Attention aux dommages colatèraux !

    Au feu , au feu !

    Les dernières annonces concernant la situation économique du Groupe AREVA et la stratégie de redressement annoncée par la Direction nous font craindre le pire !

    Ci-dessous les réactions des OS AREVA

    L’ASN à ouvert sur son site internet un espace de concertation et il nous a semblé opportun d’y laisser une trace de notre engagement pour l’amélioration de nos conditions de travail .

    Ci dessous notre contribution au débat pour l’amélioration de nos conditions de travail et de vie (clic sur l’image)

    vivreLes membres et adhérents de l’Association MZC présentent à l’ensemble de la famille et aux proches de Thomas S leurs sincères condoléances

    http://www.lest-eclair.fr/267035/article/2015-05-04/disparition-le-prestataire-de-la-centrale-retrouve-mort-dans-un-bois?fb_action_ids=550066248466819&fb_action_types=og.comments

    Ci dessous le communiqué de la CGT STMI

    https://www.ma-zone-controlee.com/wp-content/uploads/2012/11/separateur2.jpg(Ici nous respectons la loi sur les droits d’auteur et le travail de la presse et des journalistes professionnels)

    Nos amitiés aux uns, notre respect aux autres, bises à toutes et tous.

    Et vous…qu’en pensez vous ?

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      8 comments for “Attention aux dommages colatèraux !

      1. hollowman of ardeche
        24 mai 2015 at 22h42

        HELLO

        le saviez-vous, je viens de le decouvrir!
        http://journaldelenergie.com/nucleaire/linvraisemblable-fiasco-dareva-a-tchernobyl/

        et apres chacun d’entre nous mesurera les consequences de ces depenses cannibales et ce n’est que le commencement, ce n’est que mon avis

      2. webmaster MZC
        11 mai 2015 at 17h40

        Risques toxiques : comment les cancers des ouvriers sont occultés par les industriels

        Souvent convoquée pour énoncer des vérités indiscutables, la science n’est pas neutre. Depuis 50 ans, elle participe même activement au développement incontrôlé des risques industriels : amiante, nucléaire, pesticides ou perturbateurs endocriniens. C’est ce que révèle le livre La science asservie. Santé publique : les collusions mortifères entre industriels et chercheurs., écrit par Annie Thébaud-Mony, directrice de recherche à l’Inserm et spécialiste des questions de santé au travail. Elle y défend aussi une autre conception du travail scientifique, ancré dans la réalité des ouvriers, premières victimes des risques industriels. « En 1984, un ouvrier avait quatre fois plus de risques de mourir d’un cancer qu’un cadre supérieur. En 2008, ce risque est dix fois plus élevé », explique-t-elle. Entretien….

        C’est vrai aussi pour la radioactivité, écrivez-vous…

        Il est hallucinant que les industriels aient réussi à imposer ce postulat concernant la radioactivité. Les dangers des faibles doses sont en effet bien documentés, et depuis longtemps. Dès les années 1950, Alice Stewart, médecin anglaise, mène une enquête très rigoureuse pour expliquer la croissance des cancers chez les enfants de moins de 5 ans en Grande-Bretagne. Elle s’intéresse notamment aux expositions qu’ils auraient pu subir in utero, en demandant à leur mère si elles ont subi une radiographie au cours de leur grossesse. Les résultats sont sans appel : l’exposition aux rayons X in utero lors d’un seul cliché radio (soit une fraction infinitésimale de la dose alors considérée sans danger) provoque des cancers d’enfants. Elle fait voler en éclat le postulat qu’existe une dose seuil en dessous de laquelle les radiations seraient sans danger.

        D’autres chercheurs aboutiront aux mêmes résultats, notamment Thomas Mancuso qui montrera dans les années 1970 les liens entre l’exposition à faible dose des travailleurs du site nucléaire d’Hanford [2] et la mortalité précoce par cancer chez ces travailleurs. Les autorités, mécontentes de ses résultats, ne renouvelleront pas son contrat…

        Cette absence de veille, et ses effets dramatiques, sont aussi à l’œuvre dans le secteur du nucléaire.

        Dans les années 1960 et 1970, la question du suivi systématique des travailleurs exposés a été abordée à plusieurs reprises, par des responsables du ministère du Travail, par des médecins du travail, par certains chercheurs… Rappelons que la radioactivité fait partie des cancérogènes avérés. Et que l’un des moyens de prévention, c’est de savoir quel type d’activité est le plus « exposant ». Les exploitants du nucléaire, qui avaient des fichiers informatiques très précis sur les dosimétries et les travailleurs, n’ont jamais eu aucun fichier digne de ce nom en terme de suivi sanitaire. Les médecins du travail ont beaucoup de mal à avoir des données. Les travailleurs qui subissent des contaminations sont sanctionnés par leurs employeurs. En fait, on ne veut pas faire de prévention. On veut faire disparaître ceux qui ont été contaminés…

        http://www.bastamag.net/Risques-industriels-On-veut-faire-disparaitre-ceux-qui-ont-ete-contamines

      3. P.B
        10 mai 2015 at 8h47

        Conférence-débat « Radioactivité et santé des travailleurs du nucléaire »

        20h30 Salle Léo Gipoulou à Valence d’Agen

        Entrée gratuite.

        Conférence-débat avec Annie Thébaud-Mony (Dr honoraire de recherche à l’Inserm) et Philippe Billard (Délégué CGT-CHSCT des travailleurs du nucléaire).

        Dans les discours politiques, la science est aujourd’hui de plus en plus convoquée pour énoncer des vérités incontestables. Pourtant, suite à de nombreux scandales sanitaires, un climat de suspicion s’est installé, creusant un fossé entre les chercheurs et les citoyens. Chacun est alors confronté à ces questions essentielles s’agissant de la santé : qui croire ? Que nous cache-t-on ? À qui profite la science ?

        Ces questions sont au cœur du livre d’Annie Thébaud-Mony (La science asservie), qui analyse comment de nombreux chercheurs ont participé à un processus de confiscation de la science au service des intérêts privés de grands groupes industriels, souvent avec la complicité active de l’État. Ils ont ainsi contribué à instaurer l’hégémonie d’une « stratégie du doute » quant aux risques industriels (amiante, plomb, nucléaire, pesticides, etc.) et à leurs conséquences.

        S’appuyant sur sa propre expérience professionnelle et sur celle d’Henri Pézerat, toxicologue connu pour son engagement scientifique et citoyen contre l’amiante, Annie Thébaud-Mony dénonce avec force le cynisme et l’impunité de ceux qui, délibérément, ont choisi la mort des autres pour leur plus grand profit. Ses révélations dressent un réquisitoire implacable, qui invite à résister à l’imposture scientifique et à mettre en synergie, en matière de santé publique, savoirs scientifiques et savoirs citoyens.

        Voir également le témoignage de Philippe Billard, ancien sous-traitant du nucléaire, et porte-parole de l’association Sous-traitance/Santé dans le nucléaire et la chimie, dans lequel il relate sa rencontre avec un ancien collègue spécialisé dans les interventions très exposées à la radioactivité. Atteint d’un cancer, celui-ci hésite à monter un dossier de demande de reconnaissance de maladie professionnelle :

        http://lot.demosphere.eu/rv/219

      4. Force Ouvrière STMI
        9 mai 2015 at 18h15

      5. ISSUU
        9 mai 2015 at 17h24

      6. Sellig
        9 mai 2015 at 15h59

        Loi Macron : les sénateurs musclent le texte

        Alors que l’examen de la loi Macron se poursuit, les sénateurs ont voté plusieurs amendements simplifiant la vie des entreprises : relèvement des seuils sociaux, allégement du compte pénibilité et du dispositif Hamon en cas de cession….

        Le Sénat a par ailleurs voter, contre l’avis du gouvernement, la création d’une commission de simplification du code du travail….

        La majorité des Sénateurs ont également simplifié le compte pénibilité. Contre l’avis du gouvernement, la majorité des sénateurs, UMP et centristes, a suivi la commission spéciale qui a supprimé la fiche individuelle retraçant l’exposition de chaque salarié aux facteurs de pénibilité. Elle a aussi limité à trois les facteurs pour lesquels des modalités de mesure de l’exposition ont été définies: le travail de nuit, le travail en équipes successives alternantes et le travail en milieu hyperbare….

        http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2015/05/08/20002-20150508ARTFIG00141-loi-macron-les-senateurs-musclent-le-texte.php

      7. Redaction MZC
        9 mai 2015 at 13h48

        Areva Marcoule et Tricastin se préparent à perdre des emplois

        Le plan de 15 % d’économie de la masse salariale devrait affecter les deux grands sites de la région

        À Pierrelatte, Frédéric de Agostini, le directeur d’Areva Tricastin, affirme mordicus ne souhaiter qu’une chose : que les discussions avec les représentants du personnel soient suffisamment avancées à l’issue du mois de juin pour que, à cette date, on connaisse l’impact sur chaque site industriel du « plan de compétitivité » annoncé avant-hier par la direction nationale.

        Jeudi matin, les syndicats du groupe ont en effet eu connaissance d’un dispositif, qu’ils n’hésitent pas à qualifier de vaste plan social, dont le but est de réaliser 15 % d’économie sur la masse salariale (18 % au niveau international). Selon la CGT, de telles mesures représenteraient la perte de 3 à 4000 postes en France, de 5 à 6000 au niveau international.

        Autant dire que, dans ces conditions, à Marcoule (Gard) ou au Tricastin (Drôme), les syndicats sont sur le pied de guerre et attendent de connaître le nombre de postes dont pourraient être amputés les deux sites. Car une chose est certaine, et là dessus au moins syndicat et direction sont d’accord : tous les sites seront affectés. Reste maintenant à savoir dans quelles proportions.

        Préserver la sécurité

        « Tout cela va dépendre de la pyramide des âges, mais également de la stratégie industrielle du groupe », expliquait hier à La Provence Laurent Roussel, en charge des relations presse au syndicat CGT national. Dans le cadre de ce plan, qui associe non-remplacement des postes laissés vacants par les agents en âge de partir à la retraite et offre de départs volontaires (il n’y aura aucun licenciement), les personnels les plus avancés en âge seront en première ligne.

        Quant à la stratégie industrielle, les syndicats ont émis certains préalables à toute discussion : que les capacités de production en France soient préservées. Tout comme devra être préservée « la sécurité des équipes. Car, maintenant, on ne peut plus aller au-delà de ce qui a déjà été donné », insiste Jean-Pierre Sokol, du syndicat CGT chez Areva Tricastin.

        On dirait que le directeur du site, Frédéric de Agostini, a anticipé ces exigences, lui qui assure qu’il sera extrêmement « vigilant sur le maintien des compétences. Car notre ADN, c’est bien la sûreté et la sécurité ».

        C’est peut-être pour cela que les syndicalistes du groupe ont entendu que les postes dits de « fonction-support » (comprenez les emplois du tertiaire : comptabilité, achats, RH…) seraient visés prioritairement. « Bien sûr, ce ne sont pas ces emplois qui font tourner les réacteurs, mais sans eux, les réacteurs ne peuvent pas tourner », ajoute Michel Lazare, responsable CGT à Areva Marcoule, comme pour avertir que le syndicat sera vigilant, lui aussi, sur tous les emplois des sites.

        Des moyennes d’âge élevées

        Sauf à ce qu’Areva veuille préserver l’intégralité de ses forces en matière de décontamination et de démantèlement (la spécialité d’Areva Marcoule) et de production de combustible enrichi (celle d’Areva Tricastin), on peut cependant être sûr que les deux sites ne devraient pas sortir indemnes du plan d’économie. Notamment si le facteur de l’âge est déterminant puisque, tant à Bagnols- sur-Cèze qu’à Pierrelatte, la moyenne est relativement élevée (50 et 48 ans).

        Une phase de concertation entre direction nationale et représentants du personnel va maintenant débuter pour se poursuivre jusqu’au mois de juin, puis commenceront aussitôt les discussions au sein des sites. Ce n’est qu’à l’issue de ces rencontres que Marcoule et Tricastin seront définitivement fixés sur leur sort. Mais d’ici là, les syndicats pourraient bien se faire entendre.

        http://www.laprovence.com/article/economie/3396859/vaucluse-areva-marcoule-et-tricastin-se-preparent-a-perdre-des-emplois.html

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