comprenant les
        investissements de sûreté liés à Fukushima.

        En juin 2012, l’Autorité de Sûreté Nucléaire a présenté les Prescriptions Techniques réglementaires issues des Evaluations Complémentaires de Sûreté Post-Fukushima et EDF a précisé son plan d’actions qui commence dès 2012 et se poursuivra sur plusieurs années. Ces travaux visent à renforcer la robustesse ainsi qu’à assurer des marges de sûreté supplémentaires aux installations face aux risques de séisme et d’inondation, face à la perte simultanée de la source de refroidissement et des alimentations électriques et face aux conséquences en cas d’accidents graves.

        Enfin, Guy Catrix a présenté le programme de maintenance de la centrale de Cattenom en 2013 : trois arrêts de tranche programmés dont la Visite Décennale de l’unité de production n°4, déterminante pour la poursuite de l’exploitation du site de Cattenom. Il s’agit d’un check-up complet de l’état des installations permettant d’obtenir l’autorisation de l’Autorité de Sûreté Nucléaire d’exploiter le réacteur 10 années supplémentaires. Plus de 10 000 activités de maintenance vont mobiliser jusqu’à 2 500 intervenants, au plus fort de l’activité de cet arrêt qui a débuté le 9 février dernier.

        http://www.paperjam.lu/communique-de-presse/fr/cattenom-bilans-et-perspectives

      21. François
        13 mars 2013 at 20h04

        Afin d’assurer la durée de fonctionnement de la centrale nucléaire de Cattenom, EDF prévoit un programme de 3 à 4 milliards d’euros sur les dix ans.

        Suite à l’accident de Fukishima, EDF a prévu un investissement de 50 milliards d’euros pour les 58 réacteurs de son parc nucléaire sur 10 ans, dont 3 à 4 milliards pour la centrale de Cattenom. Les investissements ont pour objectif d’assurer la durée de fonctionnements des installations. Il s’agit notamment de faire fonctionner le site au-delà de 40 ans et de garantir l’indépendance énergétique de la France.

        Les travaux visent à renforcer la robustesse des installations ainsi qu’ à renforcer les protections contre les agressions externes (séisme, inondation…). Il s’agit également d’assurer des marges de sureté supplémentaires face à la perte simultanée de la source de refroidissement et des alimentations électriques.

        Le programme d’investissement de 50 milliards d’euros comprend également des investissement de sureté liés à Fukushima comme la mise en place de la FRAN( Force d’action rapide nucléaire). Cette force est constituée de moyens humains et matériels dédiés à la gestion de la crise, mobilisable dans les 24heures et capable d’intervenir sur n’importe quel site nucléaire en France.

        En 2012, la Centrale nucléaire de Cattenom a produit 30 milliards de kWh, soit deux fois la consommation de la région Lorraine.

        En 2012, la centrale de Cattenom a par ailleurs poursuivi sa politique de renouvellement des compétences et a réalisé 48 embauches. Elle a ainsi battu son record en terme d’effectif avec 1.248 salariés.

        http://www.lejournaldesentreprises.com/regionale/Alsace-Lorraine/cattenom-3-a-4-milliards-d-euros-pour-la-centrale-nucleaire-13-03-2013-180199.php

      22. Bon pied bon oeil
        13 mars 2013 at 19h44

        EPR comment on en arrive là , édifiant !

        EPR, six ans de galère

        La centrale de Flamanville aurait dû être la fierté de notre industrie nucléaire. Mais l’énorme chantier tourne à la catastrophe.
        L’avenir du nucléaire français est suspendu à «Big Benny». Cette grue belge, aussi haute que la tour Montparnasse, est la seule à disposer d’une portée suffisante (120 mètres) pour installer, l’été prochain, le dôme d’acier qui coiffera le bâtiment du réacteur de Flamanville (Manche). La bête, qui soulève 3 200 tonnes sans trembler, arrivera en pièces détachées à Cherbourg le 15 mars et en repartira, si tout va bien, fin septembre. Prix de la location de l’engin : 12 millions d’euros…

        Comment l’armée de polytechniciens qui pilote notre industrie nucléaire a-t-elle pu se tromper à ce point ?…

        La dernière grosse alerte remonte à février 2012. EDF a découvert que les 45 consoles – des pièces métalliques de 5 tonnes fabriquées par Eiffage – supports d’un train roulant au-dessus du réacteur, ne sont pas conformes alors qu’elles étaient déjà installées ! Du coup, le bétonnage de la tour a encore été suspendu jusqu’à la fin de l’année….

        Le coût du programme vedette d’EDF enfle de 1 milliard d’euros par an

        2007 : 3,3 milliards d’euros
        Première coulée de béton en décembre. Raccordement au réseau prévu pour 2012.

        2008 : 3,3 milliards d’euros
        Arrêt d’un mois dû à la découverte de fissures dans la plate-forme du réacteur.

        2009 : 4 milliards d’euros
        Révision du système de contrôle du réacteur à la demande de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN).

        2010 : 5 milliards d’euros
        Report de deux ans, à 2014. Un calendrier «nettement plus réaliste», selon EDF.

        2011 : 6 milliards d’euros
        Révision du design et des procédures de sécurité après Fukushima. Cinq
        mois d’arrêt.

        2012 : 8,5 milliards d’euros
        Suspension du bétonnage de la tour du réacteur à partir du mois de mars.

        http://www.capital.fr/enquetes/derapages/epr-six-ans-de-galere-819081

      23. Gus
        13 mars 2013 at 6h45

        Valence. Le gisement d’emploi des sous-traitants du nucléaire

        Au cœur d’une crise qui plombe les chiffres du chômage en France, le gisement d’emploi de la filière nucléaire hexagonale pourrait bien se révéler être une bouée de sauvetage fort salvatrice. En Tarn-et-Garonne, la centrale nucléaire de Golfech en sait quelque chose qui n’avait jamais connu autant d’agents EDF dans ses rangs, ils sont désormais 730 et leur nombre va s’accroître puisqu’une trentaine d’embauches est prévue dans le courant de l’année 2013….

        Le «grand carénage» tire l’emploi

        Parmi les facteurs qui expliquent ce boom de l’emploi dans le nucléaire, on a déjà largement évoqué dans ces colonnes les questions du renouvellement de la population d’agents EDF et celle de l’impact de l’accident de Fukushima en matière de sûreté nucléaire renforcée. La troisième explication réside dans le lancement par EDF de grands chantiers de maintenance dans le cadre de la politique dite du «grand carénage», c’est-à-dire une revue complète des centrales du parc nucléaire français et le changement de gros composants. Ce «grand carénage» s’étalera sur une décennie et l’objectif visé par EDF est de porter la durée de vie des réacteurs 1300MW de 40 à 60 ans. En ce qui concerne les recrutements effectués par EDF, il est possible de les retrouver sur http://www.edfrecrute.com….

        http://www.ladepeche.fr/article/2013/03/12/1580331-valence-le-gisement-d-emploi-des-sous-traitants-du-nucleaire.html

      24. DI Man
        12 mars 2013 at 18h20

        Après Fukushima, la question du nucléaire est délicate à Cattenom

        Si les japonais se posent la question de sortir complètement du nucléaire, le débat en France n’en est qu’à ses balbutiements. La centrale de Cattenom fait grand bruit. Peut-on vraiment sortir du nucléaire ?

        François Drapier, président de l’association Sortons du Nucléaire-Moselle, nous répond.

        Après un accident de nacelle survenu la semaine dernière, les activités ont repris à Cattenom, la centrale nucléaire mosellane. La question de l’arrêt de la centrale s’est intensifiée. Cattenom, en Lorraine, cela reste surtout des centaines d’emplois avant tout. Si les luxembourgeois et les allemands semblent être très actifs dans la lutte contre le nucléaire, les lorrains feraient plutôt profil bas. Fukushima et la catastrophe que le peuple japonais a connu fait peur. Mais est-ce suffisant pour stopper net le nucléaire ? Pour François Drapier, la réponse est évidente : Non. «Je suis encore un peu pessimiste, les gens ne sont pas prêts ici à sortir complètement du nucléaire. Les choses se sont tassées pour Fukushima. Une désinformation grandissante enveloppe cette catastrophe. La chose est désormais banalisée. Alors que la situation est critique là-bas»…

        «Un accident par mois à Cattenom»…

        http://www.loractu.fr/thionville/3486-apres-fukushima-la-question-du-nucleaire-est-delicate-a-cattenom.html

        La pègre japonaise fait le ménage à Fukushima

        Fukushima manque de « nettoyeurs ». Malgré la propagande de Tepco visant à minimiser les risques de contamination, les petites mains ne se bousculent pas aux portes de la centrale pour « évacuer le becquerel », au profit de la pègre japonaise, grande pourvoyeuse de main d’oeuvre bon marché…

        Résultat, les sous traitants font dans la surenchère et rivalisent d’imagination pour attirer le nettoyeur dans la zone contaminée. Une entreprise a ainsi passé une annonce proposant entre 30.000 et 50.000 yens par jour (250 à 400 euros) de travail pendant trois mois. Précision utile : « Le lieu de travail est dans une zone à haute dose ».

        NETTOYEUR, UNE « RADIATION » SOCIALE

        http://www.marianne.net/La-pegre-japonaise-fait-le-menage-a-Fukushima_a227389.html

      25. Sellig
        12 mars 2013 at 17h56

        Non-représentativité des syndicats signataires de l’ANI :

        question d’actu d’A. Chassaigne

        http://touch.dailymotion.com/video/xy5af7_non-representativite-des-syndicats-signataires-de-l-ani-question-d-actu-d-a-chassaigne_news

      26. Sun
        12 mars 2013 at 15h46

        Michèle Rivasi :

        Jolie victoire des écologistes et des citoyens européens aujourd’hui. Après avoir réussi à convaincre mes collègues du Parlement, c’est maintenant à la Commission et au Conseil d’approuver mon rapport. Et si le Conseil refuse la codécision sur cet enjeu de santé publique, je porterai l’affaire devant la Cour de justice européenne!

        http://www.michele-rivasi.eu/au-parlement/substances-radioactives-dans-leau-le-parlement-exige-la-codecision-sur-un-enjeu-primordial-de-sante-publique/

        Votre avis compte ! Jusqu’au 13/04, contribuez à l’élaboration d’une décision de l’ASN sur l’environnement

        http://www.asn.fr/index.php/S-informer/Actualites/2013/Consultation-du-public-votre-avis-compte

      27. 12 mars 2013 at 7h09

        Fukushima: le PCF s’associe à l’hommage mais réaffirme l’atout du nucléaire civil

        Le Parti communiste français (PCF), qui s’est associé lundi à l’hommage rendu aux victimes de Fukushima au Japon, réaffirme l’atout constitué par le nucléaire civil et demande la constitution d’un pôle public national de l’énergie pour la France.

        Dans un communiqué où il s’associe à l’hommage rendu aux victimes du tsunami qui a ravagé le Japon il y a deux ans et provoqué la catastrophe nucléaire de Fukushima, le PCF dénonce l’entreprise Tepco qui a montré, en ne mettant pas en oeuvre les meilleures mesures antisismiques dans sa centrale, que l’énergie nucléaire est trop sérieuse pour être confiée à des entreprises privées privilégiant le profit à la sécurité.

        Pour le PCF, l’atout constitué par le nucléaire civil doit être maintenu et optimisé, pour relever les défis dune énergie décarbonée. Il ne peut s’envisager sans un renforcement permanent de la sûreté et de la radioprotection, tant sur le plan matériel qu’humain.

        Des exigences accrues de transparence et de démocratie, la définition et le respect de normes internationales, le refus du recours à la sous-traitance et des investissements de sûreté sont indispensables à la poursuite de la production d’énergie nucléaire, selon le Parti communiste.

        Le PCF appelle à la constitution d’un pôle public national de l’énergie qui, seul, permet de faire primer l’exigence en matière de sécurité et de prix sur les intérêts de l’économie de marché.

        http://www.romandie.com

      28. 12 mars 2013 at 6h47

        Batho : la France «aura durablement besoin d’une part de nucléaire»

        Sur France Info lundi matin, Delphine Batho, ministre de l’Ecologie, du développement durable et de l’énergie, a estimé que la France «aura durablement besoin d’une part de nucléaire» (dans ses énergies, ndlr), mais «cela suppose de tirer toutes les leçons de la catastrophe de Fukushima.»

        Au moment où les Japonais se recueillent à l’occasion du deuxième anniversaire de la catastrophe de Fukushima, le gouvernement défend corps et âme le nucléaire…

        http://www.leparisien.fr/economie/delphine-batho-la-france-aura-durablement-besoin-d-une-part-de-nucleaire-11-03-2013-2632569.php

      29. Gus
        12 mars 2013 at 4h40

        Fukushima, 2 ans après: la sortie du nucléaire est un choix qui s’impose, en France comme ailleurs

        Alors que nous célébrons aujourd’hui le deuxième anniversaire de la catastrophe nucléaire de Fukushima, un rapport confidentiel de l’Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) a levé le voile sur le coût d’une catastrophe en France: le coût d’un accident majeur pourrait aller de 760 milliards d’euros à 5 800 milliards d’euros.

        Pour Michèle RIVASI, eurodéputée spécialiste du nucléaire et fondatrice de la Commission de recherche et d’information indépendante sur la radioactivité (Criirad), les révélations du rapport confidentiel de l’IRSN ne sont pas une surprise: « Ces révélations ne font que mettre des chiffres incommensurables sur un risque ineffable: celui de la disparition potentielle d’un Etat acculé à la faillite par l’endettement radioactif. Ce n’est pas de l’alarmisme, c’est une réalité que l’histoire a démontré: l’accident qui arrive c’est celui auquel on n’avait pas pensé. Et personne ne peut imaginer ce qu’est une catastrophe nucléaire avant d’en avoir vécu une. Après une catastrophe classique, on dit en général que ‘le danger est passé’, mais avec le nucléaire le danger ne passe pas: il reste et s’insinue partout, même dans les rouages démocratiques. En effet, la principale conséquence d’un accident nucléaire est la déliquescence de l’Etat de droit, de la démocratie. C’est là le paradoxe suicidaire du nucléaire: on n’autorise que les démocraties solides à y avoir recours. Pourtant, là où le nucléaire passe, la démocratie trépasse »….

        http://www.francematin.info/Fukushima-2-ans-apres-la-sortie-du-nucleaire-est-un-choix-qui-s-impose-en-France-comme-ailleurs_a27908.html

      30. Atchoum
        11 mars 2013 at 20h30

        Ce que changera l’accord sur l’emploi dans les entreprisespar Jean-Dominique Simonpoli –

        Bon nombre de dispositions de l’accord national interprofessionnel du 11 janvier 2013 doivent trouver leur prolongement dans l’élaboration et le vote d’une loi d’ici au printemps prochain. Cette négociation, qui a duré plusieurs mois, a fait l’objet de nombreux commentaires.

        Je voudrais simplement revenir sur un aspect essentiel de cet accord, qui n’est pas suffisamment mis en lumière, et qui touche au rôle dorénavant dévolu aux partenaires sociaux.

        L’entreprise va devenir, peut-être plus que la branche, le lieu central de la négociation collective. Cette évolution, qui vient de loin, trouve son prolongement dans l’ANI du 11 janvier 2013 en renforçant le pouvoir de négociation des partenaires sociaux. Cette réalité confère de nouvelles responsabilités aux parties prenantes.
        Du côté des entreprises, la nécessité de dégager une majorité pour valider les futurs accords, en particulier ceux relatifs au maintien de l’emploi, va modifier les comportements, les attitudes des négociateurs patronaux qui devront, plus que jamais, se préoccuper de la construction de la confiance, condition indispensable aux succès de la négociation. Elle ne pourra se réaliser sans une volonté et un engagement des DRH et des directions générales au plus haut niveau.

        A cet égard, la construction et l’utilisation de la base de données unique seront révélatrices de cet engagement. Et d’ailleurs, il sera intéressant de noter les efforts déployés par les directions d’entreprise pour une réelle transparence des informations fournies aux représentants du personnel.
        Du côté syndical, la recherche d’une majorité va contraindre les responsables syndicaux à être exigeants sur la qualité de leurs engagements dans le processus de négociation.
        Cela pousse à une « professionnalisation » de la fonction syndicale avec des niveaux d’expertise plus élevés.

        Professionnaliser la fonction de négociateur, cela ne veut pas dire qu’il faille avoir des professionnels du syndicalisme. Cela signifie que dorénavant, et cette tendance va s’accentuer, les compétences nécessaires à l’exercice de la fonction syndicale vont être de plus en plus exigeantes, pour l’efficacité même de l’expression et de l’action syndicale…
        Acquérir des compétences est une chose, les reconnaître en est une autre. Pour une direction d’entreprise, créer de la confiance avec les interlocuteurs syndicaux passe aussi par une reconnaissance de leurs compétences. C’est indispensable à la qualité et la réussite même de la négociation….

        http://lecercle.lesechos.fr/economie-societe/social/relations-sociales/221167523/changera-laccord-lemploi-entreprises

        • Sylver
          11 mars 2013 at 21h57

          Je comprends que ce journal à la botte du patronat fasse éloge à cet accord.
          La patronne du MEDEF à fait une déclaration quasi identique dans les derniers jours.

          Cet accord est une vrai merde pour les salariés et nous n’allons pas tarder à sentir son odeur.

      31. l'Abeille sociale
        11 mars 2013 at 19h25

        Appel unitaire et Pétition contre « Un ANI qui nous veut du mal »

        Rarement un Accord national interprofessionnel (ANI) aura entériné autant de reculs pour les salarié-e-s que celui conclu le 11 janvier 2013 entre le patronat et trois syndicats minoritaires.

        A l’initiative de la Fondation Copernic et d’Attac, un collectif d’organisations associatives, syndicales et politiques lancent un Appel unitaire et une Pétition pour dire NON à cet accord régressif et à sa transcription dans la loi.

        SIGNEZ LA PETITION

        http://www.fondation-copernic.org/spip.php?article872

        La pétition a récolté 18001 signatures (voir la liste).

        Citoyen-ne-s, militants associatifs, syndicaux ou politiques, nous lançons un appel afin que le Parlement ne retranscrive pas dans la loi l’accord national interprofessionnel (ANI) signé le 11 janvier 2013 par le patronat et trois syndicats minoritaires. Cet accord illégitime constitue, en effet, un recul social majeur, qui ne fera qu’aggraver la précarité du travail. Nous appelons chacun-e à signer cet appel et à le faire circuler pour faire entendre nos voix.

        Voir le texte complet de l’appel : http://blogs.mediapart.fr/blog/fondation-copernic/190213/un-ani-qui-nous-veut-du-mal

        Vous pouvez signer cet appel en utilisant le formulaire ci-contre.

        Appel soutenu par : Attac, CADAC, CGT Commerce Paris, CGT Hôtels Prestiges et Economiques, CGT-Finances, CNDF, CNT-Solidarité ouvrière Ile-de-France, Convergence de défense et développement des services publics, Convergences & Alternative, Fédération pour une alternative sociale et écologique, Fondation Copernic, FSU, Gauche anticapitaliste, Gauche unitaire, Les Alternatifs, Les efFRONTé-e-s, Marches européennes contre le chômage, Mouvement national des chômeurs et précaires, Nouveau parti anticapitaliste, Osez le féminisme !, Parti communiste, Parti communiste des ouvriers de France, Parti de gauche, Réseau féministe « Ruptures », Résistance sociale, République & Socialisme, Union syndicale Solidaires…

      32. Gus
        11 mars 2013 at 19h24

        Dans la centrale, priorité à la gestion de la piscine du réacteur n° 4

        Tepco veut rapidement évacuer les 1.531 crayons de combustible situés dans ce bassin, site le plus sensible de la centrale.

        Depuis qu’il a annoncé, fin 2011, que tous les réacteurs de la centrale dévastée avaient étaient placés dans un état d’arrêt à froid, l’électricien Tepco, qui supervise le chantier du démantèlement, se concentre sur le recouvrement des tranches et sur la gestion de la piscine de stockage de combustibles du réacteur n° 4, qui reste, à court terme, le site le plus sensible de la centrale.

        Cette tranche était à l’arrêt au moment de la catastrophe de mars 2011 et son « coeur » était donc entièrement déchargé, mais sa piscine de désactivation, située à une trentaine de mètres de hauteur dans le bâtiment même, était, elle, remplie de 1.531 crayons de combustible.
        Elle contient toujours aujourd’hui 783 assemblages usés, 548 déchargés peu avant l’accident et 20 crayons neufs.
        Cela représente l’équivalent de trois coeurs de réacteurs et surtout une puissance résiduelle de 2,26 mégawatts (MW)....

        http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/energie-environnement/actu/0202634025261-dans-la-centrale-priorite-a-la-gestion-de-la-piscine-du-reacteur-n-4-545701.php

      33. Sun
        11 mars 2013 at 16h20

        Japon et Crise Nucléaire

        Les liquidateurs de Fukushima, héros kamikazes au terrible destin

        La catastrophe de Fukushima, un enfer sans fin ?
        3 000 « liquidateurs », des personnes se déplaçant sur le site irradié pour contenir les dégâts, se relayent jour et nuit sur les lieux accidentés. Certes, deux ans après le séisme et l’accident nucléaire, la situation est considérée comme stable puisque les réacteurs et piscines sont constamment refroidis. Mais l’archipel doit faire face à de multiples difficultés, comme la gestion des déchets radioactifs et la carence en logements pour les sinistrés.
        Après deux ans passés à colmater les dégâts à Fukushima -où quatre des six réacteurs nucléaires ont été saccagés- et à gérer tant bien que mal le sinistre, les liquidateurs, qui sont pour beaucoup employés indirectement par la société Tepco (Tokyo Electric Power), usent désormais de la parole pour témoigner de leur sort. Stress, peur, solitudes et inconfort sont leur lot quotidien. Un de ces ouvriers s’est ainsi confié à Reuters :
        « J’ai mal au ventre et je suis constamment stressé. Quand je reviens dans ma chambre, tout ce que je peux faire, c’est me soucier du lendemain. Ils devraient nous donner une médaille ». Selon le quotidien britannique The Guardian, il règne auprès des liquidateurs une tension qui aurait, en d’autres lieux, poussé à la démission.

        Et alors qu’une étape critique approche -le retrait du combustible usagé des piscines de stockage- le Wall Street Journal indique que le bout du tunnel est encore loin :
        « Les liquidateurs sont déjà épuisés et soumis quotidiennement aux radiations, mais ce sont des décennies de nettoyage qui attendent les Japonais ». Selon Jun Shigemura, maître de conférences au département de psychiatrie du National Defense Medical College, et qui est intervenu dans les colonnes du Guardian,
        « les liquidateurs ne participent en rien aux prise de décisions chez Tepco et n’ont rien à voir avec la catastrophe. Pourtant ils éprouvent un sentiment de culpabilité et de responsabilité. Ils méritent plus de respect, dans la mesure où ils font l’un des métiers les plus périlleux au monde. D’autant qu’ils risquent de suivre la trajectoire des vétérans de la guerre du Vietnam, qui se sont vus rejetés par la société à leur retour, ont fini sans abri, ont sombré dans l’alcoolisme et les drogues ou se sont suicidés ».

        Et le ministère de la Santé japonais a d’ores et déjà communiqué des chiffres : 63 travailleurs de Fukushima ont, par exemple, déjà été exposés à des niveaux de radiation supérieurs à ceux enregistrés dans leurs dossiers personnels. Les autorités devant par ailleurs se soucier de larges parties du littoral couvertes de débris plus ou moins radioactifs.
        A ce jour, moins de la moitié des 17 millions de tonnes de détritus ont été incinérés ou stockés dans des décharges.
        Enfin, le gouvernement doit plancher sur une solution à l’épineux problème des 160 000 personnes déplacées, la plupart originaires de zones devenues inhabitables à cause des radiations de la centrale de Fukushima.

        La reproduction totale ou partielle de l’article est strictement interdite sans accord préalable de l’auteur http://www.carevox.fr/sante-naturelle-57/article/les-liquidateurs-de-fukushima

      34. Gus
        10 mars 2013 at 19h48

        « Le dialogue social est un levier de performance que les entreprises ne mobilisent pas assez » pour Hubert Landier

        Spécialiste des relations du travail, Hubert Landier a supervisé pour l’Institut de l’Entreprise un rapport sur le dialogue social. Il estime qu’une meilleure formation des futurs managers aux relations sociales améliorera les performances des entreprises….

        Pourquoi le dialogue social est-il de si mauvaise qualité en France ?

        Les raisons sont multiples. Je voudrais insister sur une cause particulièrement. Les élèves des grandes écoles ne savent pas ce qu’est un délégué du personnel car ils ne sont pas du tout formés aux relations sociales. Quand ils arrivent dans une entreprise, leur méconnaissance peut créer des incompréhensions voire des tensions. Je préconise que la formation des grandes écoles intègrent le B.A. BA des relations sociales. Savez vous que dans la plus célèbre d’entre-elles ces questions ne sont même pas au programme ? C’est à peine une option.

        Cela suffirait ou d’autres mesures sont-elles nécessaires ?

        Il faut aussi former l’encadrement intermédiaire. C’est essentiel. Leur mission ne peut pas se limiter à faire du reporting comme trop de grandes entreprises le croient. Les bonnes relations sociales qu’un manager sait créer dans son service doivent être prises en compte lors des évaluations.

        Mais ils craquent déjà sous le poids des missions qu’on leur alloue. Vous voulez ajouter le dialogue social ? Vraiment ?

        Pour cela, il faut redonner du temps et du pouvoir aux managers intermédiaires pour qu’ils puissent s’y consacrer, plutôt que de faire des reportings pas toujours utiles. Gérer une entreprise, un service, ce n’est pas être assis dans une cabine d’avion. Il faut sortir enfin du management par les chiffres et réintégrer la dimension humaine.
        En outre, il serait vraiment nécessaire que les entreprises cessent de diaboliser les représentants du personnel. Le travail accompli par le délégué du personnel doit être pris en compte dans les parcours professionnels….

        http://www.usinenouvelle.com/article/le-dialogue-social-est-un-levier-de-performance-que-les-entreprises-ne-mobilisent-pas-assez-pour-hubert-landier.N192982

      35. Sun
        10 mars 2013 at 18h47
      36. Colère
        10 mars 2013 at 15h30

        Pourquoi les peuples se retournent contre l’Europe

        Pour dire sa haine de l’Europe et de son « austérité mortifère », pendant la campagne, « Libero », le journal de Berlusconi, tirait à boulets rouges sur « VafanMerkel», métaphore d’une Europe germanique.
        Réplique de Peer Steinbrück, leader du Parti social-démocrate d’Allemagne, à propos de Grillo et Berlusconi, tombeurs de Monti qu’ils qualifiaient de candidat de Berlin :
        « Deux clowns, l’un de profession, l’autre avec une touche particulière de testostérone. »

        Lassé de voir l’Allemagne accusée de tous les maux, Jens Weidmann, président de la Bundesbank, égaie cet échange de tirs d’une devinette :
        « Combien d’Allemands faut-il pour installer une ampoule électrique ? Un seul, il tient l’ampoule et le reste de l’Europe la visse. »
        Avant de préciser, goguenard :
        « Dans les années 1990, c’est la France que visait cette vanne! »….

        http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20130308.OBS1277/pourquoi-les-peuples-se-retournent-contre-l-europe.html

      37. le furet
        10 mars 2013 at 13h03

        Nucléaire : la ministre de l’Ecologie confirme la fermeture de Fessenheim

        La centrale nucléaire de Fessenheim, doyenne du parc français, sera fermée comme promis par le président François Hollande lors de la campagne électorale «le plus tôt possible» mais «dans le dialogue social», a déclaré la ministre de l’Ecologie et de l’Energie, Delphine Batho, au Journal du Dimanche (JDD).

        L’engagement de François Hollande «sera tenu, Fessenheim sera fermée. Le but est de le faire dans le dialogue social, en garantissant l’approvisionnement énergétique de la région et en préservant les emplois, le plus tôt possible et au plus tard en 2017», dit la ministre dans une interview au JDD.
        «Nous discuterons du calendrier précis lors du débat sur la transition énergétique qui commencera en novembre et s’achèvera avant le premier semestre 2013» précise t-elle….

        Selon la ministre, faire passer la part de l’énergie nucléaire de 75 % à 50 % reste un objectif «réaliste». «On doit faire des choix qui engagent la France pour des décennies. On sort de cinq ans de stop-and-go incessants sur les énergies renouvelables, ce qui a détruit des emplois. Sur l’éolien terrestre et offshore, sur le solaire, sur les énergies marines, la biomasse, le potentiel est considérable. Et cela créera des emplois», dit-elle au JDD.

        Quant à la «conférence environnementale» qui doit se tenir les 14 et 15 septembre, Delphine Batho affirme qu’il ne s’agira pas d’un Grenelle bis. «J’attends de cette conférence un moment de vérité».

        http://actualites.leparisien.fr/energie+nucleaire.html

        • DI Man
          10 mars 2013 at 13h35

          Centrale thermique du Havre : EDF ferme une tranche

          La direction de la centrale thermique EDF, au Havre, a annoncé, vendredi 8 mars, la fermeture immédiate et définitive de sa tranche n° 1. La question des emplois se pose.

          L’unité de production n°1 de la centrale thermique EDF du Havre a été définitivement arrêtée vendredi 8 mars, quelques mois avant la date initialement prévue. Cet arrêt marque le début du vaste chantier de rénovation auquel se prépare la centrale qui souhaite moderniser son outil de production et l’adapter à des objectifs de développement durable.
          « La centrale du Havre est la toute première centrale à charbon de France à opérer une telle rénovation », annonce la direction.

          Les grandes étapes du chantier…

          Les grandes étapes du chantier…

          « Les sous-traitants d’EDF sont associés au projet »

          Quid du sort des entreprises prestataires d’EDF qui représenteraient 300 (autres) emplois ? « L’information leur a été donnée depuis plus d’un an et la centrale travaille avec eux pour qu’elles puissent anticiper cette évolution d’activité », assure également EDF.
          La direction de la centrale thermique du Havre précise au passage qu’après l’arrêt des unités 1 et 2, le chantier de déconstruction va vite être lancé. « Et cette déconstruction représentera un chiffre d’affaires d’environ 60 millions d’euros pour les prestataires et 60 à 80 emplois à temps plein, pendant cinq à sept ans »….

          http://www.76actu.fr/centrale-thermique-du-havre-edf-ferme-une-tranche_27845/

      38. Bon pied bon oeil
        10 mars 2013 at 10h59

        Le stockage des déchets radioactifs en Allemagne vire au désastre

        Les autorités de surveillance du nucléaire recommandent l’évacuation rapide des 126.000 barils de déchets emmagasinés depuis 1967 dans une mine de sel de Basse-Saxe rongée par les infiltrations

        En inaugurant le stockage des déchets nucléaires dans une mine de sel il y a quarante ans, l’Allemagne était à la pointe de la technique. Quarante plus tard, elle l’est toujours en préparant son évacuation.

        Les autorités fédérales de surveillance des rayonnements et déchets nucléaires (BFS) ont remis en effet le 15 janvier leur expertise recommandant le déstockage des 126 000 barils de déchets nucléaires entreposés entre 1967 et 1979 dans la mine de sel d’Asse II, en Basse-Saxe, dans la région de Brunswick, dont 1 300 fûts de déchets de moyenne activité, contenant environ 11 kg de plutonium de l’usine de traitement de combustible usé de Karlsruhe….

        http://www.la-croix.com/Actualite/Economie/Economie/Le-stockage-des-dechets-radioactifs-en-Allemagne-vire-au-desastre-_NG_-2010-02-08-546433

        Nucléaire: un accident pourrait coûter jusqu’à 5.800 milliards

        Un accident nucléaire majeur en France pourrait coûter jusqu’à 5.800 milliards d’euros, selon un rapport confidentiel de l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) cité dimanche par le Journal du dimanche (JDD).

        Selon ce rapport que le JDD s’est procuré, le coût d’un accident majeur pourrait aller de 760 milliards d’euros pour un « cas de base » à 5.800 milliards d’euros, soit l’équivalent de trois années de PIB, dans le cas d’une situation particulièrement catastrophique.

        Dans une étude rendue publique il y a un mois, l’IRSN avait évalué le coût d’un accident nucléaire similaire à celui survenu en mars 2011 à Fukushima à environ 430 milliards d’euros.

        L’économiste Patrick Momal, qui a travaillé sur les deux rapports, a expliqué au JDD que le chiffre de 430 milliards correspondait à un « cas médian » de rejets radioactifs comme ce fut le cas à Fukushima….

        http://www.lepoint.fr/societe/nucleaire-un-accident-pourrait-couter-jusqu-a-5-800-milliards-10-03-2013-1638225_23.php

      39. Gus
        9 mars 2013 at 12h14

        Nucléaire: 42% des Français inquiets

        Un peu moins de la moitié des Français, 42% exactement, se disent inquiets à propos des centrales nucléaires de notre territoire, dans un sondage Ifop pour Sud-Ouest Dimanche.

        Tout en restant relativement élevé, le niveau d’inquiétude suscitée par les centrales nucléaires françaises a néanmoins sensiblement reflué depuis deux ans, constate le journal. Ainsi quand en avril 2011, soit deux semaines après l’accident de Fukushima (Japon), 56% des Français se déclaraient inquiets à l’égard des centrales situées dans notre pays, ils ne sont plus aujourd’hui que 42%, soit 14 points de moins.

        L’essentiel du recul de l’inquiétude a été enregistré dès l’été 2011, date à laquelle 45% des personnes interrogées se disaient inquiètes, soit une baisse de 11 points en quelques mois seulement, précise Sud-Ouest Dimanche.

        Les sympathisants écolos inquiets….

        http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2013/03/09/97002-20130309FILWWW00265-42-des-francais-inquiets-par-le-nucleaire.php

        Lepage : le nucléaire, un choix « coûteux »

        La France est « en train de rater son redémarrage économique » en raison de pouvoirs publics « obnubilés » par le nucléaire, un choix « qui va se révéler abominablement coûteux », a estimé samedi sur France Inter la députée européenne Corinne Lepage.

        « Je souhaite un plan précis de fermeture programmée de nos centrales, en commençant par Fessenheim, qui est la plus ancienne et la plus dangereuse », a déclaré l’avocate, qui participe ce samedi à Paris à une chaîne humaine des anti-nucléaires pour commémorer l’anniversaire de Fukushima….

        http://www.europe1.fr/Politique/Lepage-le-nucleaire-un-choix-couteux-1441549/

        Comment se porte la médecine du travail ?

        Avec une crise qui ne cesse de s’enliser dans le temps, certains syndicats, notamment le CFE-CGC (lire ci-dessous), s’inquiètent de conditions de travail qui se détériorent parfois en entreprise. Face à cela, ces mêmes syndicats déplorent que les médecins du travail soient de moins en moins nombreux. Cette « réelle pénurie de médecins du travail en France » est d’ailleurs confirmée par Christine Taddei, la directrice de l’Association interprofessionnelle de santé au travail de la Côte-d’Or (AIST 21).

        Une situation de pénurie « pas nouvelle »
        « La situation de pénurie n’est pas nouvelle », dit-elle cependant. « Cela fait de nombreuses années que les services de santé au travail alertent le gouvernement et les parlementaires sur les nombreux départs en retraite qui se sont opérés depuis 3-4 ans et qui vont continuer pendant encore 4 ou 5 ans. Le problème, c’est que les médecins qui sortent actuellement de fac de médecine avec leur diplôme de médecin du travail ne sont pas suffisamment nombreux pour remplacer les médecins qui partent en retraite. De plus, avec la réforme des études médicales, un étudiant qui choisit la spécialité médecine du travail ne pourra pas faire autre chose que cela. »

        La Côte-d’Or « relativement privilégiée »…

        http://www.bienpublic.com/cote-d-or/2013/03/09/comment-se-porte-la-medecine-du-travail

      40. BOB
        9 mars 2013 at 9h59

        Alerte lancée par des cabinets d’expertise CHSCT :

        La transposition de l’ANI du 11 janvier 2013 entérinerait un grave recul du droit des salariés et des prérogatives de leur CHSCT

        Les experts agréés auprès des CHSCT soussignés souhaitent par le présent texte faire état publiquement de leur plus vive inquiétude et de leur plus grande préoccupation devant les conséquences que dessinent la récente signature de l’ANI (Accord National Interprofessionnel) – le 11 janvier dernier – et sa transposition en avant-projet de loi.

        Notre alerte porte sur plusieurs dispositions de ces textes passées jusqu’ici totalement inaperçues et qui touchent pourtant à certaines des prérogatives les plus importantes des CHSCT qu’avaient initiées les secondes lois Auroux en 1982 :

        – L’obligation d’information et de consultation du CHSCT en cas de projet
        important modifiant l’organisation, les conditions de travail, l’hygiène et la sécurité ;

        – Le droit à l’expertise du CHSCT.
        Le droit à l’expertise s’est d’abord imposé dans un souci de protection de la santé et de la sécurité des salariés. En cas de risque grave ou de projet important, les représentants du personnel au CHSCT peuvent choisir un expert indépendant agréé par le ministère du Travail. C’est par l’analyse du travail que l’expert va établir un diagnostic sur les conditions de travail et lesé ventuels risques professionnels auxquels peuvent être exposés les salariés. Et c’est à partir de son diagnostic et de ses préconisations que le CHSCT peut émettre un avis sur le projet présenté par la Direction. Même dans le cas d’un projet national, chaque CHSCT doit formuler cet avis à partir des répercussions locales sur les salariés et sur leurs activités de travail.

        L’ampleur et la gravité des modifications envisagées par l’avant-projet de loi résultent de plusieurs amalgames :

        – Il dessaisit les CHSCT locaux de la possibilité d’instruire eux-mêmes les projets, au profit d’une instance regroupant les CHSCT concernés (1 seul membre par CHSCT, avec 20 membres maximum choisis par la Direction quand le nombre de CHSCT concernés est supérieur à 20 !) ;

        – Il vide de son sens et de sa portée l’avis du CHSCT, réputé rendu à la fin du délai imparti, même si les membres du CHSCT n’ont pas eu le temps d’étudier le projet et de se faire assister par leur expert. Or cet avis est essentiel, puisqu’à sa suite l’employeur devra prendre les mesures de prévention nécessaires, sa responsabilité se trouvant engagée eu égard à ses obligations légales ;

        – Il fait un amalgame entre les expertises CHSCT et celles réalisées par l’expert– comptable. Alors que ce dernier procède principalement par analyse documentaire, l’expert en santé au travail doit, d’une part, réaliser des entretiens avec les salariés à tous les niveaux de la hiérarchie et, d’autre part, observer des situations de travail réel en vue de produire une analyse des risques professionnels ainsi que des recommandations. Tout cela prend du temps, mais l’enjeu est d’importance : c’est à partir de ces analyses que les représentants du
        personnel argumentent leur avis sur les conséquences d’un projet ou d’une réorganisation sur les conditions de travail ;

        – CHSCT : Comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail.

        – En cas de projet de licenciements, il réduit le rôle du CHSCT et confond ses prérogatives avec celles du comité d’entreprise. En effet la consultation du CHSCT ne se ferait plus que dans le cadre temporel donné au comité d’entreprise, ce qui réduirait mécaniquement le délai maximum accordé à l’expert du CHSCT. Ce délai est actuellement de 45 jours à compter du jour où l’expert est en capacité de travailler, ce qui se révèle souvent un délai difficile à tenir.

        Cette réduction des délais aurait pour conséquence inévitable d’empêcher une évaluation des risques professionnels fondée sur l’analyse du travail réel et conduirait à des expertises au rabais et standardisées sans véritable utilité pour les CHSCT.

        Dans un contexte actuel d’intensification du travail et de réorganisations multiples et permanentes
        – contexte marqué notamment par une véritable explosion des risques organisationnels ou psychosociaux –, l’utilité de ces expertises pour la préservation de la santé des salariés et la mise en exergue des enjeux de prévention n’est pourtant plus à prouver. Plusieurs jurisprudences
        récentes sont ainsi venues illustrer l’importance grandissante de ces enjeux de santé au travail, notamment en donnant corps à la responsabilité de l’employeur en la matière : on songe
        ici aux milliers de décès liés à l’amiante ou à l’accident d’AZF, mais également aux cas de suicides à France Télécom ou à Renault sans parler de ceux qui surviennent dans des entreprises moins médiatisées.

        Rappelons également plusieurs arrêts suspendant des réorganisations jugées pathogènes suite à des expertises (à la FNAC, à la SNECMA ou à AREVA par exemple).

        En l’état, un tel projet de loi se positionne donc à rebours de toutes les évolutions législatives, réglementaires et jurisprudentielles qui, depuis les lois Auroux, n’ont eu de cesse de faire progresser la prévention des risques, la protection de la santé des salariés et avec elles les prérogatives des CHSCT : il constitue une véritable remise en cause du droit des CHSCT à s’appuyer sur des expertises pour faire analyser le travail. Plus largement, il affaiblit l’instance CHSCT et remet en cause un acquis crucial en matière de prévention des risques professionnels et de protection de la santé des salariés.

      41. 9 mars 2013 at 8h38

        Des forçats du nucléaire dans l’enfer de Fukushima

        Deux ans après la catastrophe de mars 2011, des milliers d’ouvriers précaires continue de risquerleur santé pour démanteler la centrale accidentée et décontaminer la région. Reportage.

        Tetsuya Hayashi, 40 ans, est le premier à dénoncer à visage découvert les abus de Tepco, la compagnie qui exploite la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi, et de ses sous-traitants. L’été dernier, il a répondu à une offre d’emploi sur Internet pour un travail à la centrale accidentée où s’activent jour et nuit 3 600 ouvriers.
        Sur place, Tetsuya a déchanté. Son salaire a été revu à la baisse, car il a dû payer son hébergement qui n’est pas pris en charge par l’employeur. Au début, on lui a assuré qu’il ne serait jamais en situation de danger. Une fois son contrat signé, il a été affecté dans une zone fortement radioactive. Sa tâche : vider les réacteurs de leur eau contaminée. Quelques heures d’intervention par jour avec, pour seules protections, un masque et une mince combinaison à peine hermétique….

        http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Des-forcats-du-nucleaire-dans-l-enfer-de-Fukushima-_3637-2171015_actu.Htm?xtor=RSS-4&utm_source=RSS_MVI_ouest-france&utm_medium=RSS&utm_campaign=RSS

        Deux ans après Fukushima, France 24 pénètre dans la centrale nucléaire

        Deux ans après la catastrophe de Fukushima, au Japon, le 11 mars 2011, FRANCE 24 a eu accès aux réacteurs endommagés, tandis que les autorités nippones s’emploient encore à limiter au maximum les fuites des centrales nucléaires touchées.

        Considérés comme stabilisés depuis décembre 2011, les risque d’émission radioactive ne sont toutefois pas nuls. Les réacteurs et piscines de désactivation sont continuellement refroidis. D’énormes travaux sont encore nécessaires pour réduire les rayonnements et les risques, notamment en cas de nouvelle catastrophe naturelle.

        Avant de pouvoir pénétrer sur le site, l’équipe de FRANCE 24 doit enfiler des combinaisons radiologiques, deux paires de gants, un dosimètre personnel et surtout un masque intégral. Durée de la visite : deux heures.

        Il faudra 40 ans pour démanteler Fukushima….

        http://www.france24.com/fr/20130307-japon-visite-centrale-fukushima-encore-phase-demantelement

      42. Sylver
        8 mars 2013 at 21h44

        Welcome to Fukushima : un documentaire inédit / Vidéo

        Deux ans, jour pour jour, après la catastrophe de Fukushima, la RTBF présente le nouveau documentaire d’Alain de Halleux : « Welcome to Fukushima ». Rencontre avec le réalisateur à l’occasion de l’avant-première à l’Espace Delvaux à Watermael-Boistfort »

        Durant deux ans, Alain de Halleux a suivi les habitants de Minamisoma, une petite ville située à 20 km de la centrale nucléaire. Entre révolte et résignation, ils s’interrogent: faut-il partir ou rester sur place, vivre avec la contamination et la peur de l’avenir ?

        Avant le tremblement de terre et l’accident nucléaire à Fukushima, la ville de…..

        http://www.rtbf.be/laune/actualite/detail_welcome-to-fukushima-un-documentaire-inedit-video?id=7940759

        • Sun
          9 mars 2013 at 0h27

          Samedi 9. März 2013 à 18h35 –

          Fukushima : l’enfance menacée ?

          de David Zavaglia, Fabrice Papillon et Dove Belhassen – ARTE GEIE / Scientifilms – France 2013

          Deux ans après l’accident de Fukushima, les premières conséquences sanitaires de la catastrophe apparaissent. Elles sont inquiétantes : une étude japonaise officielle récente révèle la présence de kystes ou de nodules à la thyroïde, sur plus de 40% d’enfants de la région.
          zoom

          Previous imageNext image
          Parallèlement, un rapport de l’OMS affirme que le risque de développer des cancers de la thyroïde est augmenté de 70% à cause de Fukushima, notamment chez les très jeunes filles.
          Désastre annoncé ? Pour les autorités nippones, tout va bien. Les nodules sont sans conséquence.

          L’équipe d’ARTE Reportage s’est donc rendue dans la région de Fukushima pour enquêter, rencontrer les familles, filmer des examens « parallèles », en dehors des circuits officiels, où les médecins disent leur inquiétude devant les résultats. Une fois de plus à Fukushima, ce sont les enfants, plus fragiles, qui restent en première ligne après la catastrophe.

          http://www.arte.tv/fr/fukushima-l-enfance-menacee/7372904.html

      43. Sylver
        8 mars 2013 at 21h11

        FAITS DIVERS T4 : nacelle démontée et reprise du travail à Cattenom

        Les chantiers reprennent progressivement sur la Tranche 4 de la centrale de Cattenom, après l’accident qui a provoqué la mort de deux soustraitants et gravement blessé un troisième. Son actuel état de santé devrait permettre son transfert dans un hôpital proche de sa famille et son lieu de résidence.

        Depuis le début de la semaine, les scellés du bâtiment réacteur, théâtre de l’accident, ont été levés par le procureur de la République. La nacelle, à l’origine de l’accident, a été soigneusement démontée, mise dans un container et scellée par les gendarmes. Ce sera à l’enquête de déterminer si l’engin présentait un défaut d’origine ou si c’est son montage qui a provoqué la chute des trois ouvriers. Les hommes travaillaient sur un chantier composite, revêtu d’une peinture spéciale qui permet d’étanchéifier le bâtiment réacteur. Un chantier lourd, longuement préparé en aval, effectué dans le cadre de la visite décennale. Après un nettoyage du bâtiment réacteur, les chantiers ont été rouverts et les équipes ont repris le travail progressivement. Mais seulement après un point sérénité effectué pour chaque équipe.

        Nouvel accident, hier

        Agents EDF comme soustraitants disposent toujours d’une phase d’accompagnement, soit en interne, soit au CHR de Mercy. Les chantiers composites ont également repris aux étages inférieurs, mais pas en hauteur, là où l’accident s’est produit. Pour l’heure, la centrale étudie les conditions de sa reprise.

        Hier, c’est sur un autre chantier, celui de la robinetterie, qu’a eu lieu un nouvel accident du travail dans ce même bâtiment réacteur. Certes, il n’a pas commune mesure avec celui vécu la semaine dernière. Un soustraitant ne parvenait plus à bouger son genou suite à un choc. Il a été transféré à l’hôpital Bel-Air de Thionville.

        http://www.republicain-lorrain.fr/moselle/2013/03/08/t4-nacelle-demontee-et-reprise-du-travail

        • hollowman of ardeche
          8 mars 2013 at 23h22

          hello les camarades

          je m’interroge sur la suite de l’enquete, tout est emballé, scellé, reperé et stocké…
          comme dirait Coluche:
          CIRCULEZ Y A PLUS RIEN A VOIR !

          apres le choc, et certain(e)s d’entre nous le seront encore pour un bout de temps, c’est dans ces moments-là que l’on se rallie, s’unit et ce lien ne devrait pas faillir
          un imperatif, la reprise du chantier
          oui, mais ne pas oublier les 2 collegues qui ont perdu la vie en travaillant là

          meme si les temoins seront mis au vert en mode « silence » cet accident doit et devrait marqué les esprits de toutes et tous pour éviter un remake dans l’avenir de la sous-traitance nucléaire ou industrielle de tout type

          et surtout
          ON NE LACHE RIEN, pour eux pour nous et pour tous ceux qui ont une envie de changement dans leur vie professionnelle, pour un mieux-vivre…

          fraternellement

        • 9 mars 2013 at 1h42

          Regardons un peu les appels d’offres pourquoi une nacelle au lieu d’échafaudage ?
          LES COÛTS ONT PRIMER ET VOILA le résultat.

      44. Roger
        8 mars 2013 at 20h53

        Cattenom : le Luxembourg veut faire faire fermer à cause du risque d’accidents

        Pour le Luxembourg, la centrale nucléaire de Cattenom (Moselle) représente un risque pour la population de la Grande Région notamment celle du Luxembourg. Le pays a milité en faveur de sa fermeture auprès de la France.

        «Nous respectons la souveraineté de la France mais le réacteur de Cattenom nous fait peur et la seule solution valable serait que Cattenom soit débranché» a affirmé le ministre des Affaires Etrangères luxembourgeois à la Ministre de l’Ecologie, Delphine Batho à Paris.
        «Si un accident arrive à Cattenom, il aura les mêmes conséquences qu’un accident à Remerschen»,
        souligne quant à lui, le ministre de la Santé selon le site internet Europa Forum. Une délégation du Luxembourg a fait pression sur le gouvernement Français ce mercredi pour faire fermer Cattenom….

        La Sarre veut aussi fermer Cattenom…

        http://www.lequotidien.lu/politique-et-societe/42781.html

      45. Gus
        8 mars 2013 at 19h31

        Y parle de nous…

        TRICASTIN – Industries nucléaires & chimiques en France

        La centrale et le site atomique du Tricastin ?
        La plus grosse concentration d’industries nucléaires et chimiques de France !

        Le site nucléaire du Tricastin est un complexe industriel regroupant des installations du cycle du combustible nucléaire et une centrale électronucléaire de quatre réacteurs à eau sous pression alimentés au MOX. Situé dans la basse vallée du Rhône, sur la rive droite du canal de Donzère-Mondragon (canal de dérivation du Rhône), entre Valence (70 km en amont) et Avignon (65 km en aval), au pied de Montélimar (26 km en amont), il s’étend sur 600 hectares….

        VI) Le personnel intérimaire

        80 % des ouvriers de la maintenance des centrales nucléaires françaises viennent désormais de la sous-traitance (jusqu’à 8 niveaux !).

        Au Tricastin, 28 % du personnel permanent est hors statut EDF. Lors des opérations de « tranches », la majorité du personnel présent sur la centrale est également hors statut. Environ 340 entreprises extérieures sont intervenues en 2011 (document de presse EDF du 5 mars 2012).

        Le bémol :
        Parmi les vingt mille nomades du travail nucléaire, ils sont de plus en plus nombreux à dénoncer la pression croissante sur les équipes, et l’exigence de rentabilité au détriment de la qualité et de la sécurité. La leur, mais aussi celle de la population… (Voir sur Ma Zone Contrôlée…Va Mal, un site de salariés intérimaires, https://www.ma-zone-controlee.com). On n’écoute pas les salariés, même les membres des syndicats qui, jusqu’à présent, étaient pronucléaires. La grève des personnels d’AREVA sur le site d’Eurodif en avril 2012 a mis l’accent sur l’inquiétude du personnel, tous statuts confondus, face à une situation de travail en pleine régression et des salaires équivalents au Smic. Comme dans d’autres services publics en butte à la privatisation, le malaise du personnel engendre de graves dysfonctionnements, dont les conséquences peuvent être vertigineuses lorsqu’il s’agit d’énergie atomique. Notre tsunami sera peut être intérieur…

        http://www.planete-ardechoise.com/habitat/ardeche/578/tricastin—industries-nucleaires–chimiques-en-france.html

        Merci Christine pour l’info , juste un petit rectificatif sur l’article : nous ne sommes pas que des travailleurs intérimaires , bientôt d’autres infos de Marcoule , Cadarache et autres . Merci de nous soutenir encore plus 😉

      46. 8 mars 2013 at 19h10

        Journalistes / syndicalistes : un mépris de classe ?

        Par Romain Geoffroy, 22 ans, Strasbourg, jeune correspondant. « Avec moi aujourd’hui, trois stars du syndicalisme de combat », le 5 février dernier, Jean-Pierre Elkabbach reçoit sur Europe 1, trois syndicalistes : Jean-Pierre Mercier (CGT Aulnay PSA), Mickael Wamen (CGT Goodyear Amiens Nord), Edouard Martin (CFDT ArcelorMittal. Décryptage.

        Jean-Pierre Mercier vante l’ampleur de la mobilisation à Aulnay, « grâce à nous ce sont zéro voitures qui sortent depuis trois semaines ». Le « matinalier » d’Europe 1 s’insurge alors :
        « Et vous en êtes fiers ? »
        L’expression reflète bien le ton paternaliste que prendra Elkabbach tout au long de l’interview. Il faut dire qu’il est plus habitué aux bancs d’HEC, qu’il fréquente lors de l’université du Medef, qu’aux barricades dans les usines en grève.
        Dans Les Nouveaux Chiens de Garde, documentaire de Yannick Kergoat et Gilles Balbastre récemment nommé aux César, Michel Naudy (ancien rédacteur en chef chargé de missions à France 3) remarquait :
        « Les ouvriers sont une réserve d’indiens pour les journalistes. Ils ne viennent pas de ces milieux, ne les connaissent pas. Ils n’en connaissent pas les codes, les conditions de vie, la culture, les traditions. Dès qu’ils rompent avec le consensus mou de la démocratie molle, ils rompent avec la règle du jeu. »….

        Un traitement médiatique inégal

        Comment réagirait un patron traité comme ces syndicalistes ? Philippe Varin (PSA), Henry Dumortier (Goodyear France) et Lakshmi Mittal (ArcelorMittal) bénéficient, comme tous les « grands », de l’aide d’une équipe de communicants. Chaque intervention est préparée, le ton est mesuré. Ils sont d’ailleurs bien plus habitués aux projecteurs que des ouvriers, invités uniquement lors des grandes crises industrielles.
        En 1996, Pierre Bourdieu s’attaquait au monde médiatique dans Sur la Télévision. Il écrivait alors
        « Il est évident que tous les locuteurs ne sont pas égaux sur le plateau. Vous avez des professionnels de la parole et du plateau, et en face d’eux des amateurs (…), c’est d’une inégalité extraordinaire. Et pour rétablir un tout petit peu d’égalité, il faudrait que le présentateur soit inégal, c’est-à-dire qu’il assiste les plus démunis relativement. »

        Il s’étonnait alors de voir à quel point ce n’était pas le cas dans les médias de masse, avec des présentateurs qui non seulement n’aident pas les défavorisés, mais les enfoncent….

        http://www.humanite.fr/medias/journalistes-syndicalistes-un-mepris-de-classe-516858

        Des salariés de PSA Aulnay occupent le siège de l’UIMM

        Près de 150 salariés de l’usine PSA d’Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) ont occupé vendredi matin le siège de l’Union des industries et métiers de la métallurgie (UIMM) à Paris pour protester contre le plan de fermeture du site prévu en 2014.

        Ils en ont été évacués par les forces de l’ordre vers 14h30, a-t-on précisé de source policière.

        L’usine, qui emploie 2.800 personnes, est paralysée depuis huit semaines par une grève observée par quelque 300 ouvriers qui réclament notamment la nomination d’un médiateur pour rouvrir les négociations sur les conditions de fermeture.

        Une majorité de syndicats ont approuvé mi-février un déblocage anticipé des transferts de salariés d’Aulnay vers le site voisin de Poissy (Yvelines) face aux risques de heurts entre salariés grévistes et non grévistes.

        La CGT, qui demande l’ouverture de négociations sur la base de ses revendications, un CDI pour tous et une pré-retraite à 55 ans, dénonce « un accord de la honte ».

        « Nous avons décidé d’occuper l’UIMM pour protester contre le fait que Peugeot refuse de négocier et contre le gouvernement qui se rend complice de la direction en refusant de nommer un médiateur », a indiqué à Reuters Jean-Pierre Mercier, délégué CGT du site d’Aulnay….

        http://www.capital.fr/a-la-une/actualites/des-salaries-de-psa-aulnay-occupent-le-siege-de-l-uimm-818089

        Femmes au travail, un équilibre toujours précaire

        Les femmes n’ont jamais autant travaillé en France mais leur vie professionnelle est encore bien loin d’égaler celle des hommes…

        «Tes problèmes personnels ne m’intéressent pas.»
        Cette remarque lancée à 21h au téléphone par son chef parce qu’elle ne pouvait pas laisser ses deux enfants en bas âge seuls à la maison pour revenir au bureau, Mathilde* la garde encore en travers de la gorge.
        A 35 ans, cette cadre dans la communication a préféré accepter une mutation à un autre poste moins «exigeant en charge horaire» plutôt que continuer à subir ce genre de pression. «Une chance» reconnaît-elle, que nombre de femmes n’ont pas.

        Des inégalités professionnelles creusées par la maternité….

        http://www.20minutes.fr/economie/1114199-20130307-femmes-travail-equilibre-toujours-precaire

        La Poste condamnée à 30 000 euros d’amende pour discrimination syndicale

        La Poste a été condamnée, jeudi 7 mars, par le tribunal correctionnel de Privas, à une peine de 30 000 euros d’amende pour discrimination syndicale envers une ancienne postière élue CGT. La peine s’accompagne de l’obligation de publier le jugement dans Le Dauphiné libéré. Lors de l’audience qui s’était tenue le 7 février, le procureur de la République avait requis une amende de 10 000 euros, dont la moitié avec sursis.
        Louise Leyvastre, postière à Largentière, en Ardèche, aujourd’hui retraitée, avait déposé une plainte avec constitution de partie civile pour des faits de discrimination syndicale remontant à 2002. Une enquête avait été ouverte et le parquet de Privas avait décidé de renvoyer l’entreprise publique en correctionnelle.

        La déléguée CGT avait subi des pressions pour ne pas siéger dans des instances paritaires où elle avait été élue. Sa notation avait été diminuée avec des mentions faisant état de son statut de déléguée syndicale. Il lui était aussi arrivé de faire le double d’heures le lendemain d’une absence, selon la justice.

        « Aujourd’hui, notre joie est immense, après plus de treize ans de procédure »,…

        http://www.lemonde.fr/societe/article/2013/03/07/la-poste-condamnee-a-30-000-euros-d-amende-pour-discrimination-syndicale_1844908_3224.html

      47. mouss
        7 mars 2013 at 21h29

        Communiqué

        Avenir de la centrale de Cattenom: rencontre avec la ministre de l’Écologie, du Développement durable et l’Énergie de la France, Delphine Batho à Paris

        07-03-2013

        Une délégation conduite par le Vice-Premier ministre, ministre des Affaires étrangères, Jean Asselborn, comprenant des représentants du gouvernement, de la Chambre des députés et de la société civile s’est rendue à Paris le 6 mars 2013 pour rencontrer la ministre française en charge de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie, Delphine Batho.
        Ce déplacement a fait suite à la motion de la Chambre des députés du 27 mars 2012 appelant le gouvernement à entrer en contact avec les autorités françaises pour évoquer l’avenir de la centrale de Cattenom.

        Ont également fait partie de la délégation le ministre de la Santé, Mars Di Bartolomeo, le ministre délégué au Développement durable et aux Infrastructures, Marco Schank, ainsi que des députés et des membres du Comité d’action contre Cattenom, représentant la société civile.

        Communiqué par le ministère des Affaires étrangères

        http://www.gouvernement.lu/salle_presse/communiques/2013/03-mars/07-asselborn/

      48. 6 mars 2013 at 19h18

        Berger (CFDT) évoque un climat social très lourd:

        « Nous sommes dans un climat social très lourd, avec beaucoup de problèmes d’emploi (…), d’inquiétude », a déclaré mercredi sur France Info, Laurent Berger, secrétaire général de la CFDT, plaidant pour la recherche de solutions au lieu de regarder « les trains passer ».

        « Face à ce climat, soit on regarde les trains passer et on fait du commentaire, soit on s’engage pour essayer de trouver des solutions », a-t-il dit avant de souligner que l’accord sur l’emploi du 11 janvier faisait partie de ces solutions.

        Le conseil des ministres doit adopter ce mercredi la traduction en projet de loi de cet accord.

        A la question de savoir si la CGT et FO qui, mardi, ont appelé à manifester contre cet accord, regardaient les trains passer Laurent Berger a répondu: « dans la période actuelle, j’ai l’impression que oui ».

        Pour lui, cet accord sur la sécurisation de l’emploi, conclu entre le Medef, la CFDT la CFE-CGC et la CFDT, mais pas par la CGT et FO, « est un accord qui permet d’avoir des droits nouveaux pour les salariés ».

        Si, comme l’ont affirmé certains manifestants, il s’agissait « d’un accord de la honte, il faudrait qu’ils (les leaders syndicaux qui y sont opposés) demandent son retrait », a souligné Laurent Berger. « J’ai cru comprendre que ce n’était pas le cas », a-t-il dit.

        A propos d’une prochaine réforme des retraites, M. Berger a souhaité que le gouvernement « dise ce qu’il veut faire: ou une réforme d’ampleur, ou un nième replâtrage »….

        http://www.boursorama.com/actualites/berger-cfdt-evoque-un-climat-social-tres-lourd-fad791ab626c1e8028516aebc5970ef2

        « La CGT n’a pas voulu une grande manifestation »

        « Si la CGT, organisation très puissante, avait voulu plus de gens dans la rue, elle l’aurait fait ! Elle n’a pas voulu une grande manifestation », a estimé mercredi sur Europe 1 Raymond Soubie, membre du Conseil économique, social et environnemental et conseiller de Nicolas Sarkozy de 2007 à 2010, au sujet du bilan mitigé de la manifestation sur l’emploi de mardi.

        « Je crois que les Français sont fatalistes devant la situation actuelle. Cela peut tourner en éruption sociale, soit en un tournant politique populiste comme c’est le cas en Italie », estime par ailleurs le spécialiste….

        http://www.europe1.fr/Economie/La-CGT-n-a-pas-voulu-une-grande-manifestation-1437767/

        • 6 mars 2013 at 20h29

          Je suis une salariée sous-traitante à Marcoule et je fais partie des 92% de salariés non-syndiqués

          JE NE VEUX PAS DE NUCLÉAIRE LOW-COST A MARCOULE NI DANS MON PAYS

      49. Gus
        6 mars 2013 at 16h45

        Après quelques offres d’emploies dans l’industrie nucléaire, voici venu le temps du…

        Colloque Jeunes Sociétaires SFEN 2013 – Lyon 11 au 13 avril

        « Quelles énergies pour demain ? »

        http://www.sfenjs2013.fr/?q=node/34

        Petite précision ,
        sur ces 3 jours de débats à la vue du programme , aucun partenaire sociaux , aucune association ne s’exprimera ! en plus de cela, il faut PAYER pour s’inscrire !!!!

        Question :
        La Société Française d’Energie Nucléaire réagira t’elle à la déclaration de MR Repussard directeur de l’IRSN sur la dangerosité QUE NOUS ENCOURONS TOUS avec cette stratégie économique mener par les grandes entreprises du nucléaire ???? …maintenant vous-savez
        😉

        • 6 mars 2013 at 18h13

          Je viens de regarder pour m’inscrire …le hic tout de même , c’est le prix de l’inscription !!!!

          Etudiants adhérents SFEN (Jeunes sociétaires) 15€
          Etudiants, non adhérents SFEN 30€
          Jeunes Professionnels (<35 ans) adhérents SFEN (JG) 50€
          Autres Adhérents SFEN 70€
          Universitaires/enseignants 70€
          Retraités 70€
          Professionnels en activité 150€

          Je m’attendais à un débat démocratique , participatif , gratuit , un débat CITOYEN quoi ! Que néni , que néni

          La crise , la SFEN, connait PAS !!!

          Et (pompon sur la casquette-cerise sur le gâteau) pour la transparence avec des travailleurs de l’industrie en activités c’est 150 € (circulez y a rien à voir)

          Alors , ils sont pas formidables ???

        • 6 mars 2013 at 18h14

          NOUS DEVONS INTERVENIR EN FORCE
          honte a eux
          DÉBATTRE SANS LES SOUS TRAITANTS

          Nous devons AGIR

          • COOPER
            6 mars 2013 at 23h31

            Voila notre rendez-vous de l’année !
            Une bande de trous du c– qui vont se gargariser des biens faits du nucléaire.
            Je me demande s’il y a des DATR parmi eux ?
            C’est vrais que le nucléaire est bien pour cette bande de vautours; ils prennent 0 dose et se remplissent les poches sur le dos de la maltraitance des salariés du nucléaire.

            ils ont raison,
            nous sommes tous invités,
            mais sans payer pour leur dire qu’ils nous traitent comme des grosses merdes dans leurs belles centrales nucléaires.

            • 6 mars 2013 at 23h58

              C’est l’action a faire rentrer et prendre le débat en force.
              ORGANISONS NOUS AVEC LA PRESSE ET TÉLÉ

      50. fléxisécurité
        6 mars 2013 at 14h38

        Fuites sur un site de stockage de déchets nucléaires aux Etats-Unis

        Le Monde.fr avec AFP | 23.02.2013 à 18h55 •

        Des fuites ont été détectées sur au moins six citernes de stockage souterraines contenant des déchets nucléaires dans l’Etat de Washington. Les autorités ont demandé à l’Etat fédéral plus d’aide pour nettoyer le site, mais la nature exacte des matières fuyant des cuves n’a pas été précisée.

        Selon le gouverneur de cet Etat situé au nord-ouest des Etats-Unis, Jay Inslee, l’étendue des fuites sur le site d’enfouissement de Hanford, autrefois utilisé pour produire les bombes atomiques américaines, est « inquiétante ».

        « CELA SOULÈVE DE SÉRIEUSES QUESTIONS »

        « Il n’y a pas de risques immédiats ou dans un futur proche pour la santé avec ces fuites que nous venons de découvrir. Elles sont situées à plus de 5 miles (environ 8 km) de la rivière Columbia », a déclaré M. Inslee après une rencontre avec le secrétaire américain à l’Énergie, Steven Chu. « Malgré tout cette nouvelle est inquiétante pour tous les habitants de l’État », a-t-il ajouté.

        cc à propos des 149 cuves à simple coque qui contiennent des boues et des liquides radioactifs à Hanford », a ajouté Jay Inslee. « Je pense que nous avons besoin de nouvelles procédures pour vider ces cuves vieillissantes », a-t-il encore déclaré.

        DÉCHETS CHIMIQUES ET RADIOACTIFS

        Le site nucléaire de Hanford est situé à environ 300 km au sud-est de Seattle. Il avait été à l’origine utilisé pour produire le plutonium utilisé dans les deux bombes nucléaires larguées sur le Japon en 1945, qui ont mis fin à la Seconde Guerre mondiale. Par la suite la production nucléaire du site avait été augmentée durant la guerre froide, mais le dernier réacteur a été fermé en 1987.

        « La production d’armes nucléaires a laissé des déchets solides et liquides qui comportaient des risques pour l’environnement local », notamment la rivière Columbia, selon le site internet d’Hanford. Les autorités fédérales et de l’Etat ont donc conclu un accord en 1989 pour nettoyer le site et ses 177 cuves. Le groupe français Areva, associé à la gestion du site depuis 2008, a un décompte un peu différent et parle de 170 cuves contenant 200 000 m3 de déchets chimiques et radioactifs.

        http://www.lemonde.fr/planete/article/2013/02/23/fuites-sur-un-site-de-stockage-de-dechets-nucleaires-aux-etats-unis_1837884_3244.html

      51. la louve
        6 mars 2013 at 13h45

        Plus d’austérité et de flexibilité ? Pour nous, c’est NON !
        Une grande mobilisation pour un message clair

        Plus d’austérité et de flexibilité ?

        Pour nous, c’est NON !

        Mobilisation du 5 mars : L’austérité, la flexibilité ça suffit !

        La journée nationale d’action interprofessionnelle du 5 mars 2013 à l’appel de la CGT et de FO avec le soutien de la FSU, Solidaires et des organisations de jeunesse est un véritable succès.

        Dans 175 manifestations et rassemblements plus de 200 000 salariés actifs, retraités et privés d’emploi ont indiqué au MEDEF, au gouvernement et aux parlementaires leur refus de la précarité, de la flexibilité, du chômage et des bas salaires. Ils ont porté l’exigence d’une véritable sécurisation de l’emploi.

        Avec la présence de nombreuses entreprises en lutte dans les cortèges, confrontées à des plans de suppressions d’emplois ou à des accords de compétitivité-emploi, les salariés ont envoyé un message clair à la majorité qu’ils ont élue en 2012. Moins de droits pour les salariés plus de liberté de licencier pour les employeurs : c’est non !

        Le contexte de crise économique et sociale vécu durement par des milliers de salariés, exige au contraire une véritable politique sociale, plus de sécurité et de garantie dans les parcours professionnels, de nouveaux droits pour intervenir dans les choix des entreprises, orienter les richesses vers les investissements, la formation professionnelle, l’emploi et les salaires.

        La CGT sera fortement présente le 14 mars à Bruxelles dans le cadre de la journée d’action à l’appel de la CES pour dire non à l’austérité et oui à l’emploi des jeunes.

        La CGT va poursuivre sa campagne d’information et de mobilisation en vue du prochain débat parlementaire en avril pour gagner des mesures favorables aux salariés.

        Montreuil, le 5 mars 2013

        Source communiqué : http://www.cgt.fr/L-austerite-la-flexibilite-ca.html
        Source vidéo : http://www.cgt.fr/Plus-d-austerite-plus-de.html

      52. Gus
        6 mars 2013 at 6h44

        OFFRE D’EMPLOI
        Agent / Agente d’assainissement radioactif – Bagnols-sur-Cèze

        SOCIÉTÉ
        D S
        Bagnols-sur-Cèze, France
        Salaire : 2 000,00 € à 2 400,00 €/mois brut (approx. 1 620,00 € à 1 944,00 € net)
        Type de contrat : CDI
        Date de parution : mardi 5 mars 2013
        Niveau d’expérience : Confirmé (supérieur à 5 ans)

        http://www.qapa.fr/seo/offres-d-emploi/read/id/1444045/partner/10

      53. Sylver
        5 mars 2013 at 23h20

        Cattenom : un boulon serait à l’origine de l’accident mortel

        La Rédaction

        Un accident a fait deux morts et un blessé grave à la centrale nucléaire de Cattenom (Moselle) jeudi dernier. Une nacelle a chuté de plusieurs mètres sur trois ouvriers. L’enquête avance.

        LIRE AUSSI. Deux morts et un blessé grave à la centrale nucléaire de Cattenom

        Une nacelle a chuté au sol d’au moins quatre mètres «Nous avons engagé d’importants moyens pour anticiper le nombre de blessé. Au total cinq ambulances et un camion se sont déplacés » a précisé Bertrand Zimmer, porte-parole des pompiers de Moselle. Soit un total de trente sapeurs-pompiers du secteur. Le blessé a été transporté et pris en charge dans la soirée à l’hôpital de Bel-Air de Thionville. Près d’une semaine après le drame, le troisième sous-traitant est toujours hospitalisé pour de graves blessures.

        L’accident s’est déroulé dans la tranche 4 de la centrale nucléaire actuellement en maintenance. La centrale réalise en ce moment sa visite décennale entraînant des travaux de maintenance. Avec ses quatre réacteurs de 1.300 mégawatts chacun mis en service entre 1986 et 1992, Cattenom est la septième centrale au monde en puissance installée et la deuxième en France pour sa production d’électricité.

        «Trois salariés des entreprises Presiozo et TNS TRACTEL ont été victimes d’une chute, alors qu’ils effectuaient des travaux de maintenance dans l’enceinte du bâtiment réacteur n°4 » a fait savoir la direction d’EDF dans un communiqué de presse envoyé peu après l’accident mortel. «Deux des victimes de l’accident n’ont pu être réanimées et sont décédées des suites de leurs blessures » poursuivent les responsables du site nucléaire.

        La nacelle pas encore examinée

        Le Parquet de Thionville a fait savoir l’ouverture d’une enquête pour «homicide et blessures involontaires». «L’accident a eu lieu lors de la manipulation de la nacelle, qui s’est désolidarisée et puis effondrée» a précisé le Procureur de la République. Les deux ouvriers décédés seront autopsiés aujourd’hui, les résultats seront quant à eux communiqués plus tard. Les enquêteurs vont surtout s’appuyer sur le témoignage de l’ouvrier rescapé grièvement blessé. Il sera entendu dès que son état de santé le permettra. Le service régional de police judiciaire de Metz ainsi que l’ASN sont chargés de l’enquête.

        Les auditions des témoins ont d’ailleurs avancés a-t-on appris d’une source proche de l’enquête. Le troisième homme aurait en effet aperçu une défaillance sur la nacelle en question et y serait monté pour régler le problème technique. Face au poids, la nacelle s’est finalement effondrée sur les ouvriers tombés précédemment au sol. Le Parquet affirme en s’appuyant sur les résultats d’autopsie qu’il s’agit bien d’un accident.

        La chute de la nacelle serait liée à un boulon ou un élément s’en rapprochant. Une semaine après les faits, le Procureur de la République pourrait demander l’ouverture d’une information judiciaire permettant de faire examiner la nacelle accidentée

        http://www.loractu.fr/thionville/3428-cattenom-un-boulon-serait-a-l-origine-de-l-accident-mortel.html

      54. le club
        5 mars 2013 at 8h27

        Vaucluse : un flash puis une détonation dans le ciel du Tricastin

        BollèneOrange / Publié le samedi 02 mars 2013 à 11H36

        Jeudi soir, un court-circuit spectaculaire s’est produit à la centrale nucléaire

        Jeudi soir, de nombreux riverains de la centrale du Tricastin, inquiets, ont appelé les secours afin de signaler avoir vu un grand flash bleu.

        Depuis les événements de l’été 2008 – 74 kg d’uranium rejetés par accident dans l’environnement – et alors que la centrale nucléaire du Tricastin, âgée de 30 ans, s’est vue octroyer fin 2010 le droit de fonctionner encore 10 ans, chaque incident sur le site fait planer le spectre d’une catastrophe.

        Jeudi soir, encore, un événement est venu troubler les environs de Bollène. Vers 20 heures, un puissant flash bleu suivi d’un fort claquement ont été observés dans le ciel tricastin. Un épisode « sans gravité, qui n’a fait aucun blessé » dû à « un court-circuit », tient à rassurer Adeline Bertoncini, chef de mission communication pour EDF Tricastin.

        « Le fil d’évacuation de l’électricité, du réacteur vers le réseau, a été défaillant, il s’est abîmé, ce qui a produit un court-circuit et donc la détonation, explique-t-on au Centre national de production électrique. Ce parafoudre de la ligne électrique de 225 000 volts, située après le poste de transformation principal de l’unité de production n°1, s’est rompu. De fait, le réacteur, n’ayant plus moyen d’évacuer, s’est arrêté de produire ».

        Sur les quatre réacteurs que compte le CNPE, trois sont restés actifs et connectés au réseau hier. Tandis que les techniciens évaluaient les travaux à mener en vue de rétablir le courant sur la ligne. Ces travaux devraient débuter aujourd’hui et le réacteur remis en fonctionnement en milieu de semaine prochaine. Dans le but d’assurer à tous leurs clients un approvisionnement en électricité.

        « Trop, c’est trop ! »

        Pour le Collectif antinucléaire de Vaucluse (CAN84) : « trop, c’est trop ! Comme d’habitude « rien de grave, aucun danger », selon l’exploitant nucléaire. Néanmoins, c’est le 1000e incident ou accident qui survient sur le site nucléaro-chimique civil et militaire depuis sa création. Face aux atteintes permanentes et quotidiennes à la sécurité et à la santé des habitants et salariés et avant que la catastrophe ultime ne se produise, le CAN84 exige la fermeture immédiate des quatre réacteurs nucléaires ainsi que la mise à l’arrêt de la totalité des installations nucléaire du site ».

        Caroline Denime

        http://www.laprovence.com/article/actualites/2235070/vaucluse-un-flash-puis-une-detonation-dans-le-ciel-du-tricastin.html

      55. FABIEN
        5 mars 2013 at 8h16

        Incident sur le site nucléaire du Tricastin

        04 mars 2013Par Corinne N

        …naturellement, on n’en entend pas du tout parler sur les médias mainstream….

        « L’incident sur le site nucléaire du Tricastin n’est pas terminé »

        Global Research, mars 03, 2013

        Url de l’article:
        http://www.mondialisation.ca/lincident-sur-le-site-nucleaire-du-tricastin-nest-pas-termine/5324983

        Le nouvel incident – une explosion précédée d’un immense flash bleu – qui s’est produit jeudi 28 février 2013 vers 20h à la centrale nucléaire du Tricastin, l’une des plus vieilles centrales nucléaires, n’est pas clos.

        A ce jour les investigations indépendantes menées en dehors de la parole officielle et de l’exploitant EDF révèlent :

        – le parasurtenseur (parafoudre) de sortie du transformateur principal du réacteur nucléaire n° 1 est touché et git à 45 ° vers le sol, des techniciens sont en intervention

        – les bâtiments annexe « phase 3 » du réacteur nucléaire n°1 , celui des turbines et condensateurs, crachent de la “vapeur” de tous les côtés. D’importantes coulures de liquide se répandent au long de l’assise en béton. Ce qui peut laisser supposer une difficulté de régulation de la pression.

        – le mistral soufflant entre 80 et 90 km/h rend impossible des prélèvements d’échantillons significatifs de présence ou non de radioactivité

        Des rejets radioactifs possibles, une vétusté inquiétante

        Lors de l’arrêt d’urgence d’un réacteur, tel aujourd’hui ce qui affecte le réacteur n°1 du Tricastin, il y a impossibilité de stopper instantanément la réaction nucléaire (blackout). En conséquence le refroidissement et la production de vapeur par l’échangeur du circuit primaire doivent être assurés. Cette continuité peut engendrer des “soulagements” qui peuvent nécessiter en urgence des rejets gazeux radioactifs et chimiques par la cheminée (et non par les tours de refroidissement dont ce n’est pas la fonction).

        Le réacteur n°1 est celui qui présente le plus de vétusté dont de nombreuses fissures de plus de 1 cm et il apparaît que sa maîtrise de conduite relève de la danse de Saint-Guy. L’ASN l’a placé particulièrement sous surveilllance tout en lui ayant octroyé un prolongement de durée de fonctionnement plutôt contradictoire.

        D’autres incidents dans les mois et années passées

        – le 2 juillet 2011 : un incendie avait déjà touché le transformateur de l’unité du réacteur n°1 à l’arrêt. Incendie, flammes, fumées noires dans le ciel, intervention des pompiers, périmètres de « sécurité ». Explication officielle à l’époque : « Une borne en porcelaine s’est fissurée et a explosé. De l’huile a coulé, provoquant l’incendie. »

        – février 2011 : Un incident concernant les groupes électrogènes de secours à moteur diesel de la centrale nucléaire du Tricastin a été déclaré par EDF le 16 février 2011. Les groupes électrogènes de secours à moteur diesel permettent d’alimenter les systèmes de sûreté du réacteur en cas de perte de l’alimentation électrique par le réseau national. L’ASN a classé au niveau 2 sur l’échelle INES cet incident.

        – mardi 10 avril 2012 au petit matin, un incendie dégageant une importante fumée s’est déclaré dans la salle des machines, cette fois-ci du réacteur n° 4. La quasi totalité des voies de circulations situées à l’extérieur du site nucléaire ont du être fermées par les forces de gendarmerie.

        http://blogs.mediapart.fr/edition/nucleaire-lenjeu-en-vaut-il-la-chandelle-pour-lhumanite/article/040313/incident-sur-le-site-nucleaire-du-tricastin

        SOURCE EN CLIQUANT ICI !

        http://www.mondialisation.ca/lincident-sur-le-site-nucleaire-du-tricastin-nest-pas-termine/5324983?print=1

      56. 4 mars 2013 at 18h20

        Bonjour,

        Je suis journaliste à la radio Le Mouv, de Radio France.
        Je prépare un reportage sur ceux qu’on appelle les « nomades du nucléaire ».
        J’ai besoin pour cela de rencontrer des sous-traitants du nucléaire et de pouvoir les interviewer.
        Toutes les conditions de l’anonymat peuvent évidemment être réunies (pas de nom, transformation des voix).
        L’idée est de pouvoir expliquer vos métiers que peu de gens connaissent, et les risques qui les accompagnent, vos conditions de travail et le manque de reconnaissance.

        J’ai donc besoin de votre aide !
        N’hésitez pas à me joindre.

        Rosalie.LAFARGE@radiofrance.com

        Rosalie LAFARGE
        Journaliste Le Mouv – Radio France

        • Sun
          5 mars 2013 at 16h03

          Bon, Rosalie elle veut des témoignages de valides, pas d’invalides, ça fait désordre dans l’étude !
          Allez bon courage Rosalie et n’oubliez pas d’ouvrir les yeux.

      57. Sylver
        4 mars 2013 at 18h10

        Thierry Lepaon: «Si Hollande est un président normal, il doit nous entendre»

        http://www.mediapart.fr/journal/france/020313/thierry-lepaon-si-hollande-est-un-president-normal-il-doit-nous-entendre

        CGT et gouvernement s’affrontent sur la représentativité des syndicats

        http://www.mediapart.fr/journal/france/010313/cgt-et-gouvernement-saffrontent-sur-la-representativite-des-syndicats

      58. Camélito
        4 mars 2013 at 17h39

        Les brèves du CCE d’EDF SA

        NUCLEAIRE

        Le 28 février, deux ouvriers sont décédés et un autre a été gravement blessé dans la chute d’une nacelle de chantier à la centrale de Cattenom, en Moselle. Une enquête a été ouverte par le Procureur de la République pour déterminer les circonstances et les causes exactes de l’accident.

        L’Autorité de sûreté nucléaire a mis en demeure le Commissariat à l’énergie atomique (CEA) de respecter, dans ces installations ATPu et LPC, à Cadarache, les dispositions concernant la surveillance des prestataires fixées par la réglementation générale, ainsi que les dispositions particulières fixées par les décisions de l’ASN, qui encadrent la gestion des compétences liées à la sûreté des opérations de démantèlement de ces deux opérations.

        Le groupe russe Rosatom est actuellement en négociations pour la construction de centrales nucléaires en Afrique du Sud.

        L’ASN a indiqué qu’elle avait classé au niveau 2 de l’échelle Ines l’irradiation accidentelle d’un travailleur de la société ABC survenue sur le site de la centrale de Flamanville (Manche) en septembre 2009.

        Le Bureau tchèque pour la protection de la concurrence économique a confirmé l’exclusion d’Areva de l’appel d’offres pour l’extension de la centrale de Temelin, annoncée en octobre dernier par l’électricien tchèque CEZ.

        Les deux commissions d’experts chargées d’enquêter sur l’effondrement du toit recouvrant la salle des machines de la centrale de Tchernobyl en février dernier, ont assuré que cet incident ne présentait de menace ni pour la population ni pour l’environnement.

        ELECTRICITE

        Avec 49 de ses collègues, le sénateur Roland Courteau (PS) a déposé une proposition de loi dans laquelle il suggère de prolonger la durée de vie maximale des concessions hydrauliques de 75 à 99 ans.

        Il y a deux semaines, des enquêteurs de la police judiciaire française, sous le contrôle d’un juge du pôle financier de Paris, ont perquisitionné dans le bureau du p-dg d’EDF dans le cadre de l’enquête menée en Allemagne sur la vente par EDF de sa part dans le groupe allemand EnBW à l’Etat de Bade-Wurtemberg en 2012.

        ENERGIE

        UFC-Que Choisir a assigné en justice EDF, GDF Suez, Direct Energie et Eni pour des clauses que l’association de consommateurs estime abusives, figurant dans les contrats d’électricité et de gaz destinés aux particuliers.

      59. BOB
        4 mars 2013 at 17h29

        Tepco (1) menace de couper le courant aux entreprises refusant ses hausses de tarifs

        1 – Propriétaire de l’usine de Fukushima

        Poste le mar 3, 2013 dans Société

        La Compagnie d’électricité de Tokyo affirme qu’elle n’aura pas d’autres choix que de couper l’alimentation des entreprises qui refusent de renouveler leurs contrats pour protester contre la hausse du prix de l’électricité.

        Tepco fait face à de graves problèmes financiers depuis le début de la catastrophe nucléaire de la centrale Fukushima Daiichi en mars 2011.

        Elle est en effet opérateur de ce site.

        En avril 2012, la compagnie a augmenté les prix de l’électricité de 14,9% en moyenne pour les entreprises et les gros consommateurs de courant.

        D’après Tepco, la plupart des 217 600 sociétés et usines dont les contrats expiraient fin janvier ont accepté la hausse.

        Mais 1000 entreprises environ ne l’ont pas fait. Elles protestent contre l’augmentation.

        http://www.nipponconnection.fr/tepco-menace-de-couper-le-courant-aux-entreprises-refusant-ses-hausses-de-tarifs/

      60. Maxut
        4 mars 2013 at 14h53

        nucléaire

        Cattenom – La Centrale nucléaire montrée du doigt

        Un rapport de la Commission Européenne pointe des manques de sécurité en cas d’accident grave.

        Cattenom 57 – Rapport sur la sécurité

        Les résultats des stress-tests européens post-Fukushima du parc nucléaire français ne sont pas bons, selon Le Figaro, qui affirme que le bilan note des « défaillances » pour toutes les centrales françaises, mais n’exige aucune fermeture.

        Selon un rapport de la Commission Européenne présenté mercredi 3 octobre 2012 et réalisé par l’ENSREG – régulateur européen regroupant les autorités de sûreté nationales – 10 des 19 centrales françaises, dont Cattenom, sont moins bien notées que celle de Fessenheim (la plus âgée) à l’occasion de tests menés après la catastrophe de Fukushima.

        Les remarques des experts portent sur les procédures d’urgence, jugées insuffisantes car elles ne couvrent pas toutes les situations possibles, et sur les équipements de secours (groupes électrogènes par exemple) qui, en cas d’accident ou de séisme, ne sont pas correctement ……..

        http://lorraine.france3.fr/info/cattenom—la-centrale-nucleaire-montree-du-doigt–75603680.html

      61. hollowman of ardeche
        4 mars 2013 at 13h23

        SALUT les camarades

        constat consternant, l’accident mortel de Cattenom, une situation que personne ne voulait, ni vivre, certain(e)s ont pu pressentir qu’un jour cela arrivera…. mais voilà deux camarades, collegues ,et amis sont tombés pour ne plus se relevés et un blessé dans des circonstances que seules les personnes presentes garderont en memoire
        oh! ON VIENT AU TRAVAIL POUR GAGNER SA VIE PAS LA PERDRE, MERDE!!!!

        ne pas se lancer à designer des coupables, d’elaborer des theories, etc…il temps de se mettre à table ouverte à tous, exposer ses idées, ses suggestions, et surtout ne pas se dechirer, et par humilité ne pas oublier que cela aurait pu arriver à d’autres ici ou ailleurs et nous en sommes conscients, parce que certains d’entre nous viennent au taf avec la boule au ventre
        tout est à revoir, les conditions de travail, salariales, de securité, les deplacements à la petite semaine, l’hebergement etc…en interne dans chaque societe
        du respect des hommes entre les hommes
        pour un client qui se targue de « relier les hommes aux hommes » il est temps qu’il prenne ses responsabilités et que le dialogue social soit palpable, et que notre devouement à la tache demandée soit respecté
        pour ça le 5 Mars, en memoire de nos collegues disparus, une minute de silence…serait-ce trop demandé!
        alors je le repete, pas de « flingage » entre nous, mais surtout de l’unité, respect et entre aide, surtout dans cette periode ou certains ont besoin de se sentir moins seuls et moins defavoriser

        fraternellement

      62. Sun
        3 mars 2013 at 20h47

        Pierre Pellerin avait eu pendant des décennies la haute main sur les informations concernant le nucléaire en France. Il avait été condamné, avant d’être innocenté, pour avoir minoré l’impact du nuage de Tchernobyl sur la santé.
        http://www.lemonde.fr/disparitions/article/2013/03/03/nucleaire-le-professeur-pierre-pellerin-est-decede-a-l-age-de-89-ans_1842027_3382.html#ens_id=1831859&xtor=RSS-3208

      63. PS DEHORS
        3 mars 2013 at 19h19

        PS : un appel à « une nouvelle démocratie sociale »

        Une centaine de parlementaires socialistes incitent à transcrire dans la loi, sans en modifier l’équilibre, l’accord sur l’emploi conclu en janvier.
        Elisabeth Guigou

        http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/20130303.OBS0620/une-nouvelle-democratie-sociale-l-appel-de-100-parlementaires-ps.html

        Une centaine de parlementaires socialistes appellent dans une tribune à favoriser l’avènement d’une « nouvelle démocratie sociale » en transcrivant notamment dans la loi, sans en modifier l’équilibre, l’accord sur l’emploi conclu entre les partenaires sociaux.

        « L’accord sur l’emploi conclu le 11 janvier entre les partenaires sociaux marque une nouvelle ère pour le dialogue social en France. Grâce à cette méthode, la démocratie s’enrichit de la participation des acteurs sociaux à notre objectif commun de lutte contre le chômage », écrivent les élus dans cette tribune publiée dimanche dans le « JDD ».

        « Parlementaires de la majorité, nous soutenons cette méthode parce qu’elle donne enfin une chance à la démocratie sociale dans notre pays », ajoutent les signataires parmi lesquels figurent les députés Patricia Adam, Patrick Bloche, François Brottes, Elisabeth Guigou, Christian Eckert, Catherine Lemorton ou Jean-Jacques Urvoas.

        « Un dialogue permanent »

        « Cette méthode repose sur le dialogue, la concertation et la responsabilité. Nous sommes convaincus que c’est ainsi que peut être mise en mouvement la société toute entière », font-il valoir.

        « Aucune réforme économique ne peut s’inscrire dans la durée sans un dialogue social permanent » et « la qualité de ce dialogue est un élément essentiel de la compétitivité du pays », soulignent-ils également.

        « La méthode revendiquée de la négociation pose, certes, sans arrêt les questions sur le rythme des réformes et sur les concessions accordées ou les arbitrages rendus, mais elle permet de mobiliser toutes les forces et les énergies du pays pour ancrer le changement dans la durée. La culture du dialogue favorise l’accord, elle permet à chaque représentant, syndical ou patronal, de prendre ses responsabilités et de trouver des compromis », ajoutent ces parlementaires.

        « Un nouveau modèle social »

        Ces élus socialistes, qui disent avoir « fait le choix de la démocratie sociale », expliquent ne pas avoir pour autant renoncé à leur pouvoir de parlementaires.

        Mais, disent-ils, « notre pouvoir, c’est d’abord celui de respecter la voie choisie par les partenaires sociaux en transcrivant dans la Loi, sans en modifier l’équilibre, l’accord qu’ils ont conclu ».

        « Notre pouvoir de parlementaires, ajoutent-ils, ce sera aussi, dans les semaines qui viennent, d’encadrer les négociations à venir en application de l’accord pour peser dans le rapport de forces et rappeler au patronat les légitimes exigences de justice sociale ».

        Selon eux, l’accord sur l’emploi conclu entre partenaires sociaux « marque la naissance d’un nouveau modèle social ».

      64. le carré Blanc
        3 mars 2013 at 19h07

        Nucléaire : le professeur Pierre Pellerin est décédé à l’âge de 89 ans

        Le professeur Pierre Pellerin, grand spécialiste du nucléaire et mis en cause pour avoir minoré l’impact du nuage de Tchernobyl sur la santé, est décédé dimanche 3 mars à l’âge de 89 ans, indiqué une source proche de la famille, confirmant une information du Figaro.

        Responsable pendant 37 ans du Service central de protection contre les rayonnements ionisants (SCPRI), Pierre Pellerin avait eu pendant des décennies la haute main sur les informations concernant le nucléaire en France. Mis en examen pour « tromperie aggravée » sur l’impact du nuage de Tchernobyl en France, il a été innocenté par la justice en 2011. L’enquête s’est achevée par un non-lieu, 10 ans après son ouverture, la cour d’appel de Paris estimant que la catastrophe nucléaire de 1986 n’a pas eu de conséquence sanitaire mesurable en France. La chambre de l’instruction de la cour d’appel a en particulier mis hors de cause l’ancien patron du SCPRI.

        Le 26 avril 1986, le réacteur numéro 4 de la centrale de Tchernobyl, située à environ 100 kilomètres au nord de Kiev, avait explosé, contaminant une large partie de l’Europe, mais surtout l’Ukraine, le Belarus et la Russie. Le bilan sanitaire de cette catastrophe est très contesté, variant entre 4 000 morts avérés ou à venir dans ces trois pays, selon un rapport de l’Onu critiqué, à 93 000 décès potentiels dus au cancer, selon Greenpeace….

        http://www.lemonde.fr/disparitions/article/2013/03/03/nucleaire-le-professeur-pierre-pellerin-est-decede-a-l-age-de-89-ans_1842027_3382.html

      65. Sylver
        3 mars 2013 at 11h24

        Ironie du sort, c’est encore la même entreprise (SPIE-DEN) et ces salariés qui ont été témoins de cette scène horrible, puisque sur SOCODEI, ils y étaient.

        • Le chevalier blanc
          3 mars 2013 at 15h50

          SPIE-DEN l’entreprise qui fait travailler ces salariés les dimanches alors qu’ils n’ont pas le droit. En espérant que nous n’aurons jamais d’accidents graves ce jour là.
          Les syndicats qui se bercent en condoléances alors qu’ils font signer des pétitions pour conserver la centrale d’Alsace. L’Ukraine, le Japon cela ne vous suffit pas.

          Ta raison camarades faut sauver nos emplois comme les territoires du Mali et ces mines d’uranium.
          Les industriels du nucléaire et les marchands d’armes ont de beaux jours devant eux.

          • Doum
            4 mars 2013 at 11h02

            Comme ceux de PNS, ESSOR, ONET, AMALIS, et tous les autres « banane ».

      66. L'abeille sociale
        3 mars 2013 at 10h05

        Cattenom : la révision décennale suspendue après l’accident mortel

        Conséquence de l’accident survenu jeudi, la révision décennale de la centrale nucléaire de Cattenom a été suspendue. Ce vendredi, tous les salariés sont sous le choc.

        Au lendemain de l’accident mortel, à l’entrée de la centrale nucléaire de Cattenom, les drapeaux sont en berne. Les salariés ont ordre de ne pas parler à la presse. Tous sont sous le choc.

        La société de nettoyage employée par l’installation EDF refuse d’effacer les traces de l’accident au pied du bâtiment du réacteur de la tranche 4.

        Ce vendredi, à Cattenom, l’atmosphère est au recueillement.
        La révision décennale est stoppée. A la mi-journée, le directeur de la centrale a réuni 600 à 700 prestataires de service pour présenter ses condoléances aux familles des victimes. Auparavant, il avait expliqué l’enchaînement des faits au représentant du CHSCT.

        http://www.francebleu.fr/faits-divers/cattenom-la-revision-decennale-suspendue-apres-l-accident-mortel-371753

        • fusion
          3 mars 2013 at 11h00

          « Les salariés ont ordre de ne pas parler à la presse »

          C’est fait, la communication EDF est lancée !
          Il faut dire la vérité, mais celle d’EDF et surtout pas celle des salariés témoins.

          Les fiches réflex EDF produisent leur effet « ne parlez pas à la presse, il faut protéger notre industrie »

          Culpabiliser est le mot d’ordre de la direction.

          Ensuite, les témoins vont partir sur d’autres cieux, on va leur dire « c’est pour votre bien, il est urgent de vous éloigner des scènes tragiques que vous avez vécu ».

          Comme à SOCODEÏ (l’autre accident mortel) l’urgence est de museler la vraie vérité des témoins.

          Voilà la transparence nucléaire, celle d’EDF.

          Vous comprendrez mieux quel est la vraie raison des cellules psychologique mises en place par EDF. Elles ont pour but principal, déstabiliser les salariés et leur faire comprendre que parler est dangereux pour notre image et forcément cela risque de nuire au nucléaire et à nos emplois.

          Demandez-leur s’ils ne sont pas aller voir les familles des victimes pour leur faire des propositions financières?

          Ne vous en faites pas, l’accompagnement des familles va être impeccable, au moins, au début. Il faut faire passer le nuage. Cela aussi, est dans les fiches reflex d’EDF.

          Rappelez-vous, le directeur de SOCODEÏ pendant l’accident mortel est ou va être le directeur de la DPN (direction du parc nucléaire) et lui, il sait comment faire pour que tout s’efface avec le temps.

          Avons-nous déjà oublié que nous avons perdu un collègue pendant cet accident et qu’un autre est brulé à 80% dans je ne sais quel état ? Oui, EDF l’a déjà oublié ! Mais nous ?

          J’ai l’impression de revivre le même film que sur SOCODEÏ. Les mêmes méthodes et les mêmes effets.

          Ils sont trop forts ces canailles.

      67. Prestataires pas esclaves
        3 mars 2013 at 0h12

        Ne soyez pas triste prestataires,oubliez votre chagrin,car là ou nous sommes maintenant, il n y a ni larmes, ni souffrance ni irradiation ni exploitation.

        Le bonheur que nous vivons dans les cieux est encore plus grand que celui que nous avons connu chez EDF.
        Ne pleurez pas en pensant à nous.
        Si vous avez besoin, appelez nous et nous viendrons, même si vous ne pouvez nous voir ou touchez, nous serons là.
        Et quand il sera temps pour vous de partir, nous serons la pour vous accueillir.
        Nous sommes les mille vent qui soufflent, le scintillement des cristaux de neige, la lumière qui qui traverse les champs de blé, la douce pluie de l’ automne, l’éveil des oiseaux dans le calme du matin, nous sommes l’étoile qui brille dans la nuit.
        Nous ne sommes pas morts nous ne dormons pas nous sommes !!!

      68. 2 mars 2013 at 16h25

        Communiqué FNEM FO

        Accident tragique au CNPE de Cattenom

        C’est avec le cœur serré que nous avons appris hier en fin d’après-midi le décès de deux salariés travaillants sur le CNPE de CATTENOM.
        Un autre salarié est actuellement grièvement blessé suite à la chute dont ils ont été tous les trois victimes alors qu’ils réalisaient des travaux de maintenance dans l’enceinte du bâtiment réacteur n°4.

        Dès le lendemain matin du drame, le CHSCT s’est réuni, afin d’examiner les circonstances de l’accident. L’enquête juridique est en cour d’instruction.

        En ces instants tragiques, la Fédération FO ÉNERGIE et MINES a une pensée toute particulière envers les victimes, leurs familles, et tous leurs proches. Nous leur présentons nos plus sincères condoléances.

        Nous pensons également à tous les salariés prestataires et agents du CNPE qui forment une grande communauté de travailleurs.

        De son côté, la Fédération fera tout son possible avec l’équipe FO locale et le CHSCT afin de comprendre les circonstances exactes de cet accident.

        Nos contacts:

        DPN : Denis CATTIAUX 06 58 05 72 46
        – CNPE de CATTENOM : Claude MATHIEU 06 81 20 41 57

        • Martine
          2 mars 2013 at 23h15

          Bonsoir,
          je crois que les circonstances sont bien connues de nous tous et qu’il ne faut pas se perdre dans les méandres de la recherche pour (une fois de plus) tomber dans le défaut technique ou l’erreur humaine.
          Vous (tous les syndicats) devez lever le voile sur cette organisation du travail qui nous mène tout droit vers la catastrophe.
          Arrêtez de vous voiler les yeux pour protéger les patrons voyous.

      69. Sylver
        2 mars 2013 at 15h40

        Le bureau du patron d’EDF Henri Proglio perquisitionné

        http://www.20minutes.fr/societe/1110569-edf-bureau-henri-proglio-perquisitionne

        ENQUETE – Dans le cadre d’une instruction menée en Allemagne sur le rachat en 2010 d’une participation d’EDF dans EnBW, le numéro 3 de l’énergie d’Outre-Rhin…

        Le bureau du PDG d’EDF Henri Proglio a été perquisitionné par la police française dans le cadre d’une instruction menée en…..

      70. ZE
        2 mars 2013 at 13h33

        Le cri de la colère et de l’impuissance d’un salarié de la sous-traitance

        Jour de deuil à Cattenom

        Réunion d’information, cellule psychologique, dialogue individuel et décision au cas par cas de reprendre le travail ou pas…
        Hier, la centrale de Cattenom a vécu une journée de deuil.

        Une fois de plus, la chape de plomb est mise sur les vraies causes !
        Émotion, recherches des causes techniques, erreur humaine, ….

        Alors que les vraies raisons de la décadence dans cette industrie sont à chercher ailleurs !
        Le mode contractuel qu’EDF utilise pour désorganiser, précariser et externaliser ces propres responsabilités.

        Lorsque EDF passe un contrat « obligation de résultat » avec une entreprise sous-traitante, elle est déjà sûre du cout final, quelques soient les aléas techniques !
        Même si le chantier s’éternise, le temps passé et les coûts associés seront automatiquement imputés à l’entreprise intervenante.

        Résultat !
        La course contre la montre « augmenter le temps métal » est lancée avant même le début des travaux et toute leur durée.
        L’entreprise tente « comme le castor » de créer des réserves de temps dans le cas où l’arrêt déborde.

        Quand celui-ci dépasse le temps prévu, le client « EDF » tente de renvoyer les responsabilités sur l’entreprise…l’entreprise indiquée, n’ayant pas le droit de s’opposer à son client « vital » , à son tour alors, met la pression sur l’intervenant « le pauvre » sous-traitant.

        Que dire du surveillant EDF qui n’a que le temps de surveiller 1 ou 2% de ces chantiers , mais s’arrange pour que toutes les opérations soient reconnues surveillées.

        Que dire aussi du fait qui semble faire surface « un des salariés décédé n’était pas DATR » ?

        Nos réacteurs seraient-ils aujourd’hui en libre accès au public ?

        C’est vrai, les formations nous font perdre du « TEMPS METAL » !

        Bordel, ils vont très loin, il faut vite les arrêter !

        Où est la sérénité dans notre industrie nucléaire quand le fric devient le facteur principal de la qualité de nos interventions de maintenance ?

        Oui, j’en suis persuadé, l’accident de Cattenom va être traité comme celui de CENTRACO.

        Des cellules psychologiques ou les mots vont être savamment choisis pour culpabiliser les témoins si la vérité éclate.
        La sauvegarde de l’image du nucléaire va être « une fois de plus », la colonne vertébrale de la stratégie de la communication EDF.
        Et les hommes, (pour beaucoup, dans un état de nomadisme), ces témoins courageux de l’accident qui ont fait des points de compression, qui ont servi de premiers secours avant l’arrivée des pompiers, que deviendront-ils dans les prochains jours, comment vont-ils dormir ?? Avec quelles images en tête ?
        Qui va se soucier de leur état psychologique une fois qu’ils vont être écartés des lieux de l’accident ?
        Ils n’auront même pas leurs familles pour les soutenir, puisqu’ils continueront à être loin de chez eux !

        NON messieurs, votre course aux profits au détriment des Hommes doit cesser, vous devez revenir sur votre logique de précarisation, sur votre mode de contrat « obligation de résultats » ou seuls les travailleurs sont responsables des aléas techniques, ou EDF se lave les mains de toute responsabilité externalisée, ou les Hommes vivent comme des chiens en grand déplacement, ou l’image du nucléaire doit tirer un rideau sur le malheur et la maltraitance des femmes et des hommes qui permettent « pour l’instant » que cela ne fasse pas « BOUM ».

        Oui, EDF a déjà déplier sa fiche réflexe élaborée par la DPI et la DPN ou toute la stratégie est retracée pour cacher la misère sociale et éviter toute démarche juridique des familles et amis des victimes.

        Non, j’ai vraiment mal aux tripes et j’ai vraiment une pensée très profonde pour les victimes, leurs familles, leurs amis de vie et de travail et aussi pour mes amis, les témoins salariés d’EDF, de la SPIE, de PREZIOSO, de …. !
        Messieurs les enquêteurs de la gendarmerie et de l’ASN, ayez le courage d’identifier les vraies causes (l’organisation du travail) avant qu’il ne soit trop tard pour nous tous.

        Il faudrait que nous décidions « ensemble » de sortir des centrales nucléaires pour se retrouver devants tous les sites, le même jour à la même heure et cela pendant un instant, afin de nous recueillir et avoir une pensée commune pour nos amis qui nous ont quitté trop vite.

        • hollowman of ardeche
          2 mars 2013 at 14h01

          Salut

          on pourrait leur rendre un dernier hommage, le 5 mars en marge de la manif en portant un crepe noir
          et se montrer solidaire dans l’adversité de l’evenement et compatir à la douleur des familles brisées
          et souhaiter un prompt rétablissement au blessé

          Fraternellement

        • 2 mars 2013 at 14h53

          C’est quoi ce bins ? 🙁

          Donc ,
          nous avons 2 collègues en train de finir d’installer la nacelle (1 décédera , l’autre sera gravement blesser ) …

          Un autre collègue (contrôleur) arrive pour valider à la fin des travaux la nacelle (des collègues témoins de l’accident nous rapportent , qu’il n’était pas D.A.T.R et qu’il n’était même pas accompagné par un agent EDF) !!!! (il sera écraser par la nacelle)

          Qu’est-ce que c’est que ça bon sang ?

          Ben oui. Une visite décennale réussie , valide 10 ans d’exploitation supplémentaire (décision ASN) !

          Oui Ze ,
          c’est une certitude ils sont devenus fous dans cette course perpétuelle aux profits (EDF-Entreprises sous-traitantes) !
          Le directeur de l’IRSN Mr REPUSSARD le dit, cette course économique devient DANGEREUSE pour la SÛRETÉ

          Alors , qu’est-ce qu’on attend pour agir enfin ????

          Sincères condoléances aux familles des victimes aux enfants qui viennent de perdre leurs PAPAS

          Prompt rétablissement à notre collègue blessé

          Immense respect à tous ceux qui ont aidé les secours

          • le furet
            2 mars 2013 at 15h33

            Merde, j’ai mal, nous sommes en phase d’un point de non retour sur nos installations nucléaires. Que vont devenir nos emplois si nous n’avons plus le temps de travailler sereinement? Il faut arrêter les méthodes mafieuses d’EDF et des patrons voyous du privé.

            Ils ont le cancer de l’argent! trouvons « ensemble » un remède contre leur maladie chronique, « une révolte sociale sur tous les sites »!

      71. 2 mars 2013 at 8h14

        Energie nucléaire: une bombe à retardement ?

        Nous sommes toutes et tous concernés: l’énergie nucléaire fait partie de notre quotidien, mais de manière discrète….

        Sous-traitants, les sacrifiés de l’atome

        LCP rediffusera les 1er, 2 et 3 mars le documentaire « Nucléaire: la bombe humaine », d’Elsa Fayner, qui retrace la condition des travailleurs sous-traitants du nucléaire en France, toujours plus sous pression pour réaliser dans un laps de temps de plus en plus court des opérations de maintenance hautement risquées.

        Là où ce travail requiert précision, concentration et donc des conditions optimales, le documentaire tire une nouvelle fois la sonnette d’alarme, comme le faisait Alain de Halleux dans son film « RAS », dont l’enquête concluait que l’industrie nucléaire « sous-traite et dilue les risques ».

        Rentable jusqu’à l’accident ?

        Les témoignages de ces hommes, conscients de leurs responsabilités, mais qui n’ont plus ni le temps ni les moyens de mener leur mission dans des conditions optimales, fait froid dans le dos. La rentabilité peut parfois amener à faire des choix qui mettent en péril le bon fonctionnement de certains secteurs: mais en matière de nucléaire, il n’y a pas de marge de manœuvre possible, car une « petite » erreur peut avoir des conséquences dramatiques. Devant ces témoignages, on en arrive à croiser les doigts chaque matin pour qu’il n’y ait pas d’accident sur l’un des 58 réacteurs français.

        Vous avez dit énergie propre et économique ?

        http://www.huffingtonpost.fr/elisabeth-ruffinengo/energie-nucleaire-securite_b_2766440.html

        • Gus
          2 mars 2013 at 10h04

          Jour de deuil à Cattenom

          C’est un véritable traumatisme ressenti par les salariés et sous-traitants de la centrale de Cattenom. Jamais le site nucléaire n’a vécu pareil drame humain : le décès de deux prestataires, un troisième gravement blessé, jeudi en début de soirée après la chute d’une nacelle placée à quatre mètres de hauteur.
          Les deux personnes décédées étaient de la Loire et du Loiret, mariés et pères de deux enfants.
          Sur le site hier, tout le monde pensait à ces enfants et ces familles brisées.

          Afin d’accompagner le personnel, la direction a organisé une vaste réunion d’information pour l’ensemble du personnel, agents EDF et prestataires. Elle a également fait bloquer les badges des personnes témoins de l’accident afin de les orienter vers la cellule psychologique….

          http://www.republicain-lorrain.fr/moselle/2013/03/02/jour-de-deuil-a-cattenom

      72. 2 mars 2013 at 6h08

        DEPUIS LA FIN DE LA NÉGOCIATION SUR LA SÉCURISATION DE L’EMPLOI, LES ANALYSES INCOMPLÈTES ET LES CRITIQUES SUR LA BASE D’ARGUMENTS ERRONÉS OU DE MAUVAISE FOI VONT BON TRAIN.

        LA VÉRITÉ SUR LE CONTENU DE L’ACCORD EN DIX POINTS.

        http://www.cfdt26-07.com/accueil/Accueilframeset.htm

      73. la taupe
        2 mars 2013 at 0h11

        Interview de Alain de Alleux sur rtb

        Il parle des sous-traitants du nucléaire

        fhttp://www.rtbf.be/radio/player/lapremiere?id=1803754&e

        A écouter

      74. Sylver
        1 mars 2013 at 22h06

        Nucléaire : le partenariat avec la Chine est une priorité pour la France

        http://french.china.org.cn/foreign/txt/2012-12/28/content_27540553.htm

        Areva: l’objectif de 10 commandes d’EPR d’ici fin 2016 tient toujours

        http://www.romandie.com/news/n/_Areva

        Coopération nucléaire franco-chinoise : Areva rappelle ses conditions

        http://www.romandie.com/news/n/_Cooperation

        Le nucléaire britannique s’entrouvre aux Chinois

        http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/energie-environnement/actu/reuters-00503390-le-nucleaire-britannique-s-entrouvre-aux-chinois-542698.php

      75. Vincent
        1 mars 2013 at 19h18

        Je travaille sur Cattenom et j’ai entendu dire que l’un des salariés n’était pas DATR.
        Si c’est le cas, comment se fait-il qu’il travaillé dans le bâtiment réacteur ?

        Il faut faire toute la lumière sur cette histoire bien sombre. Le nucléaire ne tue pas dit Francis Sorin ?

        Après Socodéi, voilà une nouvelle affaire nucléaire pas très claire.
        Si EDF continue à nous mettre la pression, cette entreprise va finir par tous nous tuer.

        • 1 mars 2013 at 19h50

          Un drôle de bruit effectivement dans le BAN 9 de Cattenom ce matin , fait état qu’une des victimes de ce triste accident n’était pas D.A.T.R !!!!

          A vérifier et VITE Mesdames Messieurs les journalistes !

          • Sun
            3 mars 2013 at 20h44

            J’ai travaillé 6 mois à Civaux,pour deux entreprises avec une carte DATR « provisoire » sans aucunes formations…pas en ZC,mais accès à tous les locaux techniques de Traitement d’air,avec des Tri-secteurs ,parfois(Labos),sur les CTA à l’emplacement des filtres !

            J’ai eu la formation RP1,QSP,HN1,HN2 que 7 mois plus tard à Canibarville pour bosser à Cattenom pour la 1er entreprise qui m’avait embauché à Civaux.

            J’ai eu la formation RP2,juste avant que je soit muté (je posais trop de questions sur la contamination du circuit frigo du circuit DEG !) et 10 ans après, invalide , on me dit que je n’existe pas en RAR (certains même pas signé par le doc du CNPE concernés).

            L’IRSN, haha il connaissent le 0,parfois un petit 1…

        • Focus
          1 mars 2013 at 20h24

          Un des deux salariés décédés était de l’entreprise TNS Tractel.
          Est-ce que cette entreprise est habilitée pour travailler dans le nucléaire ou c’est encore une de leurs magouilles de co-traitrance, partenariat, sous-traitance, MAD ,PGAC, … ?

          Moi, je n’avais jamais entendu parler de cette société.

          • 1 mars 2013 at 21h10

            Il est grand temps de faire du bruit sur PARIS.
            8 NIVEAUX DE SOUS TRAITANCE !!!!
            EDFsa grand complice de toutes ces magouilles
            l’ASN AUSSI ?

            Putain de merde réveillons-nous,
            réveiller-vous citoyens.

      76. Maxut
        1 mars 2013 at 11h05

        TRICASTIN
        Rupture de ligne : le réacteur n°1 à l’arrêt

        L’incident a eu lieu sur une ligne 225 000 volts.

        Un incident s’est produit hier soir vers 20 heures sur une ligne à haute tension de 225 000 volts dans l’enceinte de la centrale nucléaire du Tricastin, près du chemin des Agriculteurs. Un isolateur a subitement lâché, provoquant un éclair lumineux et un gros bruit de claquement.

        Le réacteur n°1, qui alimentait la ligne électrique, s’est automatiquement mis en sécurité et arrêté. Des équipes d’EDF étaient sur place hier soir pour identifier les causes de la panne. Les trois autres réacteurs de la centrale fonctionnaient normalement.

      77. Gus
        1 mars 2013 at 6h31

        Fukushima: Tepco n’a toujours pas rendu les rapports d’irradiation de 20.000 travailleurs

        Tepco a justifié l’absence de rapport depuis près de deux ans par la difficulté de récupérer les données d’expositions aux rayonnements à partir d’ordinateurs endommagés par le tsunami du 11 mars 2011 au Japon.

        La compagnie Tokyo Electric Power (Tepco), gérante de la centrale de Fukushima, n’a pas encore remis à une entité publique compétente les données sur les doses de rayonnements auxquelles ont été exposés quelque 20.000 travailleurs du complexe atomique ravagé, selon les médias. Les relevés d’exposition des personnes qui interviennent dans les centrales nucléaires sont normalement envoyés à l’Association sur les effets des radiations à Tokyo, qui les collecte pour les conserver et effectuer un suivi global. Mais Tepco ne s’est pas pliée à cette règle usuelle depuis la catastrophe de Fukushima provoquée par le séisme et le tsunami du 11 mars 2011 dans le nord-est de l’archipel, selon l’association….

        http://www.lesechos.fr/economie-politique/monde/actu/0202608304326-fukushima-tepco-n-a-toujours-pas-rendu-les-rapports-d-irradiation-de-20-000-travailleurs-543103.php

      78. 1 mars 2013 at 6h05

        Areva manque d’un cheveu le retour à l’équilibre

        Le géant français du nucléaire accuse pour la deuxième année consécutive une perte nette, à 99 millions d’euros. Ce résultat, présenté jeudi 28 février, marque néanmoins un redressement des comptes après la perte de 2,5 milliards d’euros affichée en 2011, année marquée par d’importantes dépréciations d’actifs, notamment sur la société minière UraMin.
        La perte enregistrée pour 2012 résulte notamment de nouvelles provisions que le groupe à dû faire pour affronter les retards et surcoûts de l’EPR finlandais.

        Pour la seule année 2012, ces provisions se montent à 400 millions d’euros et, pour l’ensemble du chantier, l’addition grimpe à 3,2 milliards d’euros….

        http://www.lemonde.fr/economie/article/2013/02/28/areva-manque-d-un-cheveu-le-retour-a-l-equilibre_1840979_3234.html

        Réorganisation , explosion de la BUA ????? Plus de compétitivité pour une redistribution de dividende aux actionnaires , aie aie

        • 1 mars 2013 at 7h10

          Luc Oursel (Areva) : « La concurrence est très agressive »

          Le chiffre d’affaires du groupe a progressé sur le seul parc nucléaire existant. Areva veut « des commandes rentables avec des risques acceptables », explique aux Echos, Luc Oursel, le président du directoire d’Areva.

          Qu’est-ce qui a changé depuis votre arrivée à la tête d’Areva mi-2011 ?
          Luc Oursel : Le redressement d’Areva est en marche, grâce à la croissance de nos activités et aux mesures de bonne gestion pour améliorer la performance opérationnelle du groupe. Notre programme de cessions a été réalisé avec un an d’avance, et nous avons concentré nos investissements sur quelques projets clés : les mines de Cigar Lake et d’Imouraren, les usines Georges Besse II et Comurhex II. Nous arrivons ainsi à maintenir l’endettement net en dessous de 4 milliards d’euros. Sur le plan commercial, nous sommes allés chercher notre croissance sur le marché des réacteurs nucléaires existants. Dans les énergies renouvelables, nous réalisons près de 600 millions d’euros de chiffre d’affaires, alors que nous étions partis de zéro il y a cinq ans. L’objectif cette année sera de revenir à un cash-flow opérationnel à l’équilibre, c’est-à-dire être capable d’autofinancer notre développement, ce qui n’a pas été le cas d’Areva depuis 2005.

          Mais vous ne vendez pas de nouveau réacteur…

          http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/energie-environnement/actu/0202608069991-luc-oursel-areva-la-concurrence-est-tres-agressive-543104.php

      79. Sylver
        1 mars 2013 at 0h11

        L’HUMANITÉ DIMANCHE UTILE POUR FAIRE GRANDIR LA MOBILISATION CONTRE L’Accord National Interprofessionnel (A NI)

        Les syndicats CGT et FO espèrent au moins 100 rassemblements et manifestations à l’occasion de la journée de mobilisation contre l’accord national interprofessionnel et sa transcription dans un projet de loi. Ils multiplient les initiatives pour porter son contenu à la connaissance des salariés. Lire les pages spéciales dans l’Humanité Dimanche en vente dès aujourd’hui.

      80. fabrice
        28 février 2013 at 23h35

        « Les inspecteurs du travail de la division de Strasbourg de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) se rendent sur place, a précisé l’ASN dans un communiqué. »

        Ils nous prennent pour des cons !
        Aujourd’hui c’est sur 3 camarades que cette nacelle est tombée, demain, qu’est-ce qu’elle va percuter ?
        Un appareil de contrôle ou un organe important pour la sûreté ?
        NON, rien ne va plus dans cette putain d’industrie ou il faut aller de plus en plus vite, avec un travail bâclé, parce que nous n’avons plus le temps de finir nos taches en toute tranquillité. Voila la vérité. Actuellement, le mot d’ordre c’est « il faut augmenter le temps métal » et on s’en fou de conséquences pour les hommes et pour la machine.

        C’est toujours la faute de l’autre et jamais la leur, celle de ceux qui nous foutent la pression.
        Je ne voudrais pas être à la place des copains qu’ont monté cette nacelle, alors que la vrai « vérité » le fond du problème va être écarté d’office.

        J’adresse moi aussi, mes sincères condoléances à leurs familles, à leurs proches et collègues et une pensée au collègues qui sont responsables de la chute de la nacelle par « certainement » manque de temps, de moyens techniques, d’expérience et de formation.

        Merde, j’ai vraiment les boules !

        • 28 février 2013 at 23h51

          LE Risque sismiques a t’il été pris en compte?
          Non, « l’émission nucléaire, la bombe humaine » le précise! il faut faire au plus vite.
          Les APPELS d’offres vont venir encore des entreprises au rabais et vont continuer chez EDF SA puique celle-ci va encore se décharger sur les hommes.

        • LAURENT Yvon
          1 mars 2013 at 19h12

          Moi aussi j’ai les boules !!!!!!
          L’article du Parisien Libéré dit, je cite : » la nacelle, fixée à 4 mètres de hauteur, serait tombée sur les trois hommes dans ce qui semble être un accident du travail » !!!
          Non, non c’est un accident domestique, co….d.
          Remarquez, chers camarades sous traitants, ils ont peut être raison, ce n’est pas un accident de travail, vu ce que nous dénonçons depuis des décennies !
          C’est un assassinat prémédité, et ceci n’engage pas que moi…Mourir au travail !!
          Merdeeeeee !!!
          Adieux collègues.

          • LAURENT Yvon
            10 mars 2013 at 19h00

            La nacelle est sous scellés…
            Un arbre des causes « à la MEDEF » va être rédigé et la question sera toujours…POURQUOI… et ils arriveront TOUJOURS à la culpabilité d’un salarié !
            Nous, salariés sous-traitant et la CGT, nous nous poserons TOUJOURS cette question : COMMENT…et nous irons ainsi vers la faute INEXCUSABLE de l’employeur…des employeurs… du donneur d’ordre…des actionnaires…de l’Etat…du fric… ?

            • Transparence
              10 mars 2013 at 20h43

              Le bruit court qu’EDF avait fait deux types de devis (nacelle et échafaudage fixe), et qu’une fois de plus, EDF à choisi le plus rapide et le moins coûteux (la nacelle). Effectivement, le devis choisi comportait plus de risques pour les ouvriers, mais les économies l’emportent une fois de plus au détriment de la vie des hommes.

              Merci EDF ! 🙁

              • 10 mars 2013 at 22h19

                oui, deux devis et le moins cher a été pris par EDF.

      81. 28 février 2013 at 18h04

        Volkswagen va verser 7.200 euros de prime à tous ses salariés

        Alors que débutent tout juste les négociations salariales dans le domaine de la métallurgie et de l’industrie automobile en Allemagne, Volkswagen annonce verser une prime de 7.200 euros à 100.000 salariés allemands….

        http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/auto-transport/actu/0202599474267-volkswagen-va-verser-720-millions-de-prime-a-ses-salaries-allemands-542601

        LE CONTRÔLE DES SOUS-TRAITANTS EN QUESTION

        L’Autorité de sûreté nucléaire met en demeure le Commissariat à l’énergie atomique (CEA) de Cadarache.

        L’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) vient de mettre en demeure le Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA) de Cadarache « de respecter certaines prescriptions réglementaires et individuelles applicables à la mise à l’arrêt définitif et au démantèlement de l’Atelier de technologie du plutonium (ATPu) et du Laboratoire de purification chimique (LPC) sur le territoire de la commune de Saint-Paul-lez-Durance ».

        Le démantèlement, débuté en 2009, avait notamment été demandé par l’ASN en raison de leur « faiblesse face aux risques sismiques ».
        Les préconisations portent sur les conditions du démantèlement des deux structures assuré par Areva pour le compte du CEA. Le commissariat indique qu’il respectera cette mise en demeure tout en relativisant (lire encadré) la portée de la décision de l’agence.

        Une série de contrôles de l’ASN en avril et novembre 2012…

        http://www.lamarseillaise.fr/societe-quartiers/le-controle-des-sous-traitants-en-question-29696.html

        Violence managériale,Violence d’état crise économique historique

        Le projet d’amnistie sociale a pour la première fois depuis longtemps posé des problèmes au sein de la gauche.

        Comment un gouvernement de gauche peut-il faire la fine bouche, criminaliser les syndicalistes et autres manifestant(e)s, c’est-à-dire traiter les salarié(e)s et leurs représentant(e)s comme des criminels, (soumission aux tests ADN), alors que notre pays connaît la plus grave économique et sociale depuis les années trente?

        A la violence des grands groupes s’ajouterait la violence d’état sous un gouvernement de gauche .

        Que la violence du Medef et de ses adhérents ( les grands groupes, le CAC 40), atteignent des sommets, avec la pire des violences faite au salarié(e)s, depuis plus de 30 ans : le chômage, la menace du chômage, l’exclusion sociale, la précarité, les salariés pauvres, n’est pas surprenant, mais que le gouvernement Ayrault freinent des quatre fers, pour empêcher cette loi d’amnistie sociale, de voir le jour, voilà de quoi étonner?…

        http://blogs.mediapart.fr/blog/jean-bachelerie/280213/violence-managerialeviolence-d-etat-crise-economique-historique

      82. Gus
        28 février 2013 at 17h46

        “Berlin met en garde contre une “contagion” de la crise italienne au reste de l’Europe”

        Le ministre allemand des Finances Wolfgang Schäuble a mis en garde contre un changement de direction de la politique d’austérité, alors que la France et certaines voix à la Commission européenne critiquent les effets des politiques d’ajustement en Europe du Sud après les résultats des élections en Italie.

        La récession européenne et l’incertitude liée à l’avenir politique de la Péninsule “sont les deux faces d’une même pièce : la méthode allemande atteint ses limites”, selon le quotidien espagnol.

        http://www.presseurop.eu/fr/content/news-brief/3472461-berlin-met-en-garde-contre-une-contagion-de-la-crise-italienne-au-reste-d

      83. 28 février 2013 at 7h10

        Vers une loi d’amnistie sociale ?

        Le texte a été voté de justesse par 174 voix contre 172. Mais il est passé. Une proposition de loi (PPL) communiste d’amnistie des délits et sanctions pour des faits commis lors de mouvements sociaux a été votée au Sénat par les groupes PS, CRC (communiste), les écologistes et la plupart des sénateurs RDSE (à majorité radicaux de gauche).

        « Il s’agit, ici, de faire œuvre de justice »…

        http://www.lejsl.com/actualite/2013/02/28/vers-une-loi-d-amnistie-sociale

      84. Sun
        27 février 2013 at 19h04

        TIHANGE

        Des ouvriers occupés à creuser des tranchées sur le site de la centrale nucléaire de Tihange ont fait la découverte d’un engin qui se pourrait bien être une bombe de la seconde guerre mondiale, ce mercredi.

        Le plan d’urgence interne a été déclenché.

        Les services militaires de déminage sont arrivés sur place vers 14h00.
        http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20130227_029

      85. 27 février 2013 at 18h33

        Amiante : le parquet général demande l’annulation de la mise en examen de Martine Aubry

        L’avenir politique de Martine Aubry mis entre parenthèses depuis sa mise en examen pour « homicides et blessures involontaires » dans l’un des volets de l’affaire de l’amiante pourrait s’éclaircir. Le parquet général de la cour d’appel de Paris demande l’annulation de la mise en examen du 6 novembre 2012 de l’ex-première secrétaire du Parti socialiste ainsi que des poursuites engagées contre une petite dizaine de personnes – des hauts fonctionnaires, des industriels – mises en cause pour les mêmes griefs. L’affaire sera examinée jeudi 28 février par la chambre de l’instruction de la cour d’appel….

        « LES SERVICES DE L’ETAT ANESTHÉSIÉS »

        Cette position irrite les avocats des victimes. Me Jean-Paul Teissonnière devait rappeler à l’audience que « l’action de lobbying des industriels a anesthésié les services de l’Etat ». Les associations déplorent « l’opposition constante du parquet dans toutes les affaires de l’amiante ». « Sous prétexte que ces gens n’avaient pas le pouvoir réglementaire, l’annulation de leur mise en examen est systématiquement demandée, constate François Desriaux, vice-président de l’Association nationale de défense des victimes de l’amiante (Andeva). Même au civil, quand on attaque pour faute inexcusable de l’employeur, les procureurs contestent. »…

        http://www.lemonde.fr/societe/article/2013/02/27/amiante-le-parquet-general-demande-l-annulation-de-la-mise-en-examen-de-martine-aubry_1839615_3224.htmlhttp://www.lemonde.fr/societe/article/2013/02/27/amiante-le-parquet-general-demande-l-annulation-de-la-mise-en-examen-de-martine-aubry_1839615_3224.html

      86. Sun
        27 février 2013 at 14h49

        « L’insécurité nucléaire? »: débat sur le rôle des salariés/sous-traitants du nucléaire et les dangers auxquels ils sont exposés au quotidien. http://www.publicsenat.fr/vod/le-debat/l-insecurite-nucleaire-/michele-rivasi,jacques-repussard,jean-bizet,elsa-fayner,francis-sorin/122107

      87. Doum
        27 février 2013 at 11h11

        Devant le Parlement européen, le 5 février dernier, François Hollande a affirmé : « Ce qui nous menace, ce n’est plus la défiance des marchés, mais celle des peuples ». L’élection en Italie montre à quel point il avait vu juste et à quel point – la négociation du futur budget de l’Union en témoigne – est lourde la responsabilité des dirigeants conservateurs.

      88. Lolo
        26 février 2013 at 21h29

        Energie et Environnement

        UFC-Que Choisir assigne EDF et GDF Suez en justice

        26/02 | 16:16

        L’association de consommateurs assigne EDF, GDF Suez et les petits concurrents Direct Energie et Eni, pour les « clauses abusives » qui figurent selon elle dans les contrats d’électricité et de gaz destinés aux particuliers.

        Fin octobre, l’association de consommateurs UFC-Que Choisir avait averti les fournisseurs d’énergie qu’elle engagerait une action en justice s’ils ne modifiaient pas leurs contrats. C’est aujourd’hui chose faite. L’association assigné mardi en justice EDF et GDF Suez ainsi que leurs petits concurrents Direct Energie et Eni pour de nombreuses « clauses abusives » figurant dans les contrats d’électricité et de gaz destinés aux particuliers, a-t-elle annoncé.

        UFC-Que Choisir a recensé suivant les fournisseurs entre 14 et 39 clauses ou pratiques qu’elle estime abusives. Mais du fait de « discussions de façade » ou de « l’absence d’esprit constructif » de la part des opérateurs, des assignations ont été envoyées aux Tribunaux de grande instance de Paris et de Nanterre (Hauts-de-Seine), a indiqué à l’AFP Cédric Musso, directeur des relations institutionnelles de l’UFC. En revanche, l’association n’a pas assigné le belge Lampiris du fait d’engagements pris par le fournisseur.

        Clauses abusives

        Parmi les pratiques incriminées, l’association pointe des factures réclamées en cas de dysfonctionnement du compteur, des engagements du client sans signature, des frais de rejets pour impayés ou encore des tailles de caractères illisibles, a détaillé M. Musso. « Ils utilisent les contrats à leur avantage avec des clauses qui se retournent contre le consommateur puisqu’on voit qu’il y a énormément de clauses éxonératoires de responsabilité qui font qu’en cas de problème le fournisseur n’est pas responsable », estime-t-il. UFC-Que choisir recense 14 « clauses abusives » chez GDF Suez, 32 chez EDF, 35 à 39 chez Poweo Direct Energie et 17 chez Eni (ex-Altergaz).

        EDF, qui a indiqué mardi réserver ses arguments pour le tribunal, avait jugé en octobre infondées les « accusations » de l’UFC.

        http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/energie-environnement/actu/0202591826778-ufc-que-choisir-assigne-edf-et-gdf-suez-en-justice-542250.php

        SOURCE AFP

      89. 26 février 2013 at 17h49

        Des composants vendus sans contrôle sur un site chinois

        Le laxisme des autorités chinoises quant au commerce en ligne fournit des opportunités aux trafiquants de tout genre. Une compagnie indienne a ainsi vendu à une société iranienne, sur un site de commerce chinois, des composants nucléaires

        Pékin commence peut-être à ne plus pouvoir cacher son laxisme en matière de lutte contre le trafic de technologie nucléaire, alors qu’un nombre croissant de cas flagrants d’exportation illégale impliquent le pays.

        Si le Pakistan a par le passé joué un rôle important dans cette contrebande, les événements ont pris une nouvelle tournure ces derniers jours avec la publication d’informations mettant en cause une société indienne dans le cadre d’une enquête sur un site Internet chinois soupçonné de fournir des aimants circulaires à destination de centrifugeuses à gaz….

        http://www.courrierinternational.com/article/2013/02/26/des-composants-vendus-sans-controle-sur-un-site-chinois

      90. 26 février 2013 at 17h38

        Adresse aux Militants des syndicats CFDT, CFE-CGC et CFTC des entreprises et des Administrations Publiques du Val d’Oise :

        Objet : Notre appréciation sur l’accord du 11 janvier intitulé : « pour un nouveau modèle économique et social au service de la compétitivité des entreprises et la sécurisation de l’emploi et des parcours professionnels de salariés »

        Chères Camarades, Chers Camarades,

        Il n’est pas habituel que nous nous adressions directement aux militants syndicaux d’autres organisations syndicales. Il nous semble cependant que la situation créée par la signature de l’accord du 11 janvier 2013 par vos directions confédérales doit vous interroger comme tout syndicaliste qui défend les droits des salariés et qui recherche le progrès social.

        Nous souhaitons attirer votre attention en vous livrant notre analyse sur les dangers graves portés par ce texte au droit du travail.

        Au préalable, comme vous-mêmes, nous notons que cet accord n’a pas reçu la signature d’organisations représentatives d’une majorité de salariés ; la CGT et Force Ouvrière ont en effet refusé de le signer. C’est l’un des arguments que la CGT fait valoir auprès du gouvernement et des parlementaires pour qu’il ne puisse être retranscrit dans la loi. En plus de la gravité, c’est aussi une question de démocratie.

        Les arguments développés par vos directions confédérales s’appuient sur des « avancées » obtenues dans certains domaines. Mais ces «avancées» sont très hypothétiques car elles sont soit conditionnées à des négociations ultérieures soit entourées de telles dérogations que peu de salariés en bénéficieront. Par ailleurs, celles-ci peuvent- elles justifier, à elles seules, d’offrir au patronat la flexibilité, la mobilité imposée, la possibilité de baisser les salaires, d’allonger les temps de travail, de faciliter les licenciements, de réduire les droits de recours des salariés… comme contrepartie ?

        Quelles avancées ?

        En réalité ces « avancées » sont conditionnelles, remises au bon vouloir patronal lors de négociations ultérieures et toutes ne concernent pas tous les salariés. Les reculs sociaux eux, seraient pour maintenant et concerneraient tout le monde. Quelques exemples :

        Possibilité d’une mobilité forcée :

        L’accord offre la possibilité aux employeurs d’organiser la mobilité interne forcée en s’abritant sur un accord d’entreprise leur permettant ainsi de muter les salariés sur un autre poste, de les envoyer à l’autre bout de la France. Si le salarié refuse, il serait licencié pour motif personnel

        Quel accès à la justice demain, quelle réparation pour les salariés ?

        L’accord demande la sécurisation des licenciements en limitant pour les salariés l’accès à la justice prud’homale et en réduisant de 5 à 3 ans les délais de prescription. Et pour la première fois, l’employeur ne serait plus tenu de réparer le préjudice réel subi par un salarié ; un barème prédéterminé serait établi.

        Maintien dans l’emploi ou chantage ?

        L’accord autorise la mise en place dans les entreprises d’accords intitulés : « maintien dans l’emploi » qui sont en fait, sous une autre appellation, ce que Nicolas Sarkozy voulait imposer à travers des accords « compétitivité / emploi ». Il n’avait pas pu les mettre en place à l’époque du fait de notre refus unanime ! Ce sont ces accords qui permettraient désormais d’augmenter le temps de travail et baisser les salaires durant deux ans, sans garantie du maintien des emplois au bout de ces deux ans…

        Sécuriser l’emploi ou sécuriser les licenciements ?

        Alors que seulement 3 % des chômeurs inscrits à Pôle Emploi ont pu bénéficier d’un plan social, le Medef veut grâce à cet accord décider de la procédure de licenciement et du contenu du plan social par simple accord d’entreprise, voire, en l’absence d’accord, par un simple document de l’employeur homologué par la direction du travail. Les délais prévus rendraient encore plus difficiles l’action des salariés et de leurs représentants face à un plan de licenciement.

        Que devient le Contrat à Durée Indéterminée ?

        Avec cet accord, le Medef veut imposer pour des salariés des petites entreprises de certaines branches le contrat à durée indéterminée « intermittent », c’est à dire un contrat totalement flexibilisé.

        Ce sont là quelques exemples, qui nous semblent les plus porteurs de dangers pour tous les salariés et donc, y compris pour vous-mêmes. Nous vous invitons vivement à prendre connaissance de l’intégralité du texte et de nos arguments en visitant note site http://www.cgt.fr/-Accord-sur-l- emploi-2013. Vous pouvez aussi contactez un militant CGT de votre entreprise ou de votre service. Vous pouvez également prendre connaissance de l’avis du Syndicat des Avocats de France qui a dénoncé publiquement les dangers que cet accord et sa retranscription représentent sur les droits de chaque salarié.

        En vous remerciant pour avoir pris ces quelques minutes pour nous lire, nous restons à votre entière disposition pour tout débat éventuel.

        Recevez, chères et chers camarades nos fraternelles salutations.

        La CGT du Val d’Oise

        Union Départementale CGT des syndicats du Val d’Oise
        26, rue Francis Combe  95000 CERGY  Téléphone : 01 30 32 60 22  Télécopie : 01 34 24 98 06  e-mail : ud@cgt95.fr

      91. Sun
        26 février 2013 at 12h50

        L’ASN met en demeure le CEA de Cadarache d’assurer une surveillance de son prestataire principal dans les installations ATPu et LPC et de renforcer la gestion des compétences liées à la sûreté du démantèlement de ces installations.

        http://www.asn.fr/index.php/S-informer/Actualites/2013/Mise-en-demeure-du-CEA-Cadarache

      92. Sylver
        25 février 2013 at 19h03

        COMMUNIQUE de LA CONVERGENCE NATIONALE DES COLLECTIFS DE DEFENSE ET DEVELOPPEMENT DES SERVICES PUBLICS

        A l’appel des Confédérations CGT et FO, de la FSU et de l’Union Syndicale « SOLIDAIRES », et aussi de nombreuses Associations et Organisations politiques signataires de l’Appel « UN ANI – accord national interprofessionnel – qui vous veut du mal ! » (dont La Convergence),

        TOUS ENSEMBLE DANS LA RUE LE MARDI 5 MARS 2013 !

        Salarié-e-s du Public comme du Privé
        Citoyen-ne-s, Usager-e-s ayant droit aux Biens Communs et Services Publics
        Elu-e-s mandaté-e-s par le peuple et pour le peuple

        Cette journée de grèves, manifestations, rassemblements, doit être l’occasion d’une puissante mobilisation populaire contre un Accord catastrophique signé le 11 janvier 2013 par le MEDEF syndicat patronal, et des syndicats de salarié-e-s minoritaires, à partir duquel le Gouvernement actuel entend soumettre au vote de l’Assemblée Nationale et du Sénat, un projet de Loi faisant régresser profondément dans notre pays la condition salariale et le droit du Travail. Ce projet de loi sera présenté le 6 Mars en Conseil des ministres et fera ensuite l’objet d’un débat parlementaire.

        Tandis que l’Union Européenne organise à l’échelle du Continent une spirale mortifère pour les peuples, dans laquelle récession et austérité se nourrissent l’une l’autre pour le plus grand profit des groupes financiers dominants, le MEDEF rêve pour notre pays d’une loi transposant purement et simplement les reculs sociaux contenus dans l’accord. Les travailleurs seraient condamnés pour longtemps, sous couvert de flexibilité et de compétitivité, à un modèle économique et social bâti sur la Sainte Trinité : Précarité, Pauvreté, Résignation !

        Le 5 Mars doit être une journée marquant les consciences !!!
        Elle doit exprimer l’exigence citoyenne que la majorité Législative, Assemblée et Sénat, ne soit pas une simple chambre d’enregistrement de règles élaborées par le MEDEF et pour le MEDEF, avec l’aide complaisante de partenaires sociaux ayant cédé au chantage « le martyr ou le chaos », en oubliant qu’au bout du compte, en renonçant, on finit toujours par avoir les deux !

        LE 5 MARS, enclenchons de la manière la plus massive et la plus forte possible, une puissante mobilisation, et notamment auprès des Parlementaires, pour que la précarité, la pauvreté, les salaires et les retraites de misère, la protection sociale minimale, n’aient pas FORCE DE LOI. Rassemblons-nous pour rappeler que le changement c’est l’emploi, des salaires et des retraites décentes, les services publics garantissant l’exercice des droits fondamentaux, de nouveaux droits pour les travailleuses/rs, des politiques fondées sur les besoins et l’intérêt général !!!

      93. 25 février 2013 at 5h38

        Faire le pari de l’intelligence sociale ?

        La plus grande grève de l’histoire de l’Inde

        «  » 100 millions de travailleurs en grève contre la hausse des prix, la précarité et les privatisations

        Les deux journées de grève du 20 et 21 février convoquées par les onze centrales syndicales indiennes constituent non seulement la plus grande grève de l’histoire de l’Inde, ainsi que sans doute une des plus grandes de l’histoire du mouvement ouvrier.

        La première grève générale unitaire de 48 heures depuis l’indépendance a été un succès : plusieurs dizaines de millions de travailleurs ont arrêté le travail, 100 millions selon les syndicats, avec à leur tête deux syndicats de classe (CITU et AITUC) liés aux Partis communistes.

        Tout le pays a été paralysé par le mouvement : le privé comme le public, la grande industrie comme le petit commerce, le secteur formel comme informel….

        http://blogs.mediapart.fr/blog/corinne-n/240213/la-plus-grande-greve-de-lhistoire-de-linde

        Emploi : Les salariés devront de plus en plus s’expatrier

        Les salariés devront de plus en plus s’expatrier dans les années à venir… L’étude publiée ce vendredi par le cabinet d’audit et de conseil PwC montre que la « mobilité des talents » devrait bondir de 50% d’ici 2020, après avoir déjà grimpé de 25% depuis 10 ans… Et ce sont surtout les femmes qui seront concernées, avec un doublement du nombre de salariées mutées.

        Mutations

        Les missions à court terme devraient se développer. « Ces mutations, en général moins coûteuses pour les entreprises, attireront en particulier les jeunes talents cherchant à élargir leur expérience internationale », écrit le cabinet PwC. Mais les mutations permanentes aussi seront concernées, alors que « la délocalisation de sièges régionaux ou mondiaux vers les marchés (est) en pleine expansion ».

        Etats-Unis et Royaume-Uni toujours recherchés…

        http://www.boursier.com/actualites/economie/emploi-les-salaries-devront-de-plus-en-plus-s-expatrier-18735.html

        La charge de travail, une bombe à retardement programmée ?

        Après le harcèlement moral de la fin des années 90, puis la pression du législateur sur la prévention des Risques psychosociaux à la fin de la première décennie, agir sur la charge de travail pourrait bien être le grand chantier des prochaines années.

        De nombreuses études démontrent les effets des réorganisations sur la charge de travail des salariés. Il est d’ailleurs fréquent de constater que celle-ci est un facteur de risque psychosocial élevé dans la plupart des diagnostics internes et les rapports officiels sur les conditions de travail. Parallèlement à ce constat, les interventions récentes du législateur et la judiciarisation progressive des questions relatives à la « charge de travail » sont des signaux d’alerte forts qui doivent inciter tout DRH, manager ou CHSCT à débatte de la charge de travail en ayant à l’esprit la volonté de concilier des enjeux à priori contradictoires.

        Quels sont donc ces enjeux ?

        http://lecercle.lesechos.fr/entreprises-marches/management/rh/221166359/charge-travail-bombe-a-retardement-programmee

      94. ZE
        24 février 2013 at 22h58

        Un autre film sur la sous-traitance du nucléaire. Une grande partie de ce film se passe pendant la grève de la faim de 9 salariés de Cruas pendant 10 jours. Merci EDF, merci ESSOR/VINCI, merci SPIE.

        Un film de mon ami Alain de HALLEUX

        http://www.arte.tv/fr/ras-nucleaire-rien-a-signaler/2151166,CmC=3785796.html

      95. 24 février 2013 at 17h04

        Droits sociaux en danger ! Le manifeste de 300 juristes européens

        Plus de 300 juristes issus de 28 pays européens adressent un manifeste aux dirigeants de l’Europe. Les signataires appellent à respecter et à promouvoir les droits sociaux fondamentaux mis à mal par la crise et les politiques d’austérité. Ces juristes sont universitaires pour la plupart et spécialisés en droit social ou en droit du travail.

        Leur manifeste s’inscrit dans la droite ligne de la Déclaration de Philadelphie adoptée par l’OIT en 1944.
        Ils en rappellent l’esprit et les principes :
        « – le travail n’est pas une marchandise,
        les libertés d’expression et d’association sont essentielles pour un progrès durable,
        la pauvreté n’importe où dans le monde constitue partout un danger pour la prospérité. »
        Ils soulignent que « cette déclaration est le point de départ de la construction du fragile modèle social européen. »

        Dans son ouvrage « L’esprit de Philadelphie, la justice sociale face au marché total », Alain Supiot, signataire du manifeste, s’était dès 2010 érigé en procureur pour dénoncer les trahisons de cet esprit de Philadelphie.

        Les signataires protestent aujourd’hui contre l’accélération depuis 2008 des réformes fondamentales du droit du travail et contre le contournement des mécanismes de consultation collective, notamment avec les syndicats. Ils dénoncent de même les réformes structurelles imposées par la troïka (Commission, BCE, FMI). « Ces mesures loin de résoudre la crise économique et financière l’ont aggravée et menacent à présent la viabilité, non seulement de l’Europe sociale mais du projet plus large d’intégration économique et politique européenne »….

        http://www.metiseurope.eu/droits-sociaux-en-danger-le-manifeste-de-300-juristes-europeens_fr_70_art_29577.html

      96. 24 février 2013 at 9h25

        Réaction au débat + Fiche d’Evaluation des Intervenants

        Pour Monsieur Sorin , je le cite

        Les chiffres parlent d’eux même pour la radioprotection des sous-traitants c’est 1.6 mSv / An. Trop fort , vraiment trop fort .
        Moi je connais nombres de collègues qui sont régulièrement à + de 10-12-14 mSv / An .
        C’est sûr que de comptabiliser les expositions des salariés des donneurs d’ordres ne peut que faire baisser la dose collective ( il s’agit là d’une moyenne statistique et pas du tout la réalité des expositions ) nous sommes bien d’accord …. Cherchez l’erreur !!!
        Il va même jusqu’à dire que mon dosimètre me protège des contaminations importantes…oh putain , mais cela me protège de rien du tout .

        Au fait notre collègue Christian VERRONNEAU que nous appercevons dans le film est décédé de son cancer le 10 septembre dernier … ( Combien sont à venir ???? )
        Pour lui et comme beaucoup d’autres collègues aujourd’hui , c’est encore plusieurs mSv pour une seul intervention !!!

        Pour votre pitoyable prestation Monsieur , je vous attribue la note de D-

        Monsieur Jacques Repussard DG de l’IRSN rappelle qu’en terme de sous-traitance il ne faut pas aller trop loin dans la recherche de gain , de réduction des coûts du travail.
        Il évoque une dérive des grands donneurs d’ordre à ce sujet et que cette stratégie économique est irrémédiablement préjudiciables pour la sécurité et la sûreté !!!
        Ça c’est dit est très bien dit Monsieur Repussard , vous rajoutez que le Facteur Organisationnel et Humain est de toute évidence un élément majeur pour garantir la sécurité-sûreté des installations.

        Pour votre prestation Monsieur Repussard ,je vous attribue la note de B+

        Pour la prestation de Madame Rivasi ce sera également la note de B+
        Vous avez apprécier ce documentaire . Votre connaissance , approche sur ce sujet est très pertinente , enfin vous aussi , vous dénoncer cette course à la production , course aux profits.

        Pour la prestation du Sénateur , bon il arrive sur le plateau pour débattre sans visionner le reportage (pas bien) de plus l’entendre dire qu’à La Hague tout va bien (pas bien non plus)me laisse très perplexe.
        Votre note sera Monsieur D

        Pour la prestation du présentateur Monsieur Benoît Dusquene ce sera un B- ( Un inter-mitant / un travailleur occasionnel = Un salarié précaire Mr Dusquene et donc tout ce que cela engendre )

        Enfin pour le travail d’investigation d’Elsa Fayner je t’attribue un A+

        Merci Elsa pour ce reportage qui dans le débat sur la transition énergétique va prendre enfin toute son importance .
        Grace à toi , ce sera l’occasion pour tous nos concitoyens une fois pris connaissance de cette situation, d’agir et de décider de l’avenir qui nous lies les uns aux autres.

        A+ et ne lâchons rien 😉

        • LAURENT yvon
          24 février 2013 at 13h08

          Mais n’oublions que nous sommes pour le partage du travail !
          Sauf que nous ne pouvons plus partager les risques !
          Les privilèges de certaines corporations sont un frein à la révolte d’autres salariés !
          Combien de fois nous avons manifester pour la survie du service public, y compris pour le maintien des agences EDF de proximité ? Certain, y ont participé, aussi, mais en… privé !
          Beaucoup d’entre nous avons manifesté contre le projet de privatisation d’EDF, nous avons participé à maintes actions, sauf les acheter, en même temps !!
          Vous savez, j’ai une amie, très jolie, elle cherchait un soutien, elle a connu un agent EDF… Tout va bien maintenant.

          • l'Abeille sociale
            24 février 2013 at 21h41

            Je ne suis pas d’accord avec toi pour la note attribuée à Monsieur Sorin. Pour lui, il faut créer la note « F » comme faux-cul. ça fait trois fois que je le vois dans une émission et il est toujours aussi menteur ce c–. Il me donne envie de gerber avec les conneries qu’il raconte. Bon, c’est vrai qu’il représente ceux qui nous exploitent et on ne pouvait pas s’attendre à autre chose.

      97. Sylver
        24 février 2013 at 0h15

        Droit du travail Accord sur l’emploi – Les députés socialistes « déstabilisés » par la CGT

        Hier, Bernard Thibault a semé le trouble dans les rangs des députés socialistes en leur demandant de ne pas transposer l’accord compétitivité emploi signé par le patronat et certains syndicats.

        Des applaudissements ont été entendus derrière les portes de la salle Colbert à l’Assemblée nationale… Certes, il n’y a pas eu de standing ovation, mais plusieurs députés du groupe socialiste ont chaleureusement salué l’intervention de Bernard Thibault.

        Le secrétaire général de la CGT était venu les « convaincre de la nocivité de certaines dispositions des accords compétitivité emploi ! » « Les députés socialistes sont …..

        http://www.dna.fr/social/2013/02/21/les-deputes-socialistes-destabilises-par-la-cgt

      98. ZE
        23 février 2013 at 23h51

        Je regarde le débat sur LCP et pour Francis Saurin, le suppositoire du nucléaire sans risque, l’irradiation sur le corps humain n’est pas dangereuse !!!

        Dans ce cas, je lui propose de prendre sa famille, des relax et des serviettes de plage et je lui paye un séjour d’une semaine à tout ce petit monde au bord d’une piscine d’un réacteur nucléaire lors d’un arrêt de tranche. Il a toujours le mot pour me foutre les boules et pourtant, Dieu sait que je respecte cette industrie.

        Cacher la vérité comme il le fait n’est pas très sérieux et dépasse l’entendement.

        Pour ou contre le nucléaire ne veut pas dire grand-chose !
        La vérité, c’est que ces 58 réacteurs existent et maintenant, le plus important est de savoir comment nous allons les sécuriser avant de passer à une autre forme de production d’énergie.

        Vous voyez, je pense tout simplement qu’il faut respecter les Hommes qui travaillent dans cette industrie y compris les sous-traitants pour qu’ils puissent continuer à assurer notre sécurité au travers d’une sûreté maitrisée de ces installations à risque très sensible.

        Il est urgent d’en finir avec les pratiques esclavagistes des patrons d’EDF et du privé dans ce nucléaire de fous chantants qui nous prennent pour des lapins de 6 semaines.

      99. 23 février 2013 at 20h21

        Ce soir la bombe humaine 22H CHAINE LCP suivis d’un debat

      100. 23 février 2013 at 19h09

        Conférence de presse pour l’amnistie des syndicalistes, le vendredi 22 février avec Jean-Luc Mélenchon et Martine Billard

        http://www.dailymotion.com/video/xxpfuq_conference-de-presse-amnistie-des-syndicalistes_news#.USkFvm9hXD8

        Demain sur CANAL + en clair à partir de 14h !!!! Jean-Luc Mélenchon 😉

      101. Gus
        23 février 2013 at 18h57

        La Commission européenne oblige les pays touchés par la crise à privatiser l’eau

        La Commission européenne promeut délibérément la privatisation des services de l’eau comme l’une des conditions imposées dans le cadre des plans de sauvetage, a-t-elle reconnu dans une lettre adressée aux groupes de la société civile. La direction du commissaire européen Olli Rehn a répondu aux questions posées dans une lettre ouverte, écrite par des organisations de la société civile, concernant le rôle joué par la Commission quant à l’obligation de privatisation imposée par la Troïka à la Grèce, au Portugal et dans d’autres pays. Aujourd’hui, dans une deuxième lettre au commissaire Rehn, les organisations exigent qu’il « s’abstienne dorénavant de toute pression imposant des conditions de privatisation de l’eau »….

        http://actuwiki.fr/eco/1154

        Le harcèlement et la violence au travail : diagnostic, action et réaction. Par Valérie Duez-Ruff, Avocat.

        Depuis quelques années, le harcèlement est devenu un terme de plus en plus usité, voire à la mode.

        Il s’utilise dans tous les contextes, de l’environnement professionnel bien sûr jusqu’au cercle familial et même au jardin d’enfants.

        Revers de la médaille, le recours banalisé et vulgarisé d’un phénomène pourtant ancestral entraine une méfiance des personnes chargées de sa qualification, tels les magistrats.

        Il faut donc s’appliquer systématiquement, lors de la découverte d’une situation pouvant s’apparenter à du harcèlement, à revenir à une application stricte des critères légaux et jurisprudentiels.

        Ce diagnostic est le préalable indispensable pour permettre à la victime harcelée et à ses proches, de trouver les moyens d’action adaptés pour y mettre fin et surmonter cet épisode parfois dévastateur.

        1. Reconnaître et identifier une situation de harcèlement

        a. La définition légale…

        http://www.village-justice.com/articles/harcelement-violence-travail-diagnostic,13899.html

        Crise: « marée citoyenne » à Madrid

        Des milliers de manifestants se sont rassemblés dans les rues de Madrid aujourd’hui pour une « marée citoyenne » unissant des Espagnols de tous horizons, pour dire « non! » à la politique d’austérité et aux scandales de corruption qui agitent la classe politique. « Nous en avons ras-le-bol », lançait Luis Miguel Herranz Fernandez, un médecin hospitalier de 38 ans, en dénonçant « la politique des coupes budgétaires, la corruption, la baisse de qualité du système de santé ».

        « Dans n’importe quel pays, cela servirait à quelque chose, mais ici, cela ne sert à rien. Le gouvernement ne nous écoute pas », affirmait le médecin alors que la foule se rassemblait, dans les roulements des tambours et le hurlement des sifflets, sur la place Colon dans le centre de Madrid. « Nous sommes ici tous unis, les médecins, les pompiers, les mineurs, et cela leur est égal« .

        Fonctionnaires, enseignants, médecins et infirmières, mouvements féministes, associations écologistes, petits partis politiques, groupes de la mouvance des « indignés » ou mineurs du nord de l’Espagne se sont rassemblés en quatre points de Madrid avant de converger vers la place de Neptuno, près du Congrès des députés….

        http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2013/02/23/97002-20130223FILWWW00472-crise-maree-citoyenne-a-madrid.php

        Italie: Beppe Grillo veut redonner le pouvoir aux citoyens

        Les élections législatives seront marquées par l’austérité imposée par l’Europe. Un véritable ras-le-bol se fait sentir au sein de la population, sur lequel surfe un personnage qui fait une véritable percée. Son nom : Beppe Grillo. Une sorte de Coluche italien dont le mouvement pourrait devenir le deuxième parti d’Italie.

        Après une année marquée par les scandales financiers et l’austérité imposée aux Italiens, le Mouvement 5 étoiles de Beppe entend redonner le pouvoir aux citoyens.

        Et forcément, ce discours passe très bien auprès d’une population complètement désabusée. C’est le cas de cet employé de la ville de Rome, qui témoigne : « Les politiciens se sont goinfrés de privilèges et nous nous sommes réduits à l’assistance sociale. Ma femme travaille dans un hôpital et elle n’est plus payée depuis sept mois. »

        http://www.rtbf.be/info/monde/detail_italie-beppe-grillo-veut-redonner-le-pouvoir-aux-citoyens?id=7928598

        Que faire en cas d’IPP (Incapacité Permanente Partielle) après un accident du travail ?

        Vous devez tout d’abord vous rapprocher de la CPAM (Caisse primaire d’assurance-maladie) de votre région afin de consulter un médecin conseil de la Sécurité sociale.Ce dernier établira votre taux d’IPP (Incapacité Permanente Partielle) en tenant compte de la nature de votre infirmité, de votre âge, de votre état général ainsi que de vos qualifications professionnelles.En fonction de ce taux, vous pourrez bénéficier, de la part de la CPAM, d’une indemnisation sous forme d’indemnité en capital ou de rente viagère.La CPAM fixe le taux d’IPP définitive après avis de son médecin-conseil et dans certains cas, du médecin du travail (notamment lorsque l’incapacité permanente est susceptible de rendre le salarié inapte à l’exercice de sa profession)….

        http://www.news-assurances.com/expert/que-faire-en-cas-dipp-incapacite-permanente-partielle-apres-un-accident-du-travail/016774907

      102. Sylver
        23 février 2013 at 18h29

        CGT Ardèche(07)

        Le 5 mars 2013

        Tous en GREVE et en MANIF
        Contre l’austérité

        Avec 3 rassemblements en Ardèche, en direction des députés socialistes du département, pour exiger qu’ils ne traduisent pas dans la loi l’accord de compétitivité du 11 janvier, signé par des syndicats minoritaires.

        Cet accord :
        -Facilite les licenciements à la demande du MEDEF,
        -Contraint les salariés à la mobilité,
        -Impose les accords de chantage à l’emploi pour les salariés,
        -Généralise le travail intermittent,
        -Instaure l’immunité judiciaire pour les employeurs…

        Le 5 mars, salariés du privé et du publics, chômeurs et retraités, face à la hausse des prix qui se généralise, à la question du pouvoir d’achat qui devient un véritable « pouvoir de vivre », exigeons des salaires, des retraites et des minimas sociaux décents.

        Pour vivre et travailler en Ardèche :

        -Stoppons la casse industrielle,
        -Stoppons la poursuite du non remplacement d’un fonctionnaire sur 2 qui part en retraite, au détriment de la qualité des missions de Service Public comme pour l’hôpital ou pour les contrôles de sécurité alimentaire…
        Faisons-nous entendre du gouvernement et du patronat !

        Tous en grève le 5 mars !

        Rassemblons-nous et rencontrons les députés ardéchois :

        à Annonay – 14 h. Gare routière (Faya)

        à Aubenas – 14 h. 30 Champ de Mars

        à Privas – 10 h. devant le Conseil Général

        ET

        à Montélimar – 14h devant le thèatre

        • Sylver
          23 février 2013 at 18h33

          Les confédérations CGT et FO (qui représentent plus de salariés que les trois organisations syndicales signataires) ont refusé de signer cet accord de régression sociale. Elles appellent ensemble, et c’est une première depuis de nombreuses années, à l’action dans toute la France le 5 mars par des rassemblements, des manifestations et des arrêts de travail.

        • hollowman of ardeche
          26 février 2013 at 12h01

          hello les camarades!

          en effet, toutes et tous dans la rue le 5/03

          ON NE LACHE RIEN
          il faut frapper fort en se mobilisant le plus grand nombre possible, aux abords des sites, dans la rue, faire du bruit…

          fraternellement

      103. ZE
        23 février 2013 at 16h56

        Est-ce que le PS va avoir l’envie et le courage de corriger cette injustice sociale provoquée par le gouvernement Sarkozy et le MEDEF.

        Sarko nous a dépouillé de notre droit d’expression à l’intérieur des institutions de ceux qui nous oppriment et nous exploitent. Les raisons de cette décision sont fallacieuses et ignobles !
        Les sous-traitants ne peuvent siéger dans les CE (instances économiques de l’entreprise) pour des raisons de confidentialité !!!
        Pauvres salariés qui ne sont pas considérés !!! Pendant ce temps, les grands patrons se croisent les responsabilités dans les conseils d’administrations des grandes entreprises sans être accusés de « risques pour la confidentialité commerciales et stratégiques ».
        Eux, ils sont sérieux et respectables, alors qu’ils sont concurrents entre eux ! Et nous, les travailleurs, nous sommes dangereux pour discuter dans les lieux qui décident de notre avenir commun.
        NON, la vraie raison de cette attaque dirigée vers les représentants du personnel est plus politique que ce qu’ils osent le dire « les risques de convergence entre salariés du privé et des donneurs d’ordre », voila la vraie raison. Les esclaves des grandes entreprises n’ont pas droit à la parole dans le Pays des droits de l’Homme.

        http://www.fnme-cgt.fr/pages/dossier_mois.php?num=97&id_art=171&lg=fr

      104. 23 février 2013 at 14h33

        Manche : bientôt un livre blanc sur la sûreté des installations nucléaires

        Depuis deux ans, c’est-à-dire depuis la catastrophe de Fukushima, les 3 CLI de la Manche planchent sur ce sujet sensible…

        http://basse-normandie.france3.fr/2013/02/22/manche-bientot-un-livre-blanc-sur-la-surete-des-installations-nucleaires-204923.html

        Paresseux, les Français ?

        Les Français sont-ils paresseux ? Un patron américain a brutalement posé la question cette semaine en se moquant des «soi-disant ouvriers» qui «ne travaillent que trois heures par jour» dans une usine du nord de la France, s’attirant aussitôt les foudres du gouvernement.

        En quête d’un renouveau de la compétitivité du «Made in France», l’exécutif socialiste a souligné «la qualité et la productivité de la main-d’œuvre française» pour réfuter les critiques provocatrices du PDG de Titan international, Maurice M. Taylor.

        Ce faisant, ce patron américain ultra-libéral s’est invité dans un débat politique, économique et sociétal récurrent qui secoue la France depuis la réduction de la durée légale du temps de travail de 39 à 35 heures il y a une douzaine d’années.

        «Bosser en France? C’est l’enfer!», affirme à l’AFP l’essayiste française, Corinne Maier, psychothérapeute indépendante installée en Belgique.

        En 2004, son livre «Bonjour paresse», qui encourageait les cadres à travailler «le moins possible» dans leur entreprise, avait connu le succès avec 200.000 exemplaires vendus et une traduction dans une trentaine de langues.

        «La France est le pays développé où les relations de travail sont les plus mauvaises : rapports humains pourris, rapports de force, codes sociaux aussi compliqués à décrypter que des hiéroglyphes, délais de paiement les plus longs d’Europe…», ajoute l’essayiste.

        Au quotidien, la besogne des Français commence souvent tard le matin. Elle se termine aussi souvent tard en soirée sans que cela soit toujours justifié.

        «Le travail c’est la santé/Ne rien faire, c’est la conserver» : cette chanson de feu Henri Salvador est connue comme un proverbe en France, où la population active (25 millions de personnes) semble hésiter entre les joies du labeur et la douceur de vivre. «Les Français travaillent beaucoup… quand ils travaillent», ironise un diplomate asiatique en poste à Paris.

        Durée de travail faible, productivité haute…

        http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20130223_00272992

        Amnistie des syndicalistes : Mélenchon fait monter la pression

        C’est ce qui s’appelle faire monter la pression. Fini le dialogue, place au rapport de force. Alors que mercredi le Sénat se prononce sur la proposition de loi du groupe Front de gauche d’amnistie des syndicalistes, Jean-Luc Mélenchon a tapé du poing sur la table, vendredi lors d’une conférence de presse. Ses mots ne sont pas ceux de la diplomatie. Plutôt un tir de sommation : ‘Le dialogue, on l’a eu, ça va maintenant. On a compris qu’il [François Hollande] n’avait pas envie de comprendre. Donc, on va lui tordre le bras ».

        L’avertissement est sévère : « Ceux qui ne votent pas la loi ne sont pas de gauche mais des suppôts du Comité des Forges, du Medef et du Cac 40 ». L’ancien candidat à la présidentielle ajoute : « On les pourchassera jusque dans le dernier village de France ». Et prévient : « Ceux qui ne voteront pas avec nous, ce sont les petits Jules Moch (du nom de ce ministre de l ‘Intérieur socialiste qui avait durement sévi face aux grévistes après guerre ) ». Mélenchon relèvera les noms et dans les échéances à venir, il promet qu’il ne votera « plus jamais pour quelqu’un qui refuse d’amnistier un camarade ».

        « Pourquoi ne font-ils rien ? »…

        http://www.lejdd.fr/Politique/Actualite/Amnistie-des-syndicalistes-Melenchon-fait-monter-la-pression-592951

        Fuites sur des citernes de produits nucléaires aux USA

        Des fuites ont été détectées sur au moins six citernes de stockage souterraines contenant des déchets nucléaires dans l’Etat de Washington. Les autorités ont demandé à l’Etat fédéral plus d’aide pour nettoyer le site.

        Le gouverneur de cet Etat, Jay Inslee, a déclaré que l’étendue des fuites sur le site d’enfouissement de Hanford était «inquiétante». Le site était autrefois utilisé pour produire les bombes atomiques américaines…

        http://www.tdg.ch/monde/ameriques/fuites-citernes-produits-nucleaires-usa/story/31891361

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