Happy birthday MZC

    Voilà déjà 3 ans, que nous vous informons « ici » sur les conditions d’interventions des salariés de la sous-traitance dans l’industrie nucléaire et plus particulièrement, celles des intervenants sur les sites EDF .

    Aujourd’hui, vous trouvez sur votre/notre site internet : 2144 articles , 4782 commentaires et 39 pages à thèmes.

    Le nombre de visiteur journalier est en perpétuel augmentation. Nous vous remercions pour l’intérêt que vous nous apportez et bien évidement nous comptons sur votre aide, puisque maintenant vous savez.

    Vous êtes + de 2000 visiteurs journellement comptabilisés grâce à votre adresse IP + tous les autres visiteurs qui accèdent avec un mobile pour un total de  + 2 472 122 visiteurs depuis le début de cette aventure commencée le 05/10/2009 …

    Encore plus qu’hier , il t’appartient aujourd’hui à toi salarié de cette industrie, de t’exprimer ici «anonymat garanti» tes joies , tes peines , tes inquiétudes occasionnées par ton travail, mais surtout tes idées.

    Qui mieux que toi peut parler de ton métier ? 

    Nous avons l’espoir grâce à ton témoignage, de faire progresser le niveau de sûreté et de sécurité des installations nucléaires.

    Cet objectif ne sera réalisable, qu’avec une amélioration significative des conditions de travail et de vie, des travailleurs de cette industrie et ça, tout le monde en est bien conscient.

    Nous serons prochainement déclarés en association loi 1901 (Daniel.T et Eric.B) ont compte sur vous les gars, dépêchez-vous SVP, vous êtes très nombreux à attendre cela pour vous investir pleinement à nos côtés.

    Alors, encore une fois, bon anniversaire «ma zone contrôlée» et aussi à tous les visiteurs « en avant première », voici très certainement notre logo pour l’association…

    Nous avons lu sur le site http://www.atousante.com cette excellent article, très bien documenté de Madame Marie-Thérèse Giorgio sur la relation très étroite entre santé et travail…extraits :

    Il faudrait parvenir à réunir ces deux mots :

    santé et travail !

    Alors que le travail et la santé sont bien réunis au sein d’un même Ministère, il s’avère difficile de réunir les mots santé et travail sur le terrain de l’entreprise. Pour y parvenir, les managers doivent se former à la santé au travail et les médecins doivent se former à l’entreprise, parler le langage de l’entreprise.

    La santé au travail et ses acteurs

    La santé est une préoccupation sociétale forte, « être bien » est une exigence forte de chacun de nous. Malheureusement, elle a beaucoup de mal à entrer dans le milieu de travail : elle est  considérée comme fonction support dans l’entreprise alors qu’elle devrait être stratégique.
    La santé au travail est-elle un problème de santé qui concerne essentiellement le médecin ou bien un  problème de travail qui ne  concerne que secondairement le médecin ?

    La santé mentale au travail résulte d’un double mouvement :

    • Les environnements de travail ont changé.
      Le monde du travail actuel est bien loin de Zola, mais le travail est source de contraintes de plus en plus psychosociales. Cette notion de risque psychologique nous a longtemps échappé ce qui explique la situation actuelle.
    • Les individus  sont de plus en plus exigeants, n’acceptent pas de souffrir, c’est le progrès...
      Les attentes et les exigences des individus sont de plus en plus fortes en terme de santé.

    L’INRS sous-estime probablement les risques psychosociaux parce qu’il les a évalués à l’aide du  questionnaire de Karasek, ce qui semble assez réducteur.

    Evaluer les RPS avec le questionnaire de karasek, équivaut à ne prendre en compte que le taux de cholestérol pour évaluer le risque cardio-vasculaire…

    L’expression souffrance au travail est typiquement française : en effet, il n’existe aucune traduction en anglais pour la souffrance au travail. 
    Au Quebec, on parle de détresse  psychologique, cette expression semble plus adaptée.
    L’implication au travail est une exception  française : les Anglo-Saxons attendent du travail de quoi vivre alors que les français en attendent bien davantage : de la reconnaissance, un sens et un épanouissement d’où un surinvestissement.
    L’équation travail = souffrance est très discutable.

    Il existe une relation triangulaire entre le salarié, le manager et le médecin du travail…

     Source / Suite

    Cahier des charges social « antisocial »

    Après une analyse plus profonde de la CGT sur ce texte, celle-ci se détermine en opposition et choisi de travailler en inter-fédérale pour déterminer une position commune en terme de sous-traitance.

    Nous espérons, bien entendu, que la CGT fasse appel aux sous-traitants du nucléaire, afin d’avoir l’avis de notre population opprimée sur un sujet qui les concerne au premier degré.

    Qui serait plus légitime qu’eux pour parler de leurs avenirs ?

    Évidemment, nous appelons aussi, toutes les autres organisations syndicales à s’opposer à ce cahier des charges social « antisocial ».

    Nous ne comprendrions pas que des syndicats dignes de ce nom, valident ce texte contre l’avis d’une grande majorité des salariés de la sous-traitance nucléaire.

    Est-ce que tous ceux qui veulent le valider, oseraient le valider pour « tous » les salariés du nucléaire ? Nous ne le pensons pas ! Alors, pourquoi dire que c’est une bonne chose pour les prestataires du nucléaire ? Sommes-nous considérés comme des sous hommes y compris par les syndicats ?

    En tout état de cause, nous allons rester très vigilants sur la suite donnée par tous les syndicats sur cette affaire et nous ne manquerons pas de vous alerter sur des possibles dérives et sur les positions contraires à nos intérêts.

    Appréciation de la cgt sur le cahier des charges sous-traitance nucléaire pdf

    Ici nous respectons la loi sur les droits d’auteur et le travail de la presse et des journalistes professionnels

    Et vous…qu’en pensez vous ? 

    Tous à vos claviers !

    Nos amitiés aux uns, nôtres respects aux autres, bises à toutes et tous

      25 comments for “Happy birthday MZC

      1. geneso
        10 novembre 2012 at 20h23

        Thierry Lepaon de la CGT était l’invité de RTL du 08-11-2012 : l’émission de Jean-Michel Aphatie

        http://soundcloud.com/r-seau-nvo/thierry-lepaon-de-la-cgt-tait

      2. 26acre
        10 novembre 2012 at 20h10

        Cinq sages animeront le débat sur l’énergie aux côtés de Delphine Batho

        http://www.romandie.com

        Cinq sages, dont l’ex-patronne d’Areva Anne Lauvergeon et l’ex-directeur de Greenpeace Bruno Rebelle, animeront aux côtés de la ministre de l’Ecologie Delphine Batho le grand débat sur l’énergie qui débutera le 20 novembre, a indiqué samedi le ministère de l’Ecologie.

        Le climatologue Jean Jouzel, la directrice de l’Institut du développement durable et des relations internationales (Iddri) Laurence Tubiana et le président du conseil d’administration de Valeo Pascal Colombani complètent ce comité de pilotage, a-t-on indiqué de même source.

        Le débat sur la transition énergétique doit définir la trajectoire permettant de réduire les consommations énergétiques en France et de diminuer, comme promis par le président François Hollande, la part du nucléaire dans la production électrique.

        Ce débat débutera le 20 novembre et se poursuivra jusqu’au printemps en vue d’une loi de programmation annoncée pour juin 2013.

        Le comité de pilotage aura pour tâche d’animer les débats entre les différents collèges représentés: patronat, syndicats, associations, Etat, collectivités locales et parlementaires.

        Ce comité est une bonne alchimie, a estimé la ministre de l’Ecologie dans le quotidien Le Monde.

        L’ONG Greenpeace a toutefois qualifié d’inacceptable la composition du comité. Nous sommes scandalisés par la présence de personnalités connues pour être des ardents défenseurs du nucléaire, a-t-elle réagi dans un communiqué.

        Si Areva et EDF ne sont pas présentes officiellement dans les instances du débat, elles sont certaines d’être bien représentées par Anne Lauvergeon et Pascal Colombani, ancien administrateur général (de 2000 à 2002) du Commissariat à l’énergie atomique (CEA), a dénoncé l’ONG.

        L’ONG demande à être reçue dés que possible par Delphine Batho afin d’obtenir quelques garanties sur la teneur des débats et menace, en cas de réponse insatisfaisante, de ne pas y participer.

        • 10 novembre 2012 at 22h16

          IL SERAIS BON DE SE MANIFESTER DEVANT CES DÉBAT TRACT,action blocage routier….

          • Sylver
            10 novembre 2012 at 22h26

            Oui Daniel, je suis d’accord avec toi.

      3. webmaster 2 MZC
        10 novembre 2012 at 8h24

        Point de vue du ministère chargé du travail sur les questions relatives au démantèlement

        Thierry LAHAYE
        Chef du pôle risques physiques en milieu de travail à la sous-direction des conditions de travail, de la santé et de la sécurité au travail

        Bref rappel du contexte de démantèlement des INB (pages 2)

        Cette activité, le plus souvent confiée par les exploitants à des entreprises sous-traitantes, suscite l’intérêt de nombreux industriels.

        * Parmi ceux-ci, les institutionnelles agissant depuis des années dans le domaine nucléaire, mais aussi, plus récemment, des entreprises issues du secteur de la construction peu familiarisées au domaine nucléaire.

        * Ce marché, qui devient de plus en plus compétitif et s’ouvre à l’international, constitue un vivier d’emplois qu’il conviendra de pourvoir dans les prochaines années…

        Un risque professionnel atypique
        (pages 4)

        * Quelque soit le secteur d’activité, les chantiers de démantèlement représente un enjeu majeur en matière de prévention des risques professionnels, notamment lié au fait :

        * Que les risques observés sont de nature diverses (radiologiques, amiante, chimique),
        * que leur évaluation peut parfois être difficile, notamment lorsque l’historique de l’installation n’est pas parfaitement connu,
        * qu’ils peuvent évoluer au cours de l’opération de manière inopiné,
        * que pour les maîtriser, les compétences nécessaires sont multiples,
        * que les entreprises interviennent dans un contexte de co-activité.
        * que le donneur d’ordre ne dispose pas toujours de l’ensemble du spectre de compétences nécessaires…

        Des principes de radioprotection robustes (pages 5)…

        * Pour progresser en la matière et faire face à l’évolution du marché, il conviendra de s’assurer de la maîtrise des entreprises extérieures en matière de gestion des risques professionnels, qu’elles soient nationales ou non, ainsi que de la compétence professionnelle des intervenants en développant les filières de formation adaptées…

        En cas de sous-traitance, deux cadres réglementaires existent (pages 8)

        En cas de sous-traitance, en plus des dispositions générales, s’appliquent des dispositions qui organisent la prévention entre les différents acteurs.

        Hypothèse 1 : il s’agit de travaux ou prestations de services réalisés par une ou plusieurs entreprises afin de concourir à un même objectif (par exemple travaux de maintenance).
        Le titre 1er (inséré au CT par le décret n° 92-158 du 20 février 1992) « travaux réalisés dans un établissement par une entreprise extérieure » du livre V du CT s’applique, soit les articles R. 4511-1 et suivants du code du travail.
        Art. R. 4511-5 « Le chef de l’entreprise utilisatrice assure la coordination générale des mesures de prévention qu’il prend et de celles que prennent l’ensemble des chefs des entreprises extérieures intervenant dans son établissement. ».
        Chaque chef d’entreprise est responsable de l’application des mesures de prévention nécessaires à la protection des travailleurs qu’il emploie,
        En matière de radioprotection, ces dispositions sont reprises à l’article R. 4451-8

        Conclusions et perspectives (pages 12)

        En matière d’assainissement et de démantèlement, compte tenu des perspectives d’accroissement attendues, il convient, pour garantir une protection des travailleurs sans faille :

        * D’être vigilant aux conditions d’intervention des entreprises sous-traitantes dans les travaux de démantèlement en prenant en compte, outre les aspects liés à la prévention des risques, l’impact social sur les entreprises de l’organisation du travail en incluant cet élément dans les phases contractuelles ;

        * Identifier le dispositif réglementaire le mieux approprié en fonction de la nature et l’ampleur du chantier (chantier clos et indépendant ou non) ;

        * Examiner les possibilités de formation de coordonnateur en matière de sécurité et de protection de la santé ;

        * Veiller à ce que le processus d’évaluation des risques les prenne bien tous en compte, sans en privilégier (nucléaire, amiante, chimique,..) ;

        * S’assurer de la compétence des entreprises en matière d’organisation de la sécurité de ses travailleurs, notamment par le biais de la certification ;

        * Renforcer et mieux adapter la formation des travailleurs à la nature des risques…

        http://www.sfrp.asso.fr/IMG/pdf/07-Thierry_LAHAYE.pdf

        Conférence SFRP: Démantélement d’installations nucléaires et problématiques associées comme plusieurs thèmes y sont traités beaucoup beaucoup d’informations très très intéressantes : sureté – démantèlement en cour – formations/diplômes – prise en compte des FOH – démontage BaG – caisson Phebus – déconta laser …

        😉 http://radioprotection.eklablog.com/conference-sfrp-demantelement-d-installations-nucleaires-et-problemati-a58757013

      4. Sellig
        10 novembre 2012 at 6h54

        Pour une meilleure qualité de vie au travail, organisez-vous !

        Les remèdes aux nouvelles maladies du travail doivent être trouvés au sein même de l’entreprise et de son organisation.

        La récente publication du Rapport de la Commission du Grand Dialogue de la Poste met en exergue une problématique récurrente dans les organisations publiques ou privées depuis une vingtaine d’années : comment assurer la qualité de vie de ses employés dans un contexte économique imposant performance financière et changements permanents ?

        À l’heure où les questions de sécurité et de santé physique au travail sont bien encadrées par la législation et suivies par des services adaptés – en comparaison avec la France d’après-guerre ou d’autres régions du globe –, de nouvelles formes de maux apparaissent en effet : risques psychosociaux, burn-out, stress, que l’on classe sous la vaste bannière de « mal-être au travail ».

        Ce mal-être est difficile à appréhender, ses causes sont multiples et ses manifestations variées. Toutefois, les entreprises françaises s’en préoccupent de plus en plus, et pour cause, au-delà des évènements tragiques auxquels il conduit, comme les suicides chez Orange ou Renault, le mal-être au travail a des conséquences directes sur la performance : accidents de travail, baisse de la productivité, réduction du temps de travail (plus de 37 millions de jours d’ITT en France en 2010 ), coût élevé des arrêts maladies (plus de 11 milliards pour la Sécurité sociale en 2008 ), etc.

        On a ainsi pu observer ces cinq dernières années nombre d’initiatives visant à améliorer la qualité de vie des salariés : mise en œuvre d’un « nouveau contrat social » chez Orange, déploiement d’un dispositif d’identification et de prévention du stress chez EADS, sans compter les actions de « team building » foisonnant dans les entreprises de toutes tailles : associations, évènements sportifs, séminaires.

        S’attaquer aux causes du mal-être au travail…

        http://lecercle.lesechos.fr/entreprises-marches/management/rh/221158370/meilleure-qualite-vie-travail-organisez

      5. Dominical
        9 novembre 2012 at 23h59

        Travail dominical : Horaires de travail et modification du contrat de travail. Par Benjamin Chabernaud, Avocat

        L’employeur ne peut contraindre un salarié à travailler le dimanche. Nous avons déjà eu l’occasion de dire que la frontière est parfois très ténue, entre les faits relevant ou non du pouvoir de direction de l’employeur, c’est-à-dire entre les faits relevant du changement des conditions de travail du salarié, ou de la modification du contrat de travail de ce dernier (cf. Article).
        La Chambre sociale de la Cour de cassation a publié un arrêt en date du 2 mars 2011 à la fois au Bulletin des arrêts de la Cour de cassation, et au Bulletin d’information bimensuel de la Cour de cassation (Cass. soc. 2 mars 2011, n° 09-43.223), à l’occasion duquel, au visa de l’article L 1221-1 du Code du travail, elle énonce en substance qu’un salarié est en droit de refuser la modification de la répartition de ses horaires de travail qui a pour conséquence de le priver de son repos dominical.

        Extrait :
        « Vu l’article L. 1221-1 du code du travail
        [ …] Attendu que pour dire le licenciement de M. X… fondé sur une cause réelle et sérieuse, la cour d’appel retient que le salarié ne se prévalait pas d’une clause contractuelle excluant le travail les samedi et dimanche et que la modification des jours et horaires de travail décidée par l’employeur était justifiée par des impératifs de fonctionnement ;

        Qu’en statuant ainsi, alors que la nouvelle répartition de l’horaire de travail avait pour effet de priver le salarié du repos dominical, ce qui constituait une modification de son contrat de travail qu’il était en droit de refuser, la cour d’appel a violé le texte susvisé […] »

        Autrement dit, en visant des dispositions de l’article L 1221-1 du Code du travail, la Cour de cassation :

        rappelle d’une part que le contrat de travail est un contrat par principe consensuel car soumis aux règles du droit commun et peut être établi selon les formes que les parties contractantes décident d’adopter ;

        énonce d’autre part que la modification de la répartition du temps de travail hebdomadaire constitue une modification du contrat de travail nécessitant l’accord des parties au contrat, et donc du salarié, notamment si elle a pour conséquence, comme en l’espèce, de le priver de son droit au repos dominical.

        Ainsi la Cour de cassation, par cet arrêt, nous rappelle indirectement que le repos dominical est un principe édicté par le législateur « Dans l’intérêt du salarié » (C. trav., art. L. 3132-3), et continue à préciser les frontières de ce qui relève ou non du pouvoir de direction de l’employeur.

        Car si en principe la fixation des horaires de travail relève du pouvoir de direction de l’employeur, (ex : Cass. Soc. 22 février 2000 n° 97-44339) ce n’est que dans la limite où elle ne contrevient pas à modifier de manière substantielle les conditions d’exécution de son travail par le salarié.

        Ce qui est le cas, notamment, si cette modification a pour conséquence :

        de répartir les horaires de travail du salarié sur 5 jours au lieu de 4 jours (Cass. Soc. 23 janvier 2001 ; n° 98-44331)
        de faire passer le salarié d’un horaire de jour à un horaire de nuit (Cass. Soc. 24 mars 2010, n° 08-43324) ;

        de faire travailler le salarié un samedi entier sur deux alors qu’il ne travaillait jusqu’alors que du lundi au vendredi (Cass. Soc. 22 octobre 2003 n° 01-42651) ;

        de priver le salarié une semaine sur deux du bénéfice du repos hebdomadaire de deux jours consécutifs (Cass. Soc. 22 octobre 2003 n° 01-42651) ;

        de faire travailler le salarié deux dimanches sur trois, et non plus un dimanche sur trois (Cass. Soc. 17 novembre 2004 n° 02-41600) (nb : dans cette espèce, l’activité de l’entreprise relevait de la dérogation prévue par les dispositions de l’article L3132-12) ;

        de le priver de son droit au repos dominical (arrêt commenté).

        Rappelons enfin que l’importance du repos dominical a été rappelée récemment par le législateur.

        La loi n° 2009-974 du 10 août 2009 visant à adapter les dérogations au repos dominical a réaffirmé le principe du repos dominical (C. trav., art. L. 3132-3).

        Elle a ainsi prévu que :

        le refus pour un demandeur d’emploi d’accepter une offre d’emploi impliquant de travailler le dimanche ne constitue pas un motif de radiation de la liste des demandeurs d’emploi (C. trav., art. L. 3132-3-1) ;

        chaque salarié doit en principe bénéficier d’un repos hebdomadaire de trente cinq heures consécutives (C. trav., art. L. 3132-2) ;

        ce repos doit intervenir par principe le dimanche (C. trav., art. L. 3132-3).
        Par ailleurs, la jurisprudence a fixé que :

        le repos dominical doit être donné collectivement à tout le personnel ;

        ce repos ne peut qu’être donné de zéro heure à vingt-quatre heures, c’est-à-dire du samedi soir minuit au dimanche soir minuit. Cette solution a été consacrée par la jurisprudence (Arrêt de principe : Cass. crim., 19 janv. 1907) (source : LexisNexis SA) ;

        enfin, pour les entreprises bénéficiant d’une dérogation au repos dominical sur autorisation préfectorale (C. trav., art. L. 3132-20 et L. 3132-25-1) et qui ne peut concerner que les salariés volontaires, le refus de travailler le dimanche pour un salarié d’une entreprise bénéficiaire d’une telle autorisation ne constitue par une faute ni un motif de licenciement (C. trav., art. L. 3132-25-4) (ibid).

        L’employeur doit par conséquent prêter une attention particulière sur l’impacte que sa décision de modifier les horaires de travail du salarié pourrait avoir sur la vie privée de ce dernier.

      6. XXL
        9 novembre 2012 at 23h15

        Clause de mobilité géographique dans le contrat de travail par Yves Nicol, avocat Lyon – Licenciement- Lien permanent

        Toutes les clauses de mobilités géographique ne sont pas valables.

        Les clauses de mobilité sont courantes dans les contrats de travail et elles sont en général nécessaires aux entreprises. Quelquefois ces clauses sont valables, mais elles peuvent aussi être des mutations abusives.

        Dès l’embauche, il convient de s’entendre avec le salarié concernant des mutations possibles ultérieurement si la situation de l’entreprise l’exige, ou bien tout simplement dans le cadre des évolutions professionnelles normales.

        Le principe est que l’employeur peut imposer une mutation au salarié dont le contrat de travail comporte une clause de mobilité. Mais attention, toutes les clauses de mobilités ne sont pas des clauses de mobilité régulières. En effet, certaines clauses n’ont strictement aucune valeur.

        La clause de mobilité doit être délimitée géographiquement.

        La limite géographique est souvent le problème dans les contentieux portés devant le Conseil de prud’hommes. Pour être opposable au salarié, la clause doit préciser clairement la zone au sein de laquelle le salarié peut être muté. Par exemple : région Rhône-Alpes et Auvergne. Le salarié peut refuser une mutation opérée en application d’une clause de mobilité imprécise, non délimitée géographiquement.

        La jurisprudence est constante en ce domaine. Une clause de mobilité doit définir de façon précise sa zone géographique d’application et ne peut conférer à l’employeur le pouvoir d’en étendre unilatéralement la portée.

        En particulier, les clauses de mobilités donnant la possibilité à l’employeur de muter le salarié « sur tous les sites où la société est implantée »…etc , sans précision géographique, sont des clause qui n’ont aucune portée et qui sont nulles.

        Et si le salarié est amené à se déplacer en permanence chez des clients ?

        Dans un arrêt très récent, en date du 17 mars 2010, la Cour de cassation a jugé nulle la clause contractuelle de mobilité d’un ingénieur, qui prévoyait : ‘ compte tenu de la nature des activités de la société, le salarié pourra être appelé à exercer ses fonctions dans les installations de ses entreprises clientes. »

        Par conséquent, même dans ce type de situation, dans laquelle la société emploie pourtant des consultants, ingénieurs…etc qui se déplacent en permanence chez des clients partout en france, la jurisprudence est très stricte : clause de mobilité imprécise = clause nulle.

        Source : Cassation sociale 17 mars 2010, n° 08-43368. YN avocat Lyon juillet 2010

        • Barbiche
          9 novembre 2012 at 23h48

          « sur tous les sites où la société est implantée »

          Cette phrase on la trouve dans la majorité des contrats de travail des salariés des entreprises privées du nucléaire !

          Si je comprend bien, ils nous font circuler dans toute la France sans avoir le pouvoir de le faire.

          Merci pour l’info. Très intéressant !!!

      7. Sylver
        9 novembre 2012 at 23h01

        Utilisation d’un véhicule personnel dans le cadre professionnel dans les entreprises sous la convention collective SYNTEC;

        En vigueur étendu

        Lorsque le salarié utilise pour les besoins du service un véhicule automobile, une motocyclette ou un cyclomoteur, les frais occasionnés sont à la charge de l’employeur, à condition qu’un accord écrit ait précédé cette utilisation. Cet accord peut être permanent.

        Le remboursement de ces frais tiendra compte de l’amortissement du véhicule, des frais de garage, de réparations et d’entretien des frais d’assurances et, éventuellement, des impôts et taxes sur le véhicule.

        Le salarié devra être possesseur des documents nécessaires à la conduite du véhicule utilisé, et être régulièrement couvert par une assurance garantissant sans limitation le risque de responsabilité civile » affaires déplacements professionnels » et notamment de responsabilité civile de son employeur, en cas d’accident causé aux tiers du fait de l’utilisation de ce véhicule pour les besoins du service.

        La communication de ces pièces (carte grise, permis de conduire, assurance, vignette) vaut engagement de la part du salarié de rester en règle à ce sujet, toute modification ultérieure devant être immédiatement signalée à l’employeur.

        Tout manquement à cette obligation dégage la responsabilité de l’employeur

      8. Camélito
        8 novembre 2012 at 21h34

        Les brèves au quotidien du CCE d’EDF SA

        Un référendum sur l’énergie nucléaire en Bulgarie se déroulera le 27 janvier 2013. La question posée sera : « La Bulgarie doit-elle développer l’énergie nucléaire par la construction d’une nouvelle centrale nucléaire ? ».

        Cependant, de nombreux analystes estiment que la question, qui évoque sans le mentionner clairement le projet de construction d’une deuxième centrale nucléaire à Béléné, est trop spécialisée et que les bulgares manquent d’informations cruciales sur le coût de la construction de la centrale et de l’électricité produite, ainsi que sur l’identité de l’investisseur.

        Au Japon, selon l’agence de presse Kyodo qui cite l’Autorité de régulation nucléaire (NPA), quatre des six membres de l’équipe gouvernementale chargée de fixer les règles de sécurité pour les réacteurs du pays auraient reçu des milliers de dollars de financement de la part de l’industrie nucléaire.

      9. david b
        8 novembre 2012 at 19h25

        Des bâtiments ont été évacués à la centrale nucléaire

        Vingt-sept salariés d’EDF et d’entreprises sous-traitantes ont dû être évacués de bâtiments à la centrale nucléaire de Cruas-Meysse, ce mardi 6 novembre à 8 heures 10. Il s’agit de l’unité de production n°2, actuellement en arrêt pour le renouvellement de combustibles et des opérations de maintenance.

        « Cette évacuation a été ordonnée, par précaution, après détection d’un dégagement de vapeur dans un local spécifique et fermé. Le dégagement de vapeur a été stoppé. Aucun salarié ne se trouvait à l’intérieur du local au moment de l’événement. Il n’y a ni blessé, ni rejet dans l’environnement », précise la direction de la centrale.

        Les salariés évacués ont effectué un contrôle médical « pour s’assurer de l’absence de contamination ». L’accès aux bâtiments a été de nouveau autorisé à 9 heures 30, à l’exception du local où le dégagement de vapeur s’est produit.

        Une expertise est menée pour déterminer la cause de cet incident.

        http://www.ledauphine.com/ardeche/2012/11/06/des-batiments-ont-etre-evacues-a-la-centre-nucleaire

      10. Sellig
        8 novembre 2012 at 18h17

        Nucléaire: un sondage montre des divergences d’opinion franco-allemandes

        Français et Allemands entretiennent des opinions divergentes sur les politiques énergétiques et notamment le recours au nucléaire dans leurs pays, même si elles se rejoignent sur plusieurs points, montre un sondage réalisé de part et d’autre du Rhin et publié jeudi…

        Les attitudes sur la transition énergétique (définie comme la baisse du recours aux énergies fossiles au profit des énergies renouvelables) traduisent la plus grande sensibilité à l’environnement outre-rhin: 67% des Français estiment qu’elle ne doit se faire que si elle n’entraîne pas de hausse des prix de l’énergie (contre 47% des Allemands).

        A l’inverse, 33% des Allemands estiment qu’il s’agit d’une priorité quelles que soient les conséquences sur les prix, contre 25% des Allemands.

        De même, si les deux peuples placent le coût de l’énergie en tête de leurs préoccupations en matière d’énergie, l’environnement arrive derrière pour les Allemands, alors qu’il s’agit de la sûreté des installations de production pour les Français…

        http://www.romandie.com/news

        La justice pénale face aux drames de santé publique

        La mise en examen mardi soir de Martine Aubry pour « homicides et blessures involontaires » dans l’un des dossiers de l’amiante relance le débat sur l’adaptation de la justice pénale à traiter les drames de santé publique après les non-lieu ou relaxes dans des affaires emblématiques comme le sang contaminé ou l’hormone de croissance.

        La juge d’instruction du pôle de santé publique de Paris, Marie-Odile Bertella-Geffroy, saisie des dossiers de l’amiante, cherche à déterminer quelles sont les responsabilités des industriels et des fonctionnaires dans cette catastrophe sanitaire. Plusieurs fonctionnaires du ministère du Travail ou de la Santé ont été mis en examen. Le successeur de Mme Aubry à la Direction des relations du travail (DRT), Olivier Dutheillet de Lamothe, est convoqué en vue de sa mise en examen. La DRT était chargée, entre autre, d’édicter des règles de sécurité et de conditions de travail dans les entreprises.La mise en examen mardi soir de Martine Aubry pour « homicides et blessures involontaires » dans l’un des dossiers de l’amiante relance le débat sur l’adaptation de la justice pénale à traiter les drames de santé publique après les non-lieu ou relaxes dans des affaires emblématiques comme le sang contaminé ou l’hormone de croissance…

        http://www.challenges.fr/monde/20121107.FAP3857/la-justice-penale-face-aux-drames-de-sante-publique.html

        On a un million de jeunes sans emploi, et la moitié n’en cherche plus

        La France a dépassé les trois millions de chômeurs. Avec une croissance faible, que faut-il pour faire baisser le chômage ?

        A court terme, cela semble difficile : tout dépend du contexte international. Une politique de soutien de la demande raisonnée, en s’affranchissant de l’objectif des 3 % de déficit en 2013, pourrait certes donner de l’air…

        Pourquoi ce sujet n’est-il pas au coeur des débats ?

        Les partenaires sociaux n’ont pas intérêt à s’en préoccuper, car ils vivent beaucoup de la gestion d’une multiplicité d’organismes paritaires, ce qu’a fort bien montré le rapport Perruchot de février 2012. On ne voit pas très bien pourquoi les partenaires sociaux couperaient seuls la branche sur laquelle ils sont assis sans que d’autres solutions leur soient offertes. Et on ne peut pas réformer le marché du travail contre eux, car ils ont une forte capacité de mobilisation sur ce sujet.

        Le paritarisme syndicats-patronat, c’est l’ennemi ?

        Pas le paritarisme, mais son fonctionnement, son manque de transparence et ses sources de financement. Par exemple, dans le domaine de la formation professionnelle : 6 milliards d’euros sont collectés chaque année par les organismes paritaires collecteurs agréés (OPCA) et quasiment personne dans l’opinion ne sait à quoi ils servent. Un enjeu essentiel du quinquennat devrait être de réformer le paritarisme français…

        Que faire ?

        La loi pourrait limiter le nombre et la durée des mandats syndicaux et en même temps inciter les salariés du privé à avoir des mandats en dehors de leur entreprise. Il est vital d’enraciner la représentation syndicale dans le secteur privé et d’avoir des syndicats dont les sources de financement proviennent majoritairement des cotisations de leurs adhérents. On peut imaginer un chèque syndical financé par des fonds publics et attribué selon les choix des salariés. Le syndicalisme de services, tel qu’il existe dans de nombreux pays européens, est une solution pour inciter les salariés à adhérer. On peut aussi envisager d’instaurer une obligation de se syndiquer pour bénéficier des accords collectifs. Aborder ces sujets est essentiel pour pouvoir corriger la dérive du syndicalisme français, qui représente moins de 5 % de salariés dans le secteur privé, et pratiquement 0 % dans les petites entreprises. On ne peut pas penser une démocratie sociale avec des syndicats absents des entreprises…

        http://www.lemonde.fr/culture/article/2012/11/08/on-a-un-million-de-jeunes-sans-emploi-et-la-moitie-n-en-cherche-plus_1788089_3246.html

      11. la sûreté
        7 novembre 2012 at 22h54

        Dimanche dernier des coques du bac pleines confondues avec des vides sont montées dans le BR 20 mètres à l’ouverture ils se sont aperçus de leurs erreurs retour en direction du BAC et tous cela sans DI82 …
        Le cariste a pris 40 pions au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit, et enseignez-leur à observer Amen.

      12. Smooth
        7 novembre 2012 at 22h04

        Tous ces incidents de tous les jours dans les centrales nucléaires ce ne sont que des petites répliques qu’annoncent le gros coup de bélier.
        Cela s’appelle la loi des séries et aujourd’hui l’incident majeur dans une centrale nucléaire semble inévitable.
        Nous finirons bien par payer le prix fort de notre politique de réduction des coûts dans cette industrie pas comme les autres.
        Le pire dans tout cela, c’est qu’une fois de plus les victimes ne sont pas responsables de la politique industrielle d’EDF .

      13. bouba
        7 novembre 2012 at 21h34

        Encore une fuite sur un circuit de la centrale nucléaire de penly.
        2 dans le mois sur deux tranches nucléaires différentes, ça commence à faire beaucoup.
        Le pire c’est que ça arrive sur des opérations d’entretien

        Oui, à force de jouer avec le prix de la maintenance et avec les hommes qui la réalisent, ça ne va pas tarder à faire boummm.

        • carnel
          7 novembre 2012 at 21h44

          Tu as raison et plus que raison.
          La semaine dernière 27 salariés on été évacués de la zone contrôlée de la centrale nucléaire de Cruas, suite à une fuite provocant le déclenchement de l’alarme incendie.

          Comme tu dis, un jour ça va faire boum à force qu’EDF nous prenne pour des cons et des merdes.

        • 8 novembre 2012 at 0h57

          Tiens les infos n’ont rien dit.
          Mais qui informe encore une fois les citoyens. C’est les invisibles ceux que EDF SA prend pour leurs esclaves.

          Continuer a relayer ce site,et pourtant ils nous l’avaient dit.

        • Richard coff
          8 novembre 2012 at 11h35

          Si nous analysons tous les incidents du nucléaires en France nous pouvons constater que le nucléaire est devenu un vrai panier percé. Ceci est le résultat d’une mauvaise gestion des hommes au travail et forcement des activités de maintenance. Autrement dit, je suis d’accord avec vous, nous allons vers un gros coup dans le nucléaire à force d’avoir des petites secousses.
          Pour moi, les chsct et les syndicats de l’énergie doivent avoir un regard particulier sur cette question sans avoir peur de casser l’image du nucléaire parce que le jour du grand boum chez nous, son image sera faite et définitive.

          • margot
            8 novembre 2012 at 14h31

            Tout est dit avec ton commentaire et nous devons le prendre en compte pour l’avenir de notre industrie.

            Tous, nous sommes responsables des « non dit » et d’un futur gros problème d’ampleur dans le nucléaire.

            Si nous ne disons rien sur notre état de santé, demain à l’annonce de la maladie grave il ne nous restera que la mort du nucléaire a jamais.

            Comment soigner si nous nous cachons la maladie actuelle. Refuser l’état aujourd’hui c’est accepter la mort demain par manque de soins.

            Se cacher la vérité au nom de l’image du nucléaire c’est accepter l’arrêt total de l’image demain au nom du non traitement actuel des causes.

      14. Sellig
        7 novembre 2012 at 18h25

        Le coût de l’accident nucléaire de Fukushima pourrait doubler

        Le coût du traitement de l’accident nucléaire de Fukushima, comprenant la décontamination et le dédommagement des victimes, pourrait atteindre 100 milliards d’euros, le double de la somme prévue, selon la compagnie gérante de la centrale, ruinée par le tsunami du 11 mars 2011.

        La catastrophe de Fukushima, la plus grave du secteur depuis celle de Tchernobyl (Ukraine), en 1986, a entraîné d’importantes émissions radioactives dans l’air, les sols et les eaux de la région, et a obligé une centaine de milliers d’habitants à quitter leur logement. La somme de 10 000 milliards de yens (100 milliards d’euros), qui relève pour l’heure de l’hypothèse, ne comprend toutefois pas les charges liées au démantèlement des quatre réacteurs ravagés sur les six que compte le site. Ces opérations dureront autour de quarante ans et nécessiteront le développement de nouvelles techniques ainsi que la formation de milliers de techniciens…

        http://www.lemonde.fr/japon/article/2012/11/07/le-cout-de-l-accident-nucleaire-de-fukushima-pourrait-doubler_1786969_1492975.html

        Fuite des cerveaux : la France est-elle en train de perdre ses talents ?

        Si peu de chercheurs français s’expatrient en Amérique du Nord, la France doit améliorer son attractivité pour faire revenir les meilleurs et surtout séduire elle aussi les pointures internationales.

        La France est-elle confrontée à la fuite de ses cerveaux ? Cette question peut choquer dans la mesure où la France se situe historiquement parmi les premières destinations préférées des étudiants et chercheurs étrangers au niveau mondial (troisième rang en 2010).

        Cependant, la question mérite d’être posée révélant des changements à l’œuvre sur le plan international. La recherche, l’enseignement supérieur et le marché du travail du haut niveau sont devenus plus que jamais mondialisés. Il existe aujourd’hui une véritable compétition internationale donnant lieu à des pratiques peu connues auparavant pour attirer les meilleurs talents des autres pays…

        http://www.atlantico.fr/decryptage/fuite-cerveaux-france-est-elle-en-train-faire-perdre-talents-saeed-paivandi-534157.html

        SYNDICALISME A L’ISSUE D’UNE RUDE BATAILLE INTERNE, UN NORMAND SUCCÉDERA À BERNARD THIBAULT

        LA CGT CHOISIT LEPAON

        OUF ! TOUT EST ENFIN RÉGLÉ. Alors que durant des décennies, les secrétaires généraux de la CGT étaient désignés par le Parti communiste, dont ils étaient membres, la succession de Bernard Thibault a donné lieu à une terrible lutte interne, qui a finalement débouché sur une solution de compromis.

        En mars prochain, le cheminot à la coiffure de Playmobil surnommé le » sphinx » sera remplacé par un métallo normand de 52 ans. Ancien chaudronnier, ancien de Moulinex, lorsque l’entreprise d’électroménager a été restructurée en 2001, Thierry La Paon dirigeait jusqu’à présent l’union départementale du Calvados…

        http://www.vosgesmatin.fr/actualite/2012/11/07/la-cgt-choisit-lepaon

      15. miguel
        7 novembre 2012 at 6h32

        Jamais le nucléaire n’a eu autant de pépins techniques et organisationnels et la loi des séries nous dit que nous sommes très proches d’une grosse cata chez nous si rien n’est fait sur le social, le technique, ….

        Merde, ils sont devenus fous.

        Je vais travailler avec la peur au ventre et ça aussi, n’est pas bon pour le nucléaire et encore moins pour moi.

        Merci à ce site que depuis trois ans nous informe et nous permet d’informer les autres sans prendre le risque d’être identifier par nos patrons voyous.
        Bon anniversaire à mon site préféré.

      16. vérité
        7 novembre 2012 at 0h11
      17. La Taupe
        6 novembre 2012 at 23h50

        Après les experts gouvernementaux payés par l’industrie nucléaire au Japon (1), voilà le scandale des contrefaçons en Corée. Le nucléaire est il compatible avec des méthodes de margoulins ?

        Comment se fait il que les médias si prompts à pister le moindre fait venant du nucléaire ont-ils fait silence sur ces deux affaires ?

        Ces affaires ne remettent elles pas en cause un système uniquement basé sur la recherche du fric à tout prix et qui sévit dans tous les domaines ?

        Sommes-nous condamnés à attendre la prochaine catastrophe ?

        Scandale nucléaire en Corée du Sud : un incident sérieux a été étouffé le mois dernier

        http://gen4.fr/2012/03/scandale-nucleaire-en-coree-du-sud-un-incident-serieux-a-ete-etouffe-le-mois-dernier.html

        Scandale de contrefaçon nucléaire en Corée du Sud

        http://www.lemonde.fr/planete/article/2012/09/03/scandale-de-contrefacon-nucleaire-en-coree-du-sud_1754896_3244.html

        Ces experts gouvernementaux qui étaient payés par l’industrie nucléaire

        http://www.20minutes.fr/ledirect/1035402/japon-experts-gouvernementaux-payes-industrie-nucleaire

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