La Commission d’Enquête auditionnera MZC

    Comme évoqué précédemment, notre jeune Association a l’immense satisfaction de vous informer que nous allons être auditionnés Jeudi 03/04/2014 par la Commission d’Enquête relative aux coûts passés, présents et futurs de la filière Nucléaire.

    Audition C-E MZC

    Clic pour agrandir

    En route pour une vraie transparence

    bus-bleu MZCPour celles et ceux qui auraient manqué un épisode, nous  affirmerons et réaffirmons lors de notre audition, que notre objectif est d’améliorer significativement les conditions de vie et de travail de l’ensemble des salariés de la sous-traitance, qui œuvrent aux quotidien sur les tous les sites nucléaires du parc Français (EDF / AREVA / CEA / ANDRA).

    Comme de très nombreux experts, nous estimons que l’homme est le maillon fiable de cette industrie. De part ce fait, il en devient l’élément essentiel permettant d’atteindre un niveau de sûreté et de sécurité optimal.

    Notre souhait est de vous faire réfléchir sur les conditions actuelles et les conséquences parfois très perverses et dangereuses de la sous-traitance.

    Ainsi, et grâce à vous tou(te)s, notre but sera d’obtenir une reconnaissance sociale de haut niveau, digne d’une grande nation qualifier d’intérêt général pour un développement durable et raisonné.

    enquêteNous travaillons actuellement sur la réalisation d’un comparatif des diverses rémunérations et avantages procédés dans les grandes entreprises de la logistique nucléaire afin d’être en capacité de voir si le mieux disant social est bien celui qui travail le plus avec les divers donneurs d’ordres.

    Ceci vous permettra de comparer vos avantages à ceux de vos collègues qui réalisent le même travail que vous !.

    logo_ensemble_MZCNos amitiés aux uns, notre respects aux autres, bises à toutes et tous

    Et vous…qu’en pensez vous ?

    A vos claviers .

      19 comments for “La Commission d’Enquête auditionnera MZC

      1. Redaction MZC
        5 avril 2014 at 15h34

      2. max
        4 avril 2014 at 16h13

        Avis de l’IRSN sur l’impact environnemental et sanitaire des demandes de modification des autorisations de rejets et prélèvements d’eau de la centrale nucléaire de Cattenom
        Date de publication : 04/04/2014

        Le 5 novembre 2012, en réponse à une demande de l’ASN dans le cadre de la demande de modification des autorisations de rejets et prélèvements d’eau de la centrale nucléaire de Cattenom, l’IRSN a transmis son avis sur l’impact sanitaire et environnemental des rejets chimiques dans la Moselle et dans la retenue du Mirgenbach.

        Du point de vue sanitaire, l’IRSN estime que, si l’apparition d’un effet toxique est très peu probable pour la plupart des rejets chimiques dans la Moselle et dans la retenue du Mirgenbach, l’apparition d’un tel effet ne peut pas être exclu dans la Moselle en aval de la centrale pour l’acide monochloroacétique, le sodium, l’acide dichloroacétique et le dichloroacétonitrile ; toutefois, le risque sanitaire potentiel résulte principalement des concentrations en amont de la centrale et non de ses rejets.

        Du point de vue environnemental, l’IRSN estime qu’on ne peut pas exclure un impact potentiel du rejet de certaines substances, pour tout ou partie de l’écosystème aquatique de la Moselle et de la retenue du Mirgenbach. Toutefois, selon les substances, cet impact environnemental potentiel ne concerne qu’une zone restreinte de la Moselle (zone dite de « mauvais mélange ») et repose sur des compositions hypothétiques et largement conservatives des rejets, ou sur une extrapolation très prudente des données toxicologiques.

        Pour améliorer l’estimation de l’impact potentiel des rejets de certains acides (AOX), l’IRSN recommande qu’EDF détermine plus précisément leur composition. De même, l’IRSN estime qu’EDF devrait étudier les processus de dégradation de la morpholine spécifiquement pour la centrale de Cattenom.

        http://www.irsn.fr/FR/expertise/avis/avis-reacteurs/Pages/Avis-IRSN-2012-00482-EDF-Cattenom.aspx

      3. Gilles PNS
        3 avril 2014 at 16h34

        • Redaction MZC
          3 avril 2014 at 16h58

          Nous somme à ce jour la seul association qui regroupe en son sein, des salarié(e)s non syndiqués évidement et une inter syndicale inter professionnel pour ceux qui le sont et qui réussit à parlé de la même voie des conditions de travail et de vie des salariés issu de la sous-traitance dans le nucléaire 🙂
          A méditer 🙂

        • ICT
          4 avril 2014 at 14h50

          Bravo les gars. Il faut continuer sans rien lâcher.
          MZC va de plus en plus dans la bonne direction.
          Encore merci pour votre/nôtre transparence.
          Nos conditions nucléaires ne peuvent rester en l’état et il faudra les faire évoluer dans le bon sens.
          Courage
          nous sommes avec vous

      4. webmaster MZC
        3 avril 2014 at 12h07

      5. Camélito
        3 avril 2014 at 0h47

        NUCLEAIRE

        Les brèves du CCE d’EDF SA

        En Belgique, l’Agence fédérale de contrôle nucléaire (AFCN) n’exclut pas l’arrêt définitif des réacteurs nucléaires de Doel 3 et Tihange 2, suite à des tests qui se sont révélés non concluant, notamment sur les propriétés de résistance qui semblaient plus influencées par l’irradiation que ce qu’attendait les experts

        Le consortium Cavendish Fluor Partnership (CFP) a remporté un contrat de 8,45 milliards d’euros auprès de l’Autorité de démantèlement nucléaire britannique (NDA). Cette dernière a précisé que ce contrat « concerne 12 sites nucléaires historiques qui sont dans les dernières étapes du démantèlement et, en ligne avec la stratégie de la NDA, permettra de réduire considérablement les demandes sur les deniers publics » .

        Le 1er avril, EDF a annoncé avoir finalisé l’accord avec son partenaire américain Exelon qui prévoit le transfert de la gestion opérationnelle des cinq réacteurs nucléaires qu’ils gèrent par l’intermédiaire de leur coentreprise CENG. Le groupe français prépare ainsi sa sortie du marché nucléaire américain et a bénéficié à cette occasion d’un dividende exceptionnel de 290 millions d’euros.

      6. Yvon LAURENT
        2 avril 2014 at 17h14

        Sous traitant du nucléaire :

        Impossibilité de prendre ses congés payés pendant la période estivale !
        On s’en fout de la vie familiale, de la santé, du repos des salariés (es) de leurs enfants seul l’intérêt de l’entreprise prime, seul la disponibilité des tranches nucléaire compte ! Toutes les années s’est identique ! Pas plus de 2 semaines consécutives et encore c’est l’encadrement qui choisit !! Pleins le cul ! Nous aussi nous allons nous offrir l’augmentation de 20 à 40 € du tarif de l’électricité! La double peine, nous avons TOUJOURS une double peine ! CNPE de Civaux, arrêt de tranche VP du 12 juillet à début Novembre 2014, toutes les demandes de congés payés refusées aux salariés ENDEL SCTN et CERAP (filiale) pendant les mois de Juillet, Aout et septembre !!! Des enfants seront puni de vacance avec leurs parents les autres auront de la lumière et leurs clim fonctionnera !!
        Pour les années prochaines, cela sera PIRE avec le chantier du grand carénage (amélioration sécurité et sureté des sites nucléaires)
        Plein le cul !!!!!!!!!

        Lisez ceci :
        Les principes concernant l’octroi des congés payés

        Jusqu’à l’institution en 1936 des congés payés, le contrat de travail ne prévoyait pas de temps de repos . le Dimanche chômé était considéré comme une concession à la religion ; Sous l’influence du corps médical, l’idée a fait son chemin qu’un temps de repos était nécessaire à la santé et participait à l’équilibre financier des régimes de sécurité sociale qui se sont généralisés au cours du XXième siècle quoiqu’avec retard en France par rapport à l’Allemagne..

        Deux principes doivent être pris en compte « ensemble » : c’est le droit de l’employeur à définir l’organisation du travail et le droit du salarié à la santé . Le droit du travail s’est coulé dans cette double injonction à laquelle s’en est ajouté une troisième le respect de la vie familiale.

        Lorsque le salarié fait « sa demande de congés » , la réponse qui lui est faites est donc conditionnée par trois obligations qui peuvent être contradictoires :

        Le droit de l’employeur à l’organisation du travail
        L’obligation de l’employeur de préserver la santé du salarié donc son obligation de respecter le droit à repos du salarié
        Enfin une obligation sociale qui pèse autant sur l’employeur que les salariés concernés qui doivent s’y soumettre : c’est le respect autant que faire se peut des obligations familiales des uns et des autres.

      7. webmaster MZC
        2 avril 2014 at 6h19

        Une commission d’enquête permet à une assemblée, au titre du contrôle de l’action gouvernementale, de recueillir des éléments d’information sur des faits précis concernant :

        * la gestion d’un service public (comme, par exemple, l’état des prisons, les dysfonctionnements de la justice, les dysfonctionnements du RER, la gestion de la crise sanitaire de la grippe A (H1N1), le fonctionnement des services de renseignement dans le suivi et la surveillance des mouvements radicaux armés…),

        * la gestion d’une entreprise nationale,

        * des questions de société (comme, par exemple, le sida, l’immigration, le temps de travail, l’énergie, les mécanismes de spéculation financière, l’avenir de l’industrie sidérurgique…).

        L’importance des commissions d’enquête a été confirmée par l’ajout dans la Constitution de l’article 51-2 lors de la révision constitutionnelle du 23 juillet 2008….

        – La spécificité des commissions d’enquête réside dans leurs pouvoirs particuliers : obligation de répondre à leurs convocations, auditions sous serment, pouvoirs de contrôle sur pièces et sur place des rapporteurs, possibilité de rendre publiques leurs auditions (retransmission télévisée). Le non-respect de ces obligations peut donner lieu à des poursuites pénales.

        Le rapport de la commission est publié, sauf si l’assemblée s’y oppose, et peut donner lieu à un débat dans l’hémicycle, sans vote. Il conduit souvent à des recommandations et, parfois, au dépôt d’une proposition de loi. Les suites données aux commissions d’enquête restent cependant politiquement soumises à l’accord du Gouvernement et de sa majorité.

        http://www.vie-publique.fr/decouverte-institutions/institutions/fonctionnement/parlement/assemblee-nationale-senat/qu-est-ce-qu-commission-enquete-parlementaire.html

        COUTS DE LA FILIERE NUCLEAIRE: LES CHARGES FUTURES

        Le commission d’enquête sur les coûts de la filière nucléaire présidée par François Brottes poursuit ses travaux. Après une journée de déplacement hier à Flamanville et La Hague, elle examinera ce mercredi 2 avril 2014, à l’Assemblée, la question des charges futures, en commençant par une matinée consacrée aux questions financières.
        Seront ainsi auditionnés, ce mercredi, Jean-Luc Lépine, président de la CNEF (Commission nationale d’évaluation du financement des charges de démantèlement des INB et de gestion des combustibles usés et des déchets radioactifs), à 9 heures ; puis dans une audition conjointe, Thomas Piquemal, directeur exécutif Groupe chargé des finances d’EDF ; Bernard Bigot, administrateur général du CEA, et Christophe Gégout, directeur financier du CEA ainsi que Pierre Aubouin, directeur général adjoint chargé des finances d’AREVA, à dix heures ; viendra ensuite celle de Philippe Germa, directeur général du WWF France, à 12 heures.
        Dans l’après-midi, également consacré aux charges futures, mais sous l’angle du stockage des déchets, suivront les auditions de Jacques Repussard, directeur général de l’IRSN, à 14h30 ; puis de Michel Bourguignon, commissaire de l’ASN, à 15h30. Suivra l’audition jointe de Sylvain Granger, directeur de la division Combustible d’EDF, d’Hervé Bernard, administrateur général adjoint du CEA, et de Dominique Mockly, directeur du Business Group Aval d’AREVA à partir de 16h30 ; enfin l’audition de Jacques Percebois, membre de la Commission nationale d’évaluation, est prévue à partir de 18 heures.

      8. Camélito
        2 avril 2014 at 0h37

        Les brèves du CCE d’EDF SA

        NUCLÉAIRE

        Selon le ministre des Mines nigérien, le Niger et Areva sont sur le point d’aboutir à « un accord satisfaisant » concernant le renouvellement des contrats d’exploitation de deux mines d’uranium pour une durée de dix ans.

        Le 31 mars, le 4ième et dernier générateur de vapeur pour l’EPR en construction à Flamanville est arrivé sur le chantier. L’installation de ses quatre générateurs dans le bâtiment réacteur est prévue dans les mois qui viennent.

        Selon les experts, la France n’aura pas le temps de construire de nouveaux réacteurs si les centrales actuelles ferment après 40 ans d’activité. D’ici 2025, environ la moitié des 58 réacteurs opérés par EDF auront atteint 40 ans et devront fermer au fil des ans en cas de non prolongement, provoquant un « effet falaise » sur la production d’électricité. Selon le directeur de l’IRSN, l’exploitation des centrales nucléaires jusqu’à 50 serait donc inévitable pour lisser cette chute brutale de la production.

        La compagnie d’électricité japonaise Hokkaido Power Co a demandé à la Banque du développement du Japon une injection de capitaux de 351 millions d’euros. Il s’agit du deuxième opérateur du pays à être renfloué depuis la catastrophe de Fukushima.

      9. webmaster MZC
        1 avril 2014 at 17h52

        Valls, un Premier ministre pro-nucléaire, anti-gaz de schiste

        Le nouveau Premier ministre devra mener à bien le projet de loi de transition énergétique, voulu par le président de la République. Manuel Valls a jusqu’alors affirmé son soutien au nucléaire même s’il veut en réduire la part dans le mix électrique français. En revanche, il s’est vivement opposé au gaz de schiste….

        Nucléaire, une filière d’avenir
        En ce qui concerne le nucléaire, le nouveau Premier Ministre n’est pas un opposant de principe. Il a même soutenu son collègue du Redressement productif Arnaud Montebourg face aux écologistes alors que ce dernier parlait de l’atome comme d’une « filière d’avenir ». Interrogé sur Europe 1, Manuel Valls déclarait en août 2012 : « Nous avons besoin de nucléaire, même si on réduit, dans la décennie qui vient, sa part. Nous avons besoin de renouveler nos centrales nucléaires, ses différentes filières (…) Evidemment, le nucléaire est une filière d’avenir. »

        http://www.usinenouvelle.com/article/valls-un-premier-ministre-pro-nucleaire-anti-gaz-de-schiste.N252651

      10. Sellig
        1 avril 2014 at 16h30

        Libérer la parole sur le travail

        Et maintenant ? Quatre ans après notre appel dans Le Monde et notre une de janvier 2010 sur le thème « Reprendre la parole sur le travail », une majorité des acteurs de la santé au travail est convaincue que c’est effectivement une piste pour prévenir (enfin) les risques organisationnels. C’est d’ailleurs une des dispositions novatrices de l’accord national sur la qualité de vie au travail de juin dernier. Sauf que ce n’est pas si simple.

        Il ne suffit pas de dégager du temps, de réunir les salariés et de leur garantir la liberté d’expression pour que ce soit efficace. Parler du travail, ou plus exactement de son activité, ne va pas de soi. D’abord, parce que les êtres humains ont beaucoup plus conscience des obstacles que des dimensions positives de leurs actions, lesquelles restent impensées. Ensuite, parce que dans une réunion formelle, la tendance naturelle sera de ne tenir que des propos qui peuvent être entendus par tous. Ne serait-ce que pour préserver ses propres marges de manoeuvre vis-à-vis du travail. Résultat, les échanges se cantonneront aux moyens insuffisants, au chef qui « met la pression », au manque de reconnaissance… Et pourtant, si personne n’a spontanément les mots pour dire les subtilités de son travail, l’intérêt général commande d’explorer cette nouvelle voie, de chercher à enrichir sans la travestir la parole des salariés sur leur travail. Pour qu’elle soit mieux prise en compte par les travailleurs eux-mêmes et par les concepteurs….

        http://www.sante-et-travail.fr/page.php?lg=fr&id_publication=1292&id_article=67518&ogn=MODNL_295&prov&cat

        Le bilan 2013 et perspectives 2014 de la Santé au travail vus par trois organisations syndicales

        Interview croisée d’Henri Forest, secrétaire confédéral de la CFDT, Jean-François Naton, conseiller confédéral en charge du travail et de la santé à la CGT et Bertrand Neyrand, chargé de mission confédéral de FO.

        En matière de santé au travail, quels événements marquants la CFDT retient-elle de l’année 2013 ?…
        Comment la CGT mesure-t-elle la portée de l’accord sur la qualité de vie au travail ?…
        FO n’a pas signé cet accord, pour quelles raisons ?…
        Quelles avancées positives enregistrés vous à la CGT ?…
        FO compte se mobiliser fortement sur l’accord relatif à la pénibilité. En quoi son application est elle délicate ?…
        Sur quels points de cet accord se focalisera la CFDT ?…
        Le futur Plan santé au travail est en préparation. Qu’en attendez vous à la CGT ?…
        Quelles sont vos attentes du côté de FO ?…
        Sur quels thèmes la CFDT compte se mobiliser en 2014 ?…

        http://conference.expoprotection.com/site/FR/L_actu_des_risques_professionnels_naturels__industriels/Zoom_article,I1571,Zoom-a0ab03b67dc9bc7991e496c245138a0e.htm

      11. Mika
        31 mars 2014 at 21h12

        PRO-IMPEC… Ce n’est pas encore impeccable

        On avance :
        • Le travail du dimanche sera payé à 100%,
        • La négociation va être engagée avec EDF sur les horaires de travail,

        • Respect de l’annexe 7,
        • Attribution de la prime IPS pour les salariées concernées,
        • Non-discrimination envers les CDD.

        Après ces avancées, les autres points restent en suspens…
        • Une indemnité de repas par jour travaillé à 8,60€,
        • Un déplacement à 6€ par trajet aller/retour,
        • L’égalité de traitement, de salaire et de primes pour les nouveaux CDI.

        Lors de la réunion de vendredi dernier, PRO-IMPEC entend les revendications des salarié(e)s, les trouve légitimes mais indique ne pas avoir les moyens du fait de l’appel d’offre qui a été attribué au moins disant. La Direction de PRO IMPEC demande donc à consulter EDF pour avoir des marges de manœuvres financières qui permettrait de satisfaire ses salariés.

        La balle est donc dans le camp d’EDF qui peut ainsi montrer ses valeurs sociales en faisant en sorte de rémunérer correctement les salarié(e)s de PRO IMPEC ou, mieux, rêvons un peu pour ce 1er Avril, de respecter l’article 1 du Statut en les embauchant dans ses effectifs !!!

        UN PRÉAVIS DE GRÉVE EST DONC POSE POUR LE
        MERCREDI 02 AVRIL SI LE DOSSIER N’ÉVOLUE PAS !!!

        Cruas, le 01 Avril 2014

        • charly
          31 mars 2014 at 22h32

          Le travail du dimanche payé à 200 pour cent

      12. Redaction MZC
        29 mars 2014 at 11h57

        Coût de la filière nucléaire : audition de M. Jean-Claude Delalonde (ANCCLI) – Mercredi 26 Mars 2014

        …Il n’y a pas de représentants de salariés issu de la sous-traitance dans les CLI 🙁 ce sont les Fédérations Syndicales Nationales qui mandatent leurs propres représentants 🙁
        …les représentants syndicaux élus par le personnels des sites, oust circulez , y a rien à voir … 🙁
        …les représentants des CHSCT comme le précise la Loi , non plus… 🙁


        Coût de la filière nucléaire : audition de M… par assemblee-nationale-fr

      13. Loïc
        29 mars 2014 at 11h09

        Votre acharnement va, je l’espère, payer… Bravo et merci…

        • webmaster MZC
          29 mars 2014 at 11h15

          Merci Loïc pour tes encouragements cela nous fait énormément plaisir 🙂
          Nous oublions pas les copains de Cadarache , le bonjour à tous , fais passer l’info a+

      14. Gilles PNS
        29 mars 2014 at 10h53

        🙂
        😉

      15. Redaction MZC
        29 mars 2014 at 6h42


        Lien associatif – politique : « Il faut du temps et de la ténacité »

        Pierre Blaise est secrétaire général du Centre de recherche et d’information socio-politiques (CRISP). A l’approche des élections, nous l’avons interrogé sur le rôle du secteur associatif auprès du politique et sur les rapports entre ces deux mondes.

        Quelle est la place du secteur associatif dans notre société ?

        Aujourd’hui, la vie associative est présente dans de très nombreux domaines : le monde du travail, l’enseignement, la culture, l’aide sociale, les soins de santé, la protection de l’environnement, le sport sont quelques exemples de ces secteurs dans lesquels les associations œuvrent quotidiennement. Rares sont les pans de l’activité humaine qui ne sont pas concernés par des groupes ou des mouvements. Et quand un nouveau sujet apparaît, il ne faut pas attendre longtemps pour que des personnes se rassemblent et s’organisent.
        Parce qu’il est en contact direct avec la population, le secteur associatif est bien placé pour détecter les problèmes qui se posent dans la société et pour identifier les besoins qui y émergent.

        Quel rôle joue le secteur associatif auprès du monde politique ?…

        http://www.mondequibouge.be/index.php/2014/03/lien-associatif-%E2%80%93-politique-%C2%AB-il-faut-du-temps-et-de-la-tenacite-%C2%BB/

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