Certains rient et d’autres pleurent…

    Au sommaire :

    On  prend les châteaux le 03/06 !..  Areva condamné après la mort d’un ex-salarié… Des négociations sur la : flexibilité pour + de compétitivitéJe t’aime moi non plus…Crise de l’Euro, ça continu…

    Le 03 Juin 2012 prenons les Châteaux, extrait :

    Après le succès de la prise de la Bastille du Sud à Crest, on s’attaque aux châteaux… Et on attend un invité de marque mais chut 🙂 

     Audition sur le nucléaire

    Conseil régional du 10 mai 2012 Corinne Morel Darleux extrait :

    Aujourd’hui en commission énergie – climat à la Région Rhône Alpes, c’était la suite de nos auditions des acteurs du nucléaire : l’IRSN (Institut de Radioprotection et de Sûreté nucléaire) suivi du réseau Sortir du Nucléaire. Pour le réseau c’est Charlotte Mijeon qui est là…

    Bon, je résiste à mon envie de leur proposer d’embaucher Eric Besson, dont j’ai réalisé il y a peu qu’on allait le récupérer dans la Drome maintenant qu’il n’est plus au gouvernement. Et je me concentre sur trois points:

    Un, le « facteur humain et organisationnel » lié à la sous traitance, en termes de formation, de conditions de travail, de procédures, de durées de maintenance… Le tout touchant directement à la sûreté et sécurité des installations. Je rappelle qu’on a retrouvé des pompes sorties de site nucléaire en loucedé, en vente sur des sites de petites annonces sur Internet (sic). https://www.ma-zone-controlee.com/wp-content/uploads/2012/02/Pompe-PTR-131-PO..pdf

    Autre question : les futurs départs en retraites et manque de transfert de savoir faire sont ils pris en compte comme risque dans les avis rendus par l’IRSN à l’Autorité (ASN) ?

    Enfin, l’aspect « coûts », notamment sur la prolongation des réacteurs et le démantèlement des centrales, sont il pris en compte ? L’IRSN reçoit-il des consignes économiques ?

    Source / suite 

     Maladie professionnelle Areva condamné, extraits :

    Le groupe Areva a été condamné, hier, après le décès, en 2009, d’un ex-salarié qui travaillait dans une mine d’uranium au Niger, victime d’un cancer. Un jugement qui pourrait ouvrir la voie à d’autres poursuites.

    Ce jugement pourrait ouvrir la voie à d’autres poursuites et condamnations: le groupe Areva a été condamné, hier, après la mort d’un ex-salarié d’une mine d’uranium du groupe nucléaire français, au Niger. Serge Venel est décédé en juillet2009 d’un cancer du poumon, à l’âge de 59 ans. Il avait travaillé de 1978 à 1985 pour une filiale d’Areva, la Cominak, société de droit nigérien qui exploite des mines d’uranium du groupe à Akokan, au nord-ouest du Niger. Quelques mois avant sa mort, le pneumologue avait indiqué que la cause du cancer était «l’inhalation de poussières d’uranium», a expliqué la fille de la victime, Peggy Venel, lors de l’audience en février.

    Victimes de l’amiante

    Source / suite

    Le géant du nucléaire doit verser 200.000 € à la famille d’une victime d’un cancer du poumon, extrait :

    C’est un jugement qui pourrait faire jurisprudence. Vendredi, le tribunal des affaires de Sécurité sociale de Melun a condamné Areva après la mort d’un ex-salarié d’une mine d’uranium du groupe français au Niger, victime d’ un cancer du poumon.

    « Une faute inexcusable »…

    Source / suite

    La négociation syndicats-patronat reportée, extrait :

    La négociation entre le patronat et les syndicats sur les accords de flexibilité, qui devait reprendre le 16 mai, a été reportée, le temps de s’assurer que le futur gouvernement traduira dans la loi un éventuel accord, ont expliqué mercredi à l’AFP la CFDT et la CFTC.

    Le Medef a annoncé dans un communiqué avoir « convenu avec plusieurs organisations syndicales » de reporter « à une date ultérieure » la négociation sur les accords de sauvegarde de l’activité et de l’emploi (initialement baptisés « compétitivité-emploi »).

    Le patronat souhaite auparavant, comme l’a proposé la CFDT, rencontrer avec les partenaires sociaux le président élu François Hollande avant les législatives des 10 et 17 juin, afin de « préciser la méthode de travail et l’agenda social »….

    Source / suite

    Quand on parle de compétitivité, de quoi parle-t-on ? extrait :

    Compétitivité est l’un des mots-clés de la campagne présidentielle. Mais cette notion varie énormément selon que l’on se trouve de tel ou tel côté de l’échiquier politico-économique.

    Analyse et éléments d’explication sur ce point de Gilles Le Blanc, professeur à Mines Paris Tech, et économiste associé à l’Usine Nouvelle…

    Trois grands courants peuvent être distingués dans les différentes interventions d’hier. Le premier met en avant le rôle macroéconomique de la compétitivité (sur la croissance, les échanges et la balance des paiements, l’emploi). Une deuxième approche se concentre sur les structures de coût des entreprises (en particulier le coût du travail et la fiscalité). Enfin la troisième lecture s’attache à identifier les facteurs et conditions d’amélioration de la compétitivité (investissement, innovation, formation)

    Source / suite

     Relations donneurs d’ordres/sous-traitants l’avenir de la médiation, extrait : 

    La sous-traitance demeure une question cruciale et les différentes mesures pour assainir les rapports de force depuis les Etats généraux de l’industrie (EGI) de 2010 ont eu un impact assez limité. Pour preuve la Commission d’examen des pratiques commerciales (CEPC) dénonce régulièrement dans ses avis la persistance de nombreuses pratiques abusives.

    En décembre 2010, le médiateur des relations inter industrielles et de la sous-traitance, Jean-Claude Volot concluait qu’il n’était pas nécessaire de légiférer contre les « 36 mauvaises pratiques » [appels d’offres avec des prix et des conditions irréalisables, contrats commerciaux léonins, rapatriement brutal d’activité sous-traitée, exploitation de brevet et de savoir-faire sans l’accord du sous-traitant, baisses de prix imposées unilatéralement sur des programmes pluriannuels, etc.], à condition que les lois existantes soient appliquées…

    Source / suite

     L’incendie grec menace à nouveau, extrait :

    La crise politique à Athènes réveille le scénario de la sortie de la Grèce de la zone euro. Une hypothèse d’autant plus dangereuse aujourd’hui que l’Espagne est à son tour affaiblie. Les conséquences d’une telle issue seraient non seulement économiques, mais aussi géopolitiques.

    L’Europe n’a pas un instant de répit, comme si elle se vengeait du fait que, pendant des décennies, personne ne lui a accordé la moindre attention. Quelques jours seulement après la victoire de François Hollande en France, une petite lueur d’espoir, nous voilà de nouveau confrontés aux deux problèmes qui sous-tendent cette crise…

    Source / suite

    (Ici nous respectons la loi sur les droits d’auteur et le travail de la presse et des journalistes professionnels)

    Et vous…qu’en pensez vous ?

    Nos amitiés aux uns, notre respect aux autres, bises à toutes et tous

    Qui veut faire quelque chose trouve un moyen, qui ne veut rien faire trouve une excuse….

     

      26 comments for “Certains rient et d’autres pleurent…

      1. Marie
        20 mai 2012 at 19h03

        Bien sur que je crois à l’unité mais pour l’instant je suis déçue; ça va passer avec le temps.
        Battons-nous ensemble avec tous les syndicats pour le seul intérêt des salariés et aussi de notre industrie.
        Ensemble, nous gagnerons.

      2. faite l'amour pas la guerre
        20 mai 2012 at 7h26

        Salut à tous,
        je lis les commentaires pour voir se qui se passe sur ce blog;
        Parler de sous traitance dans le nucléaire, je pense que vous connaissaient le sujet, mais le mot sous traitance, c’est très large, et les conditions de vie au travail ou rémunération sont égalent,voir pire.
        Une action nationale ? oui pourquoi, pour qui ?
        Faire du bruit c’est super, pourquoi pas demander aux syndicats de site de fermer eux mêmes leurs sites ?
        Ne voient-ils pas ce qui se passe ?
        Ont-ils des peaux de saucissons devant les yeux, c’est eux qui doivent bouger.
        Demander aux smicarts que nous sommes de perdre de l’argent, je ne vois pas l’utilité, ou alors il faut partir sur une action lourde et longue, qui peut le faire ?

        • Fabien
          20 mai 2012 at 11h50

          « Qui peut le faire? » tous ceux qui n’ont plus envie de subir! tous ceux qui laissent leur santé avec les doses et les produits CMR.

          « Demander aux syndicats de site de fermer les sites »
          ça s’appelle faire grève par procuration ! allez les gars, fermez les portes pour nous et nous attendrons bien tranquilles que ça se passe. Ce n’est pas sérieux tout simplement.

          « Demander aux smicards de perdre de l’argent »
          T’as déjà vu attraper des mouches avec du vinaigre ?
          Bien sur qu’il faut partir dans un mouvement d’ampleur nationale et que le nombre fera notre force. Les collègues de SPIE DEN l’ont fait pendant 12 jours et ils ont gagné, alors qu’eux aussi sont des smicards.
          Pas d’excuses, il faut y aller ensemble et avec tous les syndicats si nous voulons gagner.

          T’as déjà vu des révolutions avec des patrons ou des riches ?

          • Marie
            20 mai 2012 at 16h55

            Sauf que les collègues de SPIE DEN n’ont trouvé du soutien qu’auprès de la CGT.

            N’oublions pas que les délégués syndicaux de la CFDT et de la CFTC ont tout fait pour casser le mouvement en remplaçant les grévistes à notre plus grand regret.
            Au départ ça devrait être un mouvement avec tous les syndicats, puisque tous avaient signé la pétition des salariés, mais la CFDT et la CFTC nous ont laissé tombé comme des merdes à la dernière minute.
            Ils nous ont menti et trompé. Comment leur faire confiance maintenant ?

            • 20 mai 2012 at 17h08

              Salut Marie merci pour ton commentaire .
              Ok ! les copains des autres syndicats vous ont trompés …maintenant Marie tu sais a qui tu peux faire confiance.
              Mais SVP ne généralisons pas

              Des syndicalistes de salons il y en un peu partout dans nos boites , alors chiche foutons leurs un coup de pied au cul une bonne fois pour toute, nous n’avons pas besoins d’eux … 😉
              @+ fait passer l’info Marie STP

      3. Daxo
        18 mai 2012 at 23h36

        Attention mes camarades, nous ne sommes pas tous sur la même longueur d’ondes concernant la sous-traitance du nucléaire.
        D’accord, ça existe dans les fédérations et ça nous empêche d’avancer sur certains dossiers comme le votre, mais ils ne sont pas si nombreux.
        Comment faire ?

      4. Jérome
        18 mai 2012 at 19h11

        Quelques uns d’entre nous pensent aller à la fédération du PCF à paris pour leur demander leur position sur la défense des salariés du nucléaire.
        Plein le cul de leurs affichages tout en faisant un écran de fumée devant nos conditions de travail.
        Nous voulons savoir leur avis officiel sur la question et cette fois-ci sans Blablabla

      5. LAURENT yvon
        18 mai 2012 at 5h12

        Oh fannn, j’aime bien « la misère »
        Super, je croyais être le seul à penser qu’il me semble que la misère serait moins pénible au soleil d’EDF…

      6. Misére
        17 mai 2012 at 17h01

        Le front de gauche a l’air d’avoir une ligne crédible dans leur visibilité de la sous-traitance dans le nucléaire, mais il me semble que ce n’est pas le cas d’une de ces composantes (le PCF). Je crois qu’ils ont des représentants bien placés dans une grande partie des fédérations de la CGT et de la CFDT et que ces personnes ne font que de l’affichage sur la question de la sous-traitance en faisant tout pour que ces salariés restent dans la précarité et dans la misère.

        Pensez-vous qu’ils veulent garder un bon fond de commerce avec ces questions de sous-traitance ? C’est pas possible de les voir agir ainsi.

        Comment comprendre que cette vielle revendication n’avance pas à EDF alors qu’ils en parlent depuis 20 ans ?
        Y a-t-il d’autres intérêts au-delà des affichages fait par ce parti politique et ces Fédérations syndicales?

      7. La Taupe
        17 mai 2012 at 16h33

        Sous-traitants du nucléaire, ultimes atomes (article de MEDIAPART)

        Améliorer» les conditions de travail des salariés les plus exposés, «c’est aussi améliorer la sécurité des installations qui existent aujourd’hui sur nos territoires». C’est pourquoi le Front de gauche propose de «réintégrer tous les sous-traitants» et nationaliser «EDF, Areva et GDF-Suez». Par Mathieu Agostini, Corinne Morel Darleux et Didier Thévenieau (Parti de gauche) et Anne Debregeas (syndicaliste EDF).

        « Quelle que soit la position de chacun sur le devenir de l’industrie nucléaire en France, aujourd’hui nous avons des centrales, et elles tournent. Et si elles fonctionnent, c’est parce que tous les jours, des hommes et des femmes prennent des risques que le nucléaire leur impose mais aussi que la privatisation et la sous-traitance de l’entretien provoquent. »

        http://blogs.mediapart.fr/edition/2012-ils-sengagent/article/020412/sous-traitants-du-nucleaire-ultimes-atomes

      8. Révolté
        17 mai 2012 at 15h06

        Santé et travail

        Sous-traitance nucléaire : vers « une relation de maître à esclave » ?

        Par Nolwenn Weiler (13 octobre 2010)

        « Annie Thébaud-Mony [1] : J’ai toujours été frappée par la conscience qu’ont les sous-traitants chargés de la maintenance des centrales nucléaires de l’importance de leurs métiers. Ils acceptent les conditions de travail qu’ils ont parce qu’ils savent que c’est crucial pour la sûreté nucléaire. C’est pourquoi je dis souvent que la notion de service public, ce sont eux qui la tiennent actuellement. L’autre élément qui revient souvent, c’est la dégradation constante de leurs conditions de travail et d’emploi. La répression syndicale est très forte. Les rapports avec le « client » sont très durs. L’obligation de résultat est constante. Elle leur est toujours rappelée, avec cette menace de perte d’emploi s’ils n’y arrivent pas. Ils ressentent, en plus, une diminution du temps et des moyens pour s’acquitter correctement des tâches qui leur sont demandées : moins de préparation de chantier, moins de matériel, moins de personnes. Et, évidemment, moins d’études en amont sur les doses de radioactivité qu’ils peuvent recevoir sur tel ou tel chantier. »

        http://www.bastamag.net/article1225.html

      9. Carte Noir
        17 mai 2012 at 15h00

        Documents d’orientation du dernier congrès de la FNME CGT lors du dernier congrès (du 22 au 25 mars 2010 à Monpellier.

        PARTIE I

        Notre démarche et nos objectifs revendicatifs

        A – Pour un nouveau statut du travail salarié

        VI – Le nucléaire, une expérimentation grandeur nature pour le NSTS et la sécurité sociale professionnelle.

        48-La FNME propose de faire de ce secteur un vaste champ d’expérimentation : cela touche plusieurs entreprises du champ de la fédération ; nous avons eu des expériences gagnantes, c’est là où nous avons des bases organisées dans la sous-traitance. Au niveau de la maison fédérale, c’est sur le nucléaire que le travail transverse a été le plus concret. Cette expérimentation peut également nous aider à bouger les lignes de notre structuration syndicale dans et hors la fédération.

        49-La FNME revendique l’ouverture d’une négociation en vue d’une harmonisation des conventions collectives des salariés prestataires du nucléaire, avec obligation de reprise intégrale du personnel en cas de changement d’entreprise sur un renouvellement de marché, comme cela existe déjà, par exemple, dans le nettoyage ou la restauration collective, voire, dans une moindre mesure, dans le gardiennage.

        50-Ce sera du rapport de force que nous construirons avec les salariés prestataires et les entreprises donneuses d’ordres que dépendra la tenue ou non de cette négociation et le niveau des contenus. Nous avons déjà eu des engagements gouvernementaux et des négociations à EDF. Mais il nous manquait une dimension plus large dans le rapport de forces.

        51-Dans le cadre de notre démarche revendicative plus générale sur les questions de sous-traitance, nous rappelons les principaux repères :

        52-Responsabilité sociale (RSE) :

        53-Insertion de clauses de responsabilité sociale du donneur d’ordre dans les contrats commerciaux en cas de défaillance de l’entreprise sous-traitante, de travail clandestin dissimulé (paiement des salaires et cotisations sociales). La FNME CGT revendique que dans les contrats commerciaux de renouvellement de marchés, soit inclus l’obligation de reprise des salariés avec maintien a minima de leurs acquis (ancienneté, rémunération, indemnités…).

        54-Droit de regard des organisations syndicales et des IRP sur le contenu social des contrats commerciaux.

        55-Interdiction de la sous-traitance sur certaines activités liées à des risques industriels (sécurité des salariés, des populations et des biens) ou en matière de déréglementation.

        56-Interdiction de la sous-traitance en cascade, qui ne permet pas de vérification du respect des normes de formation et des plans de prévention.

        57-Garanties collectives, droits des salariés :

        58-Les formations spécifiques et les habilitations particulières doivent être prises en charge par le donneur d’ordre.

        59-Une formation sécurité pour les salariés de la sous-traitance.

        60-La validation de ces formations doit déboucher sur des reconnaissances équivalentes à celles des travailleurs de l’entreprise donneuse d’ordre.

        61-Les salaires, grille de rémunération, primes et indemnités spécifiques doivent être harmonisés.

        62-Le temps de travail et les congés doivent être de même nature, compte tenu de la similitude avec les activités de l’entreprise donneuse d’ordre.

        63-Sécurité, exposition aux risques et suivi médical doivent être assurés : la responsabilité du maître d’ouvrage doit y être engagée au même titre que le donneur d’ordre et sous-traitants.

        64-Les structures d’accueil pour les salariés des entreprises extérieures (parking, vestiaire, restauration) doivent être prévues.

        65-Droits syndicaux spécifiques :

        66-Création de comités inter entreprises entre les donneurs d’ordre sous-traitants et équipementiers avec périodicité de réunions, pour information, consultation sur les contrats, les effectifs, les durées, etc.

        67-Création de la notion d’unité économique entre les entreprises ayant des échanges commerciaux, productifs et financiers.

        68-Élaboration sur chaque site d’un protocole sur les modalités concrètes d’exercice du droit syndical et de la circulation des délégués syndicaux et représentants du personnel, établies en commun : entreprise donneur d’ordre et ses syndicats, entreprises sous-traitantes et ses syndicats ou représentants des salariés.

        69-Puisque participants au processus de travail, il doit y avoir prise en compte des salariés sous-traitants chez les donneurs d’ordre dans l’effectif de ces derniers au moment des élections professionnelles. Ces salariés devant également être électeurs et éligibles s’ils sont de manière prolongée dans l’entreprise (ceci a été obtenu, non sans mal, pour les dernières élections IRP dans les IEG, mais remis en cause pour le CE par le législateur en août 2008).

        70-Crédit d’heures supérieur pour les élus de la sous-traitance qui auraient à faire face à de nombreux déplacements.

        71-Création de Comité d’Hygiène, de Sécurité et des Conditions de Travail (CHSCT) de site (suite à un décret du 19 mai 2008, la reconnaissance des CIESCT sur les sites nucléaires est actée, mais avec des pouvoirs très minorés par rapport aux CHSCT).

        72-Ces revendications doivent être portées dans tous les secteurs d’activités du champ de la fédération, c’est ce que vise notre démarche de déploiement.

        http://www.fnme-cgt.fr/congres4/docs_orientation_partie1_a6.php?toggle=1

      10. Le Furet
        17 mai 2012 at 14h31

        Les salariés de SPIE-DEN sont sortis gagnants de cette grève et ont obtenu jusqu’à 250€ (1640 FR) de plus par mois pour les salariés postés.
        Faites le calcul pour un an!

        Les salariés à la journée ont vu leurs déplacements journaliers augmenter d’un € par grille. 22€ de plus par mois c’est 264€ par an et 1732 FR dans l’ancienne monnaie.

        http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2012/04/19/97002-20120419FILWWW00688-nucleaire-greve-d-un-sous-traitant.php

      11. Miguel
        17 mai 2012 at 14h10

        Les évolutions du syndicalisme CGT à EDF

        Denis COHEN, ancien secrétaire général de la première des fédérations (FNME) de la CGT.

        Le livre de Denis COHEN met en lumière ces évolutions.

        « Mais quelle solidarité met en œuvre la CGT avec ces sous-traitants ou avec ces « gamins du voisinage » ? Denis Cohen pose la question sans y répondre clairement.

        Concernant les personnels sous-traitants, il déplore que ceux-ci perçoivent la CGT comme étant du côté du management et prône la mise en place de syndicats multi-professionnels qui associeraient le personnel « à statut » et le personnel sous-traitant. »

        http://istravail.com/article144.html

        • LAURENT yvon
          18 mai 2012 at 5h17

          Hé, oui Miguel, c’est toujours quand ils partent qu’ils deviennent les meilleurs !(ou quand ils sont virés !!!)

      12. L'abeille soiale
        17 mai 2012 at 12h04

        Lettre de Jean-Luc Mélenchon au Premier Ministre

        Mardi 15 mai, Jean-Luc Mélenchon a adressé un courrier au nouveau Premier Ministre afin de l’interpeller sur le sort d’une vingtaine d’entreprises en lutte et de leurs salariés.
        Jean-Luc Mélenchon a ainsi demandé à Jean-Marc Ayrault d’agir rapidement pour en finir avec les pratiques des patrons voyous.

        http://www.placeaupeuple2012.fr/lettre-de-jean-luc-melenchon-au-premier-ministre/

      13. Martn
        17 mai 2012 at 11h55

        19h30

        Un pilote alsacien survole par mégarde la centrale nucléaire de Cruas

        Le pilote d’un petit avion de tourisme, parti d’Alsace en direction de la Corse, a été entendu par la police mercredi après avoir survolé par mégarde la zone protégée de la centrale nucléaire de Cruas, en Ardèche, a indiqué une source policière. « Le pilote devait faire son ravitaillement à Ancône et, vers midi, au moment de sa descente, il a un peu empiété sur la zone protégée », a expliqué cette source à l’AFP, confirmant une information de France Bleu Drôme-Ardèche. Entendu par la police après son atterrissage à l’aérodrome de Montélimar-Ancône (Drôme), le pilote a pu repartir vers la Corse dans l’après-midi.

        Au début du mois de mai, un militant de Greenpeace à bord d’un parapente était parvenu à atterrir à la centrale du Bugey (Ain). A cette occasion, l’association écologiste avait révélé avoir aussi survolé en novembre l’usine de La Hague (Manche), relançant le débat sur la sécurité des installations nucléaires.

        http://lci.tf1.fr/filnews/france/un-pilote-alsacien-survole-par-megarde-la-centrale-nucleaire-7255021.html

      14. Vivre
        16 mai 2012 at 21h25

        Sauvons la médecine du travail:

        Nous avons rédigé ce texte de rassemblement. Faites le connaître largement autour de vous.
        Si vous décidez de le soutenir, manifestez votre soutien en le signant et en le faisant savoir.APPEL

        La survie de la médecine du travail telle qu’elle s’est développée et enrichie depuis sa création est aujourd’hui remise en cause par des projets de réforme. Sous prétexte de réformer l’organisation de la médecine du travail, qui en a certainement besoin, de tous côtés on nous propose des changements si profonds et apparemment si contradictoires qu’ils n’aboutiront, s’ils voyaient le jour, qu’à liquider notre spécialité médicale. Deux risques menacent.

        D’abord celui de laisser la pénurie de médecins du travail détruire les institutions et la discipline faute d’acteur. Si le déficit démographique attendu est beaucoup plus grave que pour les autres disciplines médicales, c’est parce qu’il est organisé depuis des années »

        http://www.slmt.fr/SLMT/Appel.html

        • 17 mai 2012 at 8h32

          Salut Vivre merci pour ce commentaire.
          La médecine du travail est menacer depuis la reforme des retraites engagée par Mr Sarkozy pour le grand bonheur du MEDEF.
          Pénibilités / suivie des expositions / effets des petites doses / départ à la retraite à 60 ans si taux IPP 20% …
          Nous reprendrons dans notre article ce w-e, les inquiétudes et revendications des médecins du travail.

          Votre site internet est répertorier dans nos liens à gauche depuis le début de votre action…

          @+ on lâche rien

      15. François
        16 mai 2012 at 21h10

        N’oublie pas Robert que le Front de Gauche veut mettre l’homme au centre de la vie de l’entreprise et que le PS estime que la France à été trop loin sur la sous-traitance dans le nucléaire.

        Nous devons donner une majorité de gauche au parlement si nous voulons traiter les questions d’esclavage auxquelles sont soumis les salariés de notre industrie. Sarko, c’est fini et Besson aussi. Heureusement pour nous!

      16. Robert
        16 mai 2012 at 20h49

        Après a prise de la bastille, nous devons passer à la prise de conscience des conditions de travail, de vie et de précarité au sens large des salariés de la sous-traitance.

        Le conflits sociaux de SPIE sur Cattenom et Fessenheim attirent assez vers la lumière cette question.

        Les grandes fédérations syndicales et le patronat EDF/privé du nucléaire et le nouveau gouvernement serons très vite confrontés à ces salariés s’ils continuent à ne pas vouloir en parler et à mettre en touche les galériens du nucléaire

      17. Camélito
        15 mai 2012 at 23h06

        Les brèves au quotidien du CCE d’EDF SA

        NUCLEAIRE

        En Suisse, la conseillère fédérale Doris Leuthard envisage de repousser la sortie du nucléaire, prévue initialement en 2035, aux environs de 2044. En effet, une sortie du nucléaire nécessiterait la construction de 2 à 7 grandes centrales à gaz, très grosses émettrices de CO2, ce qu’avait vivement critiqué la Fédération des entreprises suisses.

        Le 15 mai, Tepco a annoncé une perte nette de près de 7,5 milliards d’euros pour l’exercice 2011-2012 qui s’est achevé en mars dernier. L’opérateur de Fukushima s’attend également à un nouveau déficit net estimé pour l’instant à près de 1 milliard d’euros.

        Le ministère de l’Industrie espagnol a engagé la procédure formelle pour la révocation de la législation de 2009 sur la durée de vie de Garonã. Selon la législation en vigueur, la centrale devait définitivement cesser son activité en juillet 2013, mais pourrait donc être maintenue en activité au moins jusqu’en 2019.

        Le 14 mai, un des réacteurs de la centrale nucléaire de Gravelines (Nord) a été arrêté en fin de matinée en raison d’un problème technique. Selon une porte-parole de la centrale, il n’y a pas de problème de sûreté.

      18. 13 mai 2012 at 9h25

        Des indignés de pars le monde !

        Portugal : des milliers de personnes manifestent contre l’austérité

        La CGTP, principale centrale syndicale du pays, revendique pas moins de 300.000 manifestants. Venues des 4 coins du pays, des dizaines de milliers de personnes ont convergé hier vers la place du Commerce, dans le centre historique de Lisbonne, pour une journée de mobilisation contre l’austérité…

        http://fr.euronews.com/2012/02/12/portugal-des-milliers-de-personnes-manifestent-contre-l-austerite

        En Espagne, la « violence économique » remobilise les Indignés

        C’est pour dénoncer « la violence économique » d’un système « corrompu » imposant aujourd’hui l’austérité que des dizaines de milliers d’Indignés se sont remobilisés samedi en Espagne, un an après la création dans ce pays de leur mouvement dit du 15M (car apparu le 15 mai 2011). La journée mondiale d’action convoquée pour ce premier anniversaire a été peu suivie sur le plan international. L’Espagne reste ainsi l’épicentre de cette protestation citoyenne…

        http://www.latinreporters.com/espagnepol13052012gh.html

        386 villes de 50 pays vont prendre la rue pour l’anniversaire des indignés

        Décidément habitués aux mouvements de masse, les indignés vont connaître une nouvelle journée mondiale de mobilisation ce samedi pour souffler leur première bougie.

        Débuté le 15 mai 2011 en Espagne, le mouvement pour une « Réelle Démocratie Maintenant » et remettant globalement en cause le système libéral n’a cessé de s’étendre pour rapidement toucher l’ensemble des pays du monde. Le 15 octobre dernier, leur dernière journée mondiale avait rassemblée plusieurs millions de manifestants dans 1000 villes de 90 pays…

        http://actualutte.info/nouvelles-du-monde/international/item/324-686-villes-de-60-pays-vont-prendre-la-rue-pour-lanniversaire-des-indign%C3%83%C2%A9s

        • Marot
          16 mai 2012 at 21h36

          Et les indignés du nucléaire, quand est-ce qu’ils se bougent le cul ?

          • 17 mai 2012 at 8h19

            Salut Marot merci pour ton commentaire .
            Nous allons essayer d’organiser très prochainement une action d’ampleur nationale avant les vacances d’été avec les organisations syndicales qui nous soutiennent et tous les salariés qui commencent à croire en notre démarche, obtenir un haut statut social …
            Affaire à suivre ici forcement
            @+

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